• Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

     

     

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     


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  •  

    Un rituel pour nous tous les jours depuis ... 40 ans ! Quand l'enregistrement passe dans notre secteur, nous ne manquons jamais d'y aller !

     

    Image du net !

     

    Préambule :

    Il est un temps au déjeuner

    où bavarder n’est pas de mise

    une seule chose est permise :

    écouter et participer !

     

    Des questions de tous les niveaux,

    sans même avoir fait hypokhâgne

    après les Carnets de campagne

    c’est excellent pour les cerveaux !

     

    Pour les 1000 euros … banco !

     

    Célèbre jeu radiophonique

    sur les ondes de France Inter,

    printemps, été, automne, hiver :

    un rendez-vous emblématique !

     

    Au rythme du métallophone

    des questions de tout horizon

    sont posées dans la tradition

    à un couple de deux personnes.

     

    Quand je dis « couple » c’est « couplage »

    qu’il faut entendre, entendez bien,

    la sélection est le seul lien

    réunissant les personnages.

      

    Des bleues, des blanches et des rouges

    ce sont les couleurs des questions

    posées au duo sous pression

    qui font que les neurones bougent !

     

    Le jeu a lieu sur une scène

    dans une ville ou bien un bourg

    et c’est ainsi depuis toujours

    … il a atteint la soixantaine !

     

    C’est tous les jours de la semaine

    pendant l’heure du déjeuner

    qu’il entre dans tous les foyers

    apportant une joie certaine.

     

    Tous les mercredis les plus jeunes

    peuvent aussi s’y essayer

    et l’on reste parfois Stoufflet

    devant eux lorsque l’on déjeune !

     

    Souhaitons qu’encore elle dure :

    très longue vie à l’émission

    devenue une institution

    dans le jardin de la culture !

             

              Péroraison :

    Allez allez encouragez,

    il vous suffit de prononcer

    le mot magique … allez-y haut :

    « Banco banco banco banco ! »

     

                        Mais … 

    Je ne voudrais pas abuser

    de votre temps ni m’imposer

    ni même vous forcer la main

                                     alors …       à plus si vous le voulez bien !

     

                                                                                         Pierre Dupuis

     


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  •  

    Nul besoin d’en dire plus long pour que vous compreniez la raison de mon absence sur les blogs…

    A mardi prochain… si l’ombre des cyprès m’ignore jusque là…

    Pierre

     

    Au suivant ...

      

     

     Image du net modifiée par Pierre

      

    .

    Cortège,

     

    En cortège derrière

    le dernier qui s’en va,

    que tu sois Paul ou Pierre

    tu y penses déjà :

     « Le prochain … ce sera moi ? »

     

    Doucement tu chemines

    et l’ombre des cyprès,

    voyant que tu rumines

    t’enveloppe de près

    et, dans un murmure elle te susurre :

     « Il est possible que ce soit toi ! »

     

    Pour le coup tu frissonnes

    et tu presses le pas,

    tu rejoins la colonne

    évitant le faux-pas

    en te marmonnant tout bas :

     

    « J’ai le temps … j’ai encore le temps

    … le temps de ne pas être devant. »

    Pourtant

    … pourtant … tu sens

    … tu sais

    que l’ombre des cyprès a quelques vues sur toi.

     

                                                        

                                                                                    Pierre Dupuis

     


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  •  

    Il est certain que ce tableau et ce poème font froid dans le dos mais...  il faut de tout pour faire un monde et il existe des atrocités bien pires que celle-là...

     

    Préambule :

    Il y a dans ce tableau

    quelque chose qui glace les os.

    Une symbiose maléfique,

    un assemblage pathétique,

    quelque chose de pernicieux.

    Quelque chose comme … un suaire

    … un suaire gluant,  froid et vicieux

    qui, sournoisement,

    comme des sables mouvants,

    enveloppe les êtres de façon tentaculaire.

     

     

      Le cri Evard Munch

    « Le cri », tableau d’Edvard Munch

     

    Les cris,

     

    Au diapason

    … ils sont au diapason.

    Lui, le personnage,

    elle, la nature.

    Il n’y a pas un cri

    … il y a des cris !

    Qui provoque l’autre ?

    Qui entraîne l’autre ?

    Et ça crie !

    Et ça dure !

    Profonde déchirure

    amorce de rupture

    et le vide en dessous.

