-
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier qui a été tôlier ( c'est vrai: tôlier-prototypiste dans l'éclairage public ! ) mais pas taulier !
1ère ligne, 2ème image : c'est la marque du Petit Beurre qu'il faut retenir ! 4ème image : la moitié de la marque !
2ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s " !
3ème ligne, 2ème image : lieu où des animaux sont en captivité !
4ème ligne, 1ère image : attention c'est " - - - - - " bouillant !
7ème ligne, dernière image : quand il a fini de téter, le bébé fait son " - - - " ... vous pouvez mettre le "t" dans votre poche et votre mouchoir par dessus !
9ème ligne, dernière image : à 3 H 52 du mat, c'est très " - - - " ... et pas de France !
11ème ligne, dernière image : de sable ou d'autre !
12ème ligne, 2ème image: une fleur pas rugueuse du tout ! Dernière image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! ... quand c'est autre chose, on ne sait pas !
Dernière ligne, 3ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! Dernière image : c'est l'arme qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il est assez court, vous pouvez y aller gaiement ... mais pas forcément dans le lieu indiqué ! Et comme on dit : " Roule ma poule ! "
Manger du bon, mangez du bio !
Réponse :
Un lupanar, ce n’est pas autre chose que des poules en batterie, sauf que la patronne n’est pas fermière mais taulière et que les établissements bios sont rares !
...Voila voila ... du tout frais pondu d'hier !
8 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Jean Ferrat »
« Ma môme »
Elle courte mais superbe !
Jeudi nous étions à Ivry aujourd'hui à Clichy
c'est tout près tout près mais un peu loin de Saint-Germain !
.
Ma môme,
Ma môme, elle joue pas les starlettes
Ell'e met pas des lunettes
De soleil
Elle pose pas pour les magazines
Elle travaille en usine
À CréteilDans une banlieue surpeuplée
On habite un meublé
Elle et moi
La fenêtre n'a qu'un carreau
Qui donne sur l'entrepôt
Et les toitsOn va pas à Saint-Paul-de-Vence
On passe toutes nos vacances
À Saint-Ouen
Comme famille on n'a qu'une marraine
Quelque part en Lorraine
Et c'est loinMa môme elle a vingt-cinq berges
Et j' crois bien que la Sainte Vierge
Des églises
N'a pas plus d'amour dans les yeux
Et ne sourit pas mieux
Quoi qu'on diseL'été quand la ville s'ensommeille
Chez nous y a du soleil
Qui s'attarde
Je pose ma tête sur ses reins
Je prends doucement sa main
Et j' la gardeOn s' dit toutes les choses qui nous viennent
C'est beau comme du Verlaine
On dirait
On regarde tomber le jour
Et puis on fait l'amour
En secretMa môme, elle joue pas les starlettes
Elle met pas des lunettes
De soleil
Elle pose pas pour les magazines
Elle travaille en usine
À CréteilBon partage !
Rotpier
1 commentaire -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
4 commentaires -
On commence par un tableau et ... on est entraîné beaucoup plus loin ...
Image du net
Avant-propos :
Ce tableau peint par Armand Guillaumin (1841-1927) en 1873 est une sorte de mise en garde avant l’heure sur les dangers de la pollution atmosphérique.
Le peintre n'en avait certainement pas conscience à cette époque … de nos jours, cela parait évident... mais ...
Pierre Dupuis
Soleil couchant à Ivry,
Sur un fond de ciel incendie
Des fumées, immondes crachats,
Nous donnent un avant-goût déjà
Des pollutions des industries.
Prémices de l’écologie,
Ce tableau augure un combat
Qui deviendra apostolat
Pour ceux qui servent de vigies.
Jusque là la ville d’Ivry
N’était que campagne et taillis
Mais les usines sont venues
S’implanter en vastes bassins
Comme autant d’horribles verrues,
De monstres crachant leur venin !
xxxxxxxxxxxxx
Retombées,
Le peintre en avait-il conscience ?
Personne ne peut l’affirmer,
Son esprit était sublimé
Par les couleurs, pas la prescience.
A cette époque les nuisances
Étaient ardues à estimer,
Comment pouvoir imaginer
Les dégâts sur nos existences ?