    Ça tourbillonne,

    ça frôle la torture

    … c’est la torture !

    Ça va droit dans le mur !

    Seule perspective,

    unique perspective :

    la dérive

    … la dérive encore

    … la dérive et la mort.

     

    Et ces deux-là qui s’éloignent

    et ces deux-là, sourds au drame

    … n’entendent-ils point ?

     

    N’entendent-ils point 

    ou … encore debout

    sont-ils déjà morts ?

                       

                                             

                                                Pierre Dupuis

     


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  • .

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus-interrogation que je soumettrais à l'aînée de mes petites filles qui a encore 3 ans d'études avant d'être avocate ! ... Je pense qu'elle sourira quand elle aura la réponse car je ne suis pas certain qu'elle soit bonne en rébus ! 

    Il y a bien sûr des jeux de mots !

     

    1ère ligne, dernière image : le serpent fait toujours " s " ! ( les autres aussi: c'est leur manie ! )

    2ème ligne, 1ère image : un " - - - "... de sable ou d'autre chose ! 2ème image et en direct : " ti " ! ... Oui mes titis !

    3ème ligne, 1ère image : la sale bête pique ... avec une lettre de changée vous avez la réponse ! 3ème image : quand son nez s'allonge, il  "  - - - - " ... quand c'est autre chose on ne sait pas ! ( l'autre aussi ! )

    4ème ligne, 1ère image : 0,5 Km/h c'est très " - - - - " !

    6ème ligne, dernière image : autre nom pour un bus !

    8ème ligne, 1ère image :  un " - - - - - " de blé après la moisson ! 

    10ème ligne, avant-dernière image : une " - - - " vue d''en haut ( d'un balcon par exemple ! )

    12ème ligne, 2ème image : petite, la sale bête est lente !

    Dernière ligne, 1ère image : le mec est balèze ou très  " - - - - " ! 2ème image : cette boite imitait le cri de la vache !

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer ! Il est assez court et assez facile me semble-t-il ... juridiquement parlant ! 

     

     

    Réponse :

    Est-ce que, statistiquement parlant, un mécanicien nouvellement incarcéré a plus de chance qu’un autre d’obtenir une levée d’écrou pour vice de forme ? 

     

     


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Au printemps de quoi rêvais-tu ? »

     

    « Jean Ferrat »

     

    … En mai,  fait ce qu'il de plait !

     

     

     

    Au printemps de quoi rêvais-tu ?

     

    Au printemps de quoi rêvais-tu?
    Vieux monde clos comme une orange,
    Faites que quelque chose change,
    Et l'on croisait des inconnus
    Riant aux anges
    Au printemps de quoi rêvais-tu?

    Au printemps de quoi riais-tu?
    Jeune homme bleu de l'innocence,
    Tout a couleur de l'espérance,
    Que l'on se batte dans la rue
    Ou qu'on y danse,
    Au printemps de quoi riais-tu?

    Au printemps de quoi rêvais-tu?
    Poing levé des vieilles batailles,
    Et qui sait pour quelles semailles,
    Quand la grève épousant la rue
    Bat la muraille,
    Au printemps de quoi rêvais-tu?

    Au printemps de quoi doutais-tu?
    Mon amour que rien ne rassure
    Il est victoire qui ne dure,
    Que le temps d'un Ave, pas plus
    Ou d'un parjure,
    Au printemps de quoi doutais-tu?

    Au printemps de quoi rêves-tu?
    D'une autre fin à la romance,
    Au bout du temps qui se balance,
    Un chant à peine interrompu
    D'autres s'élancent,
    Au printemps de quoi rêves-tu?

    D'un printemps ininterrompu

     

     

    Bon partage !

     

     

    Rotpier


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  •  

    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

     

     

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     


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  • .

    Il y a des mûres sur les murs

    et des murmures derrière les  murs

    et des tas d’autres choses c’est sûr

    plus ou moins claires et même obscures

    Mais on y voit aussi l’azur !

     

    Alors, je vous propose un poème déjà publié et en ces temps-là, j'étais ... au pied du mur !

     

    Le dicton du jour :

     « C’est au pied du mur qu’on voit le garçon »

     

     

    Mur

    Image du net

     

     

    Mon ami le mur,

     

    En lui faisant la courte échelle,

    je n’étais pas très innocent,

    j’avais vu que la demoiselle

    avait un beau tempérament !