Aujourd’hui avec le recul
On peut refaire les calculs
Mais ce serait par trop facile !
Alors que maintenant on sait
On poursuit - pauvres imbéciles ! -
À polluer plus que jamais !
xxxxxxxxxxx
Péroraison :
Toujours est-il que Guillaumin
À mis le pinceau sur la plaie
De cet avenir qui effraie,
Fruit de l’égarement humain.
Ce n’est pas à la saint-glinglin,
C’est une vérité - la vraie ! -
Un jour il faudra que l’on paie
Et il s’approche de demain !
Et, s’il ne faut prendre qu’un seul exemple :
C’est vraiment du je-m’en-fichiste
Que d’extraire du gaz de schiste
Sous l’aval urbi et orbi
De dirigeants irresponsables
Cédant aux pressions des lobbys
Et qui plaideront non coupables !
xxxxxxxxxxxxxxxxxx
Péroraison de la péroraison :
Pour convaincre les politiques
Il faudra pour les combinards
S’attaquer à leur crâne par
… La fracturation hydraulique !
Pierre Dupuis
2 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus très ferme ! Il ne faut pas tourner autour du pot !
2ème ligne, 1ère image : il y a 2 personnages sur 4 " - - - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 2ème image : lieu où l'on entrepose des fûts ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, dernière image : il parait qu'elle s'envole quand on passe de l'autre coté !
4ème ligne, 2ème image : l’athlète " - - - - " au présent de l'indicatif !
8ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s", c'set sa manie !
9ème ligne, dernière image : le cri du mouton !
11ème ligne, 1ère image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies ! Dernière image : en direct, le symbole de la " vie " !
12ème ligne, 1ère image: la boisson favorite des rosbif ! 2ème image : petite, la sale bête est lente ! 3ème image : ce que fait le bébé après la tétée ! 4ème image : quand elle pique la sale bête fait très mal !
Dernière ligne, 3ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! Dernière image : c'est l'arme qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Et ... n’hésitez pas à trancher !
Réponse :
Quand il faut trancher il faut trancher, à ménager la chèvre et le chou on finit par se faire embourber par le bouc sans éviter pour autant les flatulences !
Nota :
C'est un adage du Rotpier : ne pas choisir de trancher entre deux problèmes c'est s'exposer à subir les inconvénients des deux !
6 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Jacques Brel »
« L’éclusier »
Le plus difficile c'est d'arriver à écluser
sa peine quand on en a de trop
au fil du temps, au fil de l'eau
sur les rivières, sur les canaux ...
L'Éclusier
Les mariniers
Me voient vieillir
Je vois vieillirLes mariniers
On joue au jeu
Des imbéciles
Où l'immobile
Est le plus vieux
Dans mon métier
Même en été
Faut voyager
Les yeux fermés.Ce n'est pas rien d'être éclusier
Les mariniers
Savent ma trogne
Ils me plaisantent
Et ils ont tort
Moitié sorcier
Moitié ivrogne
Je jette un sort
À tout c'qui chante
Dans mon métier
C'est en automne
Qu'on cueille les pommes
Et les noyésCe n'est pas rien d'être éclusier
Dans son panier
Un enfant louche
Pour voir la mouche
Qui est sur son nez
Maman ronronne
Le temps soupire
Le chou transpire
Le feu ronchonne
Dans mon métier
C'est en hiver
Qu'on pense au père
Qui s'est noyéCe n'est pas rien d'être éclusier
Vers le printemps
Les marinières
M'font des manières
De leur chaland
J'aimerais leur jeu
Sans cette guerre
Qui m'a un peu
Trop abimé
Dans mon métier
C'est au printemps
Qu'on prend le temps
De se noyerBon partage !
Rotpier
2 commentaires -
.
Pour faire suite à mes chouettes chouettes de la semaine dernière que je vous remets ci-dessous, un petit montage illustrant leurs papotages, voir leurs médisances !
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
( Petit montage à partir d'images du net !)
Le Rotpier
4 commentaires -
Image du net !
L’histoire se passe en début de siècle dernier …
Le monte-en-l’air sentimental,
C’était il y a très longtemps,
il vivait de cambriolages
lui l’homme à la force de l’âge
et elle au fort tempérament.
Il en était fou amoureux
mais elle était cuisse légère
ses aventures passagères
le rendaient vraiment fou furieux.
Et un jour le drame arriva,
il serra fort une lanière
autour du cou de sa bergère :
en peu de temps elle expira.
Il la découpa en morceaux
de façon vraiment méthodique,
une manière bien pratique
pour désorienter les perdreaux.
Il savait manier le hachoir,
les couteaux ainsi que les scies,
il avait une décennie
derrière lui en abattoir.
Après trois mois de flottement
il avait expurgé sa peine
ainsi que le reste de haine,
il n’avait plus trop de tourments.
Il avait repris le métier
de monte-en-l’air par habitude,
il le faisait sans inquiétude,
tranquillement en vieux routier.
Dans le genre Arsène Lupin
un peu moins élégant quand même,
vivant de façon plus bohème
mais gagnant largement son pain.
En souvenir de son amour
et afin de penser à elle
de manière très solennelle
il gardait dans son sac toujours …
… à portée de main un tibia
taillé d’un bout en pied de biche
qu’il utilisait chez les riches
quand il faisait une razzia.
Un outil vraiment idéal
pour forcer fenêtres et portes
et toute la joie qu’il apporte
pour quelqu’un de sentimental.
On peut bien être monte-en-l’air
et s’enticher d’une friponne
au point que son cœur s’enjuponne
et que l’on commette un impair.
Et un jour il en commit un
alors qu’il forçait une porte
avec le tibia de la morte
il ne vit pas les argousins.
Ils lui tombèrent sur le dos
alors qu’il rêvait à sa belle,
il passa en correctionnelle
et se prit vingt ans à Clairvaux.
Moralité :
Quand on pratique ce métier
qui est assez funambulesque
on évite le romanesque :
pas la peine d’en rajouter !
En lieu et place d’un tibia
il aurait pu, sur l’étagère,
dans le formol et solitaire
garder son plus joli ténia.
Rotpier
Image du net !
Je ne suis pas certain que cela soit un ténia.
Ce dont je suis persuadé c'est que cela ne doit pas être très bon à manger !
Ah ! Poésie, quand tu nous tiens !
2 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus à décoder, que l'on se prénomme ou non Samuel ! Il n'est ni scabreux, ni scatologique mais très logique ... ne riez pas d'avance dans vos moustaches : je vous en fais défense, je connais, j'y ai travaillé !
1ère ligne, 2ème image : si vous ne vous servez pas de cet outil, vos constructions risquent d'être bancales ... comme Lauren !
2ème ligne, 2ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indic à tifs ! 3ème image : il y en a 4 de 2 personnages ! 4ème image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
3ème ligne, 3èmeimage : un diagramme de " - - - " et ... pas pour donner aux bourricots !
4ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le court bien au contraire !
5ème ligne, 1ère image : la moitié du personnage et l'on n'est pas forcé de retenir la 1ère lettre !
7ème ligne, dernière image : la vache y est et il parait que l'amour aussi ! ... Même que parfois on peut avoir affaire à de l'amour vache ! ( c'était juste une remarque comme une autre ! )
8ème ligne, dernière image : à ce stade, il n'est plus guère vivant comme disait Martin !
9ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s " ! ( l'autre aussi ! ) et n'oublions pas l'adage du Rotpier : " Quand ce qui te sert pend, il est temps de le ranger ! "
11ème ligne, 2ème image : quand il a fini de téter, le bébé fait son " - - - " ... comme le Rotpier ! 3ème image : autre nom pour un char !
12ème ligne, 1ère image : le nom du volume ! Dernière image : objet pour tromper et ce n'est pas un éléphant ! ( un miroir aux alouettes en est un ! )
Dernière ligne, 1ère image : lieu ou se tenaient des marchés, il en reste encore de bien belles ! Dernière image : le cri de la bestiole ... " Si tu ne trouves pas, laisse pisser le Mérinos ! " comme dit mon cousin Pascal !
Et pissez tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas trop long, pas trop difficile mais il sent un peu le poisson... pas la morue: non !