     

    Le tissu de sa minijupe

    était vraiment très riquiqui,

    elle en était - pour sûr ! - pas dupe

    et en dessous c’était exquis !

     

    J’ai cultivé la maladresse

    faisant semblant de la lâcher,

    ma main a glissé sous ses fesses

    et a rampé sans la fâcher !

     

    Poussant plus loin mon avantage,

    j’ai vérifié qu’elles étaient deux !

    Quant à leur ligne de partage :

    j’ai failli me crever les yeux !

     

    Nous avons perdu l’équilibre,

    le mur que nous voulions franchir

    nous a glissé : « Vous êtes libres,

    il vous reste à vous affranchir ! »

     

    C’était un mur plein de sagesse

    qui connaissait les amoureux

    et à son pied la mousse épaisse

    formait un lit des plus moelleux !

    .

    Nous cultivions l’obéissance

    - il fallait bien obtempérer ! -

    nous avons fait mieux connaissance,

    sans chercher à se modérer !

     

    J’ai fait beaucoup de courte échelle

    et le mur m’a toujours aidé,

    quand je changeais de demoiselle

    il ne semblait pas offusqué !

     

    Mon vieux mur est toujours solide,

    je viens le voir de temps en temps,

    moi je ne suis plus si valide :

    ma courte échelle a fait son temps !

     

    A chacune de mes visites

    il me dit invariablement :

    « Tu n’amènes  plus de petite,

    ça me plaisait énormément ! »

     

    Il est vraiment resté robuste

    mais sa tête part à vau-l’eau :

    Alzheimer ! Ce n’est pas juste !

    Même les murs ont leurs fardeaux !

     

    Un jour je viendrais le rejoindre

    ne sachant plus très bien pourquoi,

    en observant la lune poindre

    nous n’auront plus le moindre émoi !

     

    Il sera temps que je trépasse,

    je ne veux pas de ces fauteuils

    où l’on dépose, où l’on entasse

    des corps déjà en demi-deuil !

     

    J’aimerais bien que l’on m’enterre

    au pied de mon fidèle ami,

    un peu de mousse, un peu de terre :

    qu’irais-je faire au paradis ?

      

     

                                                      Pierre Dupuis

     

    .


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  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus très imagé du Rotpier et vous pouvez le compléter selon votre vision des choses. Je compte sur vous pour le faire, quitte à repasser si sur le coup vous être un peu chiffonné(e)s, mais connaissant les habitué(e) je suis certain qu'ils (qu'elles) le feront dans la foulée et à pleine vapeur comme dit mon blanchisseur ! Il est long mais certains mots reviennent souvent et les images qui  les définissent aussi comme disait Félicie !

     

    1ère ligne, 3ème image : la moitié de la marque ! ... Chez moi, c'est la règle !

    3ème ligne, 2ème image : lieu ou l'on entrepose des fûts ! 3ème image : la moitié de ce que regarde ce garnement de Titeuf ! Dernière image : un ruminant de l’Himalaya (bien détacher tous les sons, voire toutes les lettres ! )

     

    6ème ligne, 1ère image : le mari de la reine !  ( les autres aussi ! )

    7ème ligne, 1ère image : le nom du jeu ... d'origine chinoise ! Ne me chercher pas de noises ... merci ! ( les autres aussi ! )      2ème image et en direst : "che" ! ( l'autre aussi ! )

    9ème ligne, 3ème image : le mec est balèse donc très   " - - - - " !

    10ème ligne, 1ère image : Quand son nez s'allonge, il  "- - - - " ! (  l'autre aussi ! )

    11ème ligne, 1ère image : le gars " - - - - " au présent de l'indicatif ! 

    12ème ligne, 3ème image : le boisson favorite des rosbifs !

    13ème ligne,  3ème image " - - - " est ce personnage !

    14ème ligne, 2ème image : des poches de  " - - - - " pour sauver des vies !

    17ème ligne, 4ème image : le champ de  " - - -  "  ( on emploie plus souvent un autre mot venant de la même famille mais il ne faut jamais se mêler des histoires de famille qui finissent parfois très mal tout comme les histoires d'amour d'ailleurs selon les Les Rita Mitsouko ! )  ... C'était juste pour donner quelques précisions ... vu ?  

     

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer ! Il est plutôt long et j'espère que vous allez prendre position sans tergiverser : cela peut être une situation inconfortable et très risquée !