Réponse :
Au niveau de sa nourriture en matière de poisson, un long un court un long un court, c’est le régime préféré des morses mais ce n’est pas pour autant qu’ils connaissent leur alphabet !
Nota :
On m’a fait remarquer - à raison ! - que j’avais commis une faute de français : J’aurais du mettre « leur » à la place de « sa » devant nourriture puisque après je mets « des morses » !
Cela donne donc :
Au niveau de leur nourriture en matière de poisson, un long un court un long un court, c’est le régime préféré des morses mais ce n’est pas pour autant qu’ils connaissent leur alphabet !
( Alphabet morse bien entendu ! )
8 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Didier Barbelivien
« Jean de France »
Un superbe éloge à Jean Ferrat !
Jean De France,
J’aimais ton rire j’aimais ta voix
qui racontait nos différences
moustache rapportées de Cuba
de Santiago quelle importance
j’aimais tout ceux qui étaient toi
quand tu bousculais nos consciences
Jean ta belle môme ou Jean Ferrat
tes mots déchiraient nos silences
et je m’imaginais Créteil
quand tu me fredonnais
ma môme et ces deux enfants au soleil
Garcia Lorca en son royaume
moi j’écoutais nuit et brouillard
enfermé dans mon innocence
je comprendrais beaucoup plus tard
nul ne guérit de son enfance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la Bretagne à la Provence
avec la fièvre telle insolence
de dire ce mot ne disais pas Jean de France
Humain jusqu'à la transparence
de se regard qui fait confiance
pour le secret des confidences
quand tu croisais les yeux d’Elsa
D’ailleurs que serais-je sans toi
et voilà Aragon qui danse
même Ferré n’en reviens pas
de ces mélodies qui s’élancent
ces Potemkine et Maria unit
dans la même souffrance
mourir au soleil ça me va
mourir debout quelle élégance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la montagne aux plaines immenses
tu défendais tout ceux qui pensent
que le malheur n’existe pas
Tu mettais le vide hors la loi
du simple fait de ta présence
un jour futur un jour viendra
ou plutôt que l’indifférence
et tes chansons de ce temps là
ont bercé mon adolescence
un drapeau rouge au bout des bras
tous ces taureaux quand j’y repense
Bon partage !
Rotpier
1 commentaire -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
... Spécial actualité !
.
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
1 commentaire -
Alors là, en ce moment, j'ai une crise aiguë ! Comme tous les ans au printemps, voila que cela me redémange ... et ce n'est pas le pollen !
J'ai envie de filer des coups de pompes aux imbéciles, aux indécis, aux emmerdeurs !
Image du net bidouillée par le Rotpier
Poème remanié et quelque peu plus mordant vu le contexte actuel !
Démangeaisons,
Il est des gens qui m’agacent
… qui m’escagacent au plus haut point !
Ils tournent en rond,
pour un oui, pour un non.
Jamais content de leur tête dans la glace !
Le steak ? Pas trop saignant … un peu quand même
… mais pas à point … quoique … dès fois, j’aime …
La voiture ? Couleur verte bien sûr !
Mais … quel vert ? Surtout pas trop clair !
Pas trop foncé non plus … quoique …
tiens … et si on la prenait bleue ?
Et ma sœur, t’as vu ses yeux !
Il y est des gens qui me pilent,
qui m’agacent,
qui m’horripilent,
qui m’escagassent !
Tiens, j’en ai des démangeaisons
au bout de ma godasse !
Et ça blablate et ça jacasse !
Et pis pas ci, et pis pas ça !
Ça c’est trop p’tit … ça c’est mastoc
… mais c’est pas sûr … y faudrait voir …
Et pis ma sœur, t’as vu son froc ?
et ses p’tits strings dans le tiroir ?
En politique c’est la cata
ça sent l’embrouille et le caca !
Un coup à gauche, un coup à droite,
le grand écart à l’extrèm’ droite !
Et que j’oublie tous les acquis
même ceux par le sang conquis !
Les congés payés ?
… Mais ils ont toujours existé !
Les heures supplémentaires majorées ?
… Pareil, on n’est pas des demeurés !