     

     

     Réponse :

    Quand on a le cul entre deux chaises il y a conflit entre la fesse droite et la fesse gauche. Pour se caler plus confortablement la droite tire vers la droite et la gauche vers la gauche ce qui laisse le centre très exposé et infiniment vulnérable !  

     

    ... Belle image non ?

     

     

     


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    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Sur Un Prélude De Bach »

     

    « Maurane »

     

    … En hommage, hélas, cette fois-ci …

     

     

     

    Sur Un Prélude De Bach

     

    Lorsque j´entends ce prélude de Bach 

    Par Glen Gould, ma raison s´envole 
    Vers le port du Havre et les baraques 
    Et les cargos lourds que l´on rafistole 
    Et les torchères, les grues patraques 
    Les citernes de gasoil 

    Toi qui courais dans les flaques 
    Moi et ma tête à claques 
    Moi qui te croyais ma chose, ma bestiole 
    Moi je n´étais qu´un pot de colle 

    Lorsque j´entends ce prélude de Bach 
    Par Glen Gould, ma raison s´envole 
    Et toutes ces amours qui se détraquent 
    Et les chagrins lourds, les peines qu´on bricole 
    Et toutes mes erreurs de zodiaque 
    Et mes sautes de boussole 

    Toi, les pieds dans les flaques  Moi, et ma tête à claques 
    J´ai pris les remorqueurs pour des gondoles 
    Et moi, moi je traîne ma casserole 

    Dans cette décharge de rêves en pack 
    Qu´on bazarde au prix du pétrole 
    Pour des cols-blancs et des corbacs 
    Qui se foutent de Mozart, de Bach 

    J´donnerais Ray Charles, Mozart en vrac 
    La vie en rose, le rock´n roll 
    Tous ces bémols et tous ces couacs 
    Pour Glen Gould dans c´prélude de Bach.

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le bonus :

     

     

     

    Bon partage !

     

     

    Rotpier

     


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  •  

    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

    Les chouettes Chouettes 70

    xxxxxxxxxxxxxxx

    Les chouettes Chouettes 71

    xxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     

     


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    Un petit  pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre

     

    Allez !

    Je vous offre un petit … pastiche !

    A la vôtre !

     

    Cette fois-ci :

     

    «  Le déserteur »

    de Boris Vian

     

    qui devient :

     

              « L'objurgateur … »

     

    De … Pierre

     

    Recette pour bien le déguster :

     

    • Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

     

    • On écoute religieusement l’artiste !

     

    • On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !

    Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !

     

    Donc : on écoute !

     

     

    Maintenant on y va !

     

    L’objurgateur,

     

    Monsieur le Président
    Je vous fais une lettre
    Que vos scribes peut-être
    Vous donnerons vraiment
    Je viens de recevoir
    Mon tout petit salaire
    un salaire de misère
    De quoi broyer du noir
    Monsieur le Président
    Je ne sais plus quoi faire
    Mais surtout pas me taire

    Je vais parler aux gens
    C'est pas pour vous fâcher
    Mais il faut que j’ vous dise
    De façon très concise 

    Vous nous avez roulé


    Moi j’aime travailler
    Je tiens ça de mon père
    Et aussi de mes frères
    on n’aime pas glander
    Nul besoin d’être expert
    Pour observer qu’on tombe
    que l’avenir nous plombe
    vous faîtes du Thatcher
    Quand vous étiez banquier

    Vous fréquentiez les riches
    Qui planquent et qui trichent
    Pour mieux optimiser
    Il n’y a pas de frein
    Ils n’y vont pas d’ main morte
    et vous en quelque sorte
    Vous leur prêtez la main
     

    Monsieur le Président

    Vous préférez les riches

    Qui reniflent et pleurnichent

    Sur leur paquet d’argent

    Ils en ont tant et tant

    Que ce n’est pas croyable

    Et les dessous de table

    Sont des actes courants

    S’il faut fair’ des efforts

    Que tout le monde en fasse

    C’est par trop dégueulasse

    D’épargner les plus forts

    Vous vous avez triché

    Et viré trop à droite

    Votre pied gauche boîte

    Ce n’est pas un cliché

     

    La mondialisation

    Ce fabuleux prétexte

    Pour promulguer des textes

    Nuisibles aux nations

    Quand je dis « aux nations »