Retenez-moi, retenez moi
ou je vais en exploser trois !
L’histoire ils l’ont bien oubliée,
ils sont prêts à tout avaler,
les grands discours et les promesses
ils sont là qui tendent les fesses
pour mieux se faire … et là c’est dur
pour moi d’éviter la censure !
Et plus c’est gros et plus ça passe
la vaseline, c’est efficace !
Pas remboursée par la sécu
mais faut pas déconner non plus !
Et pis voila que le Macron
lèche les bottes des curetons
lorgnant sur les voix des cathos :
c'est sûr il n'y a pas photo !
Car les susdits avec Fillion
l'avaient carrément eu dans l'fion!
.
Il y a des gens qui m’hérissent
il serait temps qu’ils atterrissent
mais ils continuent à voler
sans savoir qu’ils vont s’écraser !
Ils suivent leur chef d’escadrille
qui bave et rebave et nazille
( J’ai mis un « z » au lieu d’un « s »
ça me plait bien et je le laisse ! )
Il est des gens qui m’horripilent,
qui me les pilent, qui me les cassent !
Tiens-toi tranquille, toi ma godasse,
appell’ ta sœur pour qu’on se casse :
faut s’ fair’ la paire avant qu’ ça chasse !
On s’ ra jugés sur la grand place,
mais ce sera par contumace !
Pierre Dupuis
2 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus salé du Rotpier composé d'une observation et d'une question avec bien sûr des jeux de mots tôt si vous vous y collez ce matin et des jeux de mots tard si vous le faites en soirée ! Il y a aussi une tranche d'histoire avec un grand "H" et un grand Charles teinté d'OAS. Il faut quand même une touche de sérieux et de culture pour rehausser la condition humaine, aurait certainement dit Malraux en son temps !
3ème ligne, 1ère image : ce qui sort, amplifiée, de l'appareil ! 3ème image: le serpent fait toujours " s " ! ( l'autre aussi ! )
5ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le triste ! 2ème image : il y en a quatre de deux personnes !
7ème ligne, 3ème image : un des plus fameux tableaux d'Edouard Munch ! Dernière image : la moitié de ce que Titeuf regarde !
9ème ligne, 2ème image : en direct " ti " !
10ème ligne, 2ème image : petite étendue d'eau ! Dernière image : lieu ou se tenaient des marchés, il en existe encore de très belles !
11ème ligne : dernière image : où il y en a, il n'y a pas de plaisir !
12ème ligne, dernière image : les enfant font la " - - - - -" ( bien séparer les 2 syllabes: la 1ère va avec l'image d'avant et la seconde avec la 1ère image de la ligne suivante ... vous suivez bien ? )
13ème ligne, 3ème image : autre nom du bolet ! dernière image : la peinture en est un, la poésie un autre et le déchiffrage de mes rébus tordus... encore un autre !
Dernière ligne, 2ème image : fonction ou place ( ici c'était Fabien Bartez ! )
Et pis c'est tout !
A vous de jouer... entre loufoquerie et sérieux ! Il est assez relevé ... allez, tout le monde en selle !
Réponse :
Feindre de ne pas savoir ce que les selles de gays rendent relève de l’hypocrisie ! Cela aurait-il fait se marrer Salan l’un des quatre généraux du quarteron dénoncé par De Gaulle ?
PS : Pour les non initiés, en bleu les jeux de mots : Sel de Guérande et Marais salant !
C'est salé ça non ?... Salut !
6 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Poil dans la main »
« Jacques Higelin »
… Le troubadour très fantaisiste
nous a quitté …
Poil Dans La Main
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m`amadouer
Un jour j`ai vu une chaise
toute seule sur le trottoir
Une putain de belle chaise toute noire en fer
Avec des lanières de plastique tendues
Une vraie chaise de bar à putes
une chaise à l`état brut
Qui avait dû en voir et en recevoir des culs
Des gros lourdingues à fessier mou
Des p`tits malingres reserrés du trou
Ou des jolis voluptueux qui vous attirent le bout des yeux
Pour mieux leur passer les menottes
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Mais va savoir a c`moment-là
J`avais perdu le goût de m`asseoir
Et d`amarrer ma solitude
Mon cafard et mes habitudes
A celles des piliers d`abreuvoir
J`en ai eu marre d`les voir s`écrouler sur eux-mêmes
En s`raccrochantà des histoires qui tiennent pas d`bout
Ces pt`titres histoires qui vous entrainent
Au fil des heures des jours des soirs des s`maines
De soirs pisseux en matins blêmes
Direct au trou
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m`amadouerBon partage !
Rotpier
1 commentaire -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
votre commentaire -
Le poète est un funambule ... mais il ne travaille pas sans fil ... conducteur !
Image du net
Travail sans filet… mais très dérivant,
J’ai connu un poète gay,
ses rimes étaient monotones
peu profondes et très atones,
on pouvait les passer à gué !
Elles terminaient en « filé »
ou bien en « manche » ou bien en « cule »,
sans évoquer les renoncules,
pas plus que la pêche au filet !
J’ai cessé de le fréquenter
dès lors qu’il m’a fait ses yeux tendres,
je me suis enfui sans attendre :
pas question de le contenter !
Si je suis très large d’esprit,
ailleurs je refuse de l’être,
je ne veux pas me laisser mettre
… même si l’on m’offre un bon prix !
Je ne veux pas d’un avenir
du genre Sodome et Gomorrhe,
je ne suis pas un matamore,
je vous somme d’en convenir !
Péroraison rimant avec raison…
Je vous sens assez offusqués,
je ne veux plus que ça dérape
j’arrête là, je me rattrape :
je boycotte la rue du quai !
Mais …
J’ai plus d’une corde à mon arc,
ne me collez pas d’étiquette
j’écris aussi quelques bluettes
que je récite dans les parcs !
Mais de nos jours les amoureux
n’aiment plus guère les poèmes,
ils ne déclarent leurs « Je t’aime ! »
que sur Facebook … les malheureux !
Nous n’avions point besoin d’écran
pour bien maîtriser le tactile
surtout en dessous du textile
… c’était autrement enivrant !
Et nul besoin de logiciel,
ni de satanés de mots de passe,
il n’y avait guère d’impasse
pour aller au septième ciel !
Rien à faire d’applications
pour connaître la marche à suivre,
ni de valider pour poursuivre :
tout se passait à l’intuition !
Bien sûr on finissait à plat
un peu comme les batteries,
c’était la seule analogie
… vous souriez ? … c’est déjà ça !
Mais tout cela c’est du passé,
plus je vieillis, plus je radote,
je me sauve, je m’escamote,
pour éviter de ressasser !
Sans être par trop dépassé
dans mon check-up des points clignotent,
ça sent l’argus et la décote :
j’approche du vieux con cassé !
Rotpier
2 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus pas très catholique en ce dimanche de pâques ! Les articulations sont un peu difficiles ... un peu comme les miennes ... je me fais vieux !
2ème ligne, 2ème image : c'est le " - - - - " indiqué qu'il faut retenir !
3ème ligne, 1ère image : à 3 H 52 du mat, il est très " - - - " ! Dernière image : un oiseau qui aime beaucoup les glands !
4ème ligne, 1ère image :il ne faut pas prendre le court ! 2ème image : autre nom pour un tank ! Dernière image : une " - - - - " vue d'en haut !
5ème ligne, 2ème image : celui-ci est de montagne !
6ème ligne, 3ème image : le garçon " - - - - - " au présent de l'indicatif !
7ème ligne, 3ème image : ça " - - - " ... au présent de l'indicatif aussi !
9ème ligne, dernière image : petite, la sale bête est lente !
10ème ligne, 2ème image : ce qui sort amplifié de l'appareil !
11ème ligne : entre les 2 dernières images et la première de la ligne suivante, l'articulation est difficile : je vous avais prévenu ! Na !
Dernière ligne, 2ème image : quand la sale b^te pique, ça fait mal !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas facile mais ne pas essayer serait un péché ! Bons œufs de Pâques !
Réponse :
Élevé dans l’esprit catholique, j’ai longtemps cru que la cloque du péché était la punition infligée à Ève pour avoir fauté ! Étais-je naïf en ce temps-là !
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