    Je parle des gens humbles

    Ceux qui sont dans la jungle

    À la merci des lions

    Voraces sociétés

    Aux cossus actionnaires

    Méprisant la misère

    Et se faisant du blé

    Ils ont des bataillons

    D’avocats de tout’ sortes

    Qu’ils paient et qu’ils exhortent

    À couvrir leur pognon

     

    Ce n’est pas une vie
    Et dans mon tour de France
    De Bretagne en Provence
    Je m’en vais dire aux gens:

    Il vous faut réfléchir
    Ne vous laissez plus faire
    Révoltez-vous mes frères
    Pour ne pas en rougir
    Mais n’allez pas bon sang
    Allez donner vos votes
    A la blonde fachote
    et son rassemblement
    Vous voyez Président

    Je ne perds pas la tête

    Je ne suis pas si bête

    Je suis un résistant

     

    J’avais voté pour vous

    Juste pour fair’ barrage

    Aux vendeurs de mirages

    Du FN et c’est tout 

    Vous nous avez roulé

    Comme l’a fait Hollande

    et ça nous fout les glandes

    de se faire entuber

    Du bon sens s’il vous plait

    Pas besoin d’être énarque

    Pour savoir qu’une barque

    Mal chargée peut couler

    Elle peut chavirer

    Tout le monde à la flotte

    Tout le monde barbotte

    Certains peuv’  se noyer

     

    Monsieur le Président

    Vous êtes absolutiste

    Genre bonapartiste

    Hautain et méprisant

    Pour vous le parlement

    Doit être à votre botte

    Hors de question qu’il vote

    Parfois en reculant

     Votre majorité

    N’a pas son mot à dire

    On la voit qui soupire

    Quelquefois pour voter

    Pas question d’étaler

    Par trop ses états d’âme

    sous le cou une lame :

    votez ou dégagez

     

    En tant que Jupiter

    Vous maîtrisez la foudre

    Le tonnerre et la poudre

    en véritable expert

    Mais il se peut qu’un jour

    Vous fassiez comme Icare

    Et que dans la bagarre

    Vous tombiez à vot’ tour

    Fini l’éternité

    Les dieux sont éphémères

    Et il est des chimères

    Qu’il vaut mieux oublier

    Monsieur le Président

    J’avais beaucoup à dire

    C’est bien mieux de l’écrire

    Ça reste dans le temps

     

    Mon titre « Objurgateur »

    Est un néologisme

    J’aime ce catéchisme

    Que d’être novateur

    Pas celui des curés

    Que vous voulez séduire

    Pour les réintroduire

    … Le genre est menacé

    Je voulais être court

    Je n’ai pas su le faire

    Je le savais naguère

    J’en ai perdu le cours

    Je n’aurais sûr’ ment pas

    L’ombre d’une réponse

    Ne serait-ce qu’une once

                                Bis)        Mais ça ira comm’ ça

     

     

                            Pierre Dupuis

     

     

     

    Et pis c’est tout !

    A la vôtre !

    Avec modération SVP !

    Sinon, cela donne ça!

    Rotpier  


    10 commentaires
  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier

     


    1 commentaire
  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est une affirmation plutôt sérieuse du Rotpier  avec quand même un petit jeu de mot ! 

     

    1ère ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s " ! 3ème image : c'est la marque du petit beurre qu'il faut prendre ! ( l'autre aussi ! )

    2ème ligne, 3ème image : "  - - - " est ce personnage ? ( l'autre aussi ... si ! ) Dernière image : lieu ou se tenaient les marchés autrefois, il en reste encore de très belles !  

    3ème ligne, dernière image : petite, la sale bête est lente !

    4ème ligne, 1ère image : un organe en coupe ! 2ème image et en direct "ch " ! Dernière image : quand on meurt, il parait qu'elle s'envole ... mes g' noux ! 

    5ème ligne, 1ère image : la dernière lettre est à marier avec l'image suivante ! 

    6ème ligne, 1ère image : en direct: " ti " !

    7ème ligne, 2ème image : quand il " - - - - " son nez s'allonge ! Dernière image : lieu où se tenait la vigie sur les ancien voiliers !

     

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer ! Il est très court, vous pourrez allez vous balader rapidement pour profiter du soleil ! J'espère que vous n'allez pas rester sur le sable ! 

    C'est un rébus auquel la Drôme adhère, j'en suis persuadé !

     

     

     Réponse :

    Celui ou celle qui a le cœur qui bat pour un chameau s’oriente inéluctablement vers une traversée du désert !

     

    Remarque:

    ... Et n'allez pas dire que je déblatère !

     

     


    7 commentaires
  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    « Rose Laurens »

    « Africa »

     

    Son tube inoubliable !

     

     

     

     

    Africa

    Je suis amoureuse d'une terre sauvage,
    un sorcier vaudou m'a peint le visage!
    Son gri-gri me suit au son des tam-tam
    Parfum de magie sur ma peau blanche de femme!
    Africa!
    J'ai envie de danser comme toi!
    De m'offrir à ta loi!
    Africa!
    De bouger à me faire mal de toi!
    Et d'obéir à ta voix!
    Africa!
    Je danse pieds nus,
    Sous un soleil rouge!
    Les dieux à genoux
    ont le coeur qui bouge!
    Le feu de mon corps
    devient un rebel!
    Le cri des gourous
    a déchiré le ciel!
    Africa!
    J'ai envie de danser comme toi!
    De m'offrir à loi!
    Africa!
    De bouger à me faire mal de toi!
    Et d'obéir à ta voix!
    Africa!
    Dangereuse et sensuelle
    sous ta pluie sucrée!
    Panthère ou gazelle
    je me suis couchée!
    Au creux de tes griffes
    je suis revenue!
    A l'ombre des cases
    je ferai ma tribu!
    Africa!
    J'ai envie de danser comme toi!
    Et d'obéir à ta voix!
    Africa!
    Africa!
    Je suis amoureuse d'une terre sauvage,
    un sorcier vaudou m'a peint le visage!
    Son gri-gri me suit au son des tambours
    Parfum de folie magie de l'amour!
    Je suis amoureuse d'une terre sauvage,
    un sorcier vaudou m'a peint le visage!
    Son gri-gri me suit au son des tambours
    Parfum de folie magie de l'amour!
    Je suis amoureuse d'une terre sauvage,
    un sorcier vaudou m'a peint le visage!
    Son gri-gri me suit au son des tambours
    Parfum de folie magie de l'amour!
    Je suis amoureuse d'une terre sauvage,
    un sorcier vaudou m'a peint le visage!
    Son gri-gri me suit au son des tambours
    Parfum de folie magie de l'amour!
    Africa!

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier


    2 commentaires
  • .

    Image du net !

     

    Exorde :

    C’était pour bien situer l’époque,

    dans les années mille neuf cent

    et même un petit peu avant

    ce sont ces temps-là que j’évoque.

     

    Un trésor d’un autre temps,

     

    En ces temps-là être à la page

    était de l’avoir en chevet

    ou pour le jour sur le buffet

    lieu idéal pour le partage.

     

    Mieux valait bien sûr savoir lire

    pour apprécier son contenu

    cela parait bien saugrenu

    mais loin de moi toute satire.

     

    Au plus profond de nos campagnes

    tous les hommes ne savaient pas

    lire et écrire loin de là

    et pas beaucoup plus leurs compagnes.

     

    Mais il y avait les images

    qui faisaient déjà bien rêver

    et le soir après le souper

    un enfant décryptait les pages.

      

    Et quelle fierté pour un môme

    de pouvoir aider ses parents

    en leur lisant tout simplement

    quelques lignes en monochrome.

     

    Jules Ferry l’avant-gardiste

    avait fait appliquer ses lois

    d’obligation sans passe-droit

    à l’école sans catéchiste !

     

    Certains foyers trop en mésaise

    ne possédaient pas ce trésor

    engendreur de rêves en or

    et ils en étaient mal à l’aise.

     

    Un usuel meilleur que la bible

    et mieux illustré de surcroit,

    du terre à terre auquel on croit :

    pas de blabla mais du tangible.

     

    Je vous parle d’un catalogue

    l’un des premiers à exister

    un outil à faire rêver

    à engendrer des monologues.

     

    Plusieurs milliers de références

    du fusil à l’harmonica :

    la caverne d’Ali Baba

    sans sésame et sans concurrence !

     

    Pour l’époque très en avance,

    nous étions avant mille neuf cent

    ce catalogue en noir et blanc

    a révolutionné la France !

     

    De quoi sortir de l’ignorance

    dans sa grande globalité

    beaucoup de gens et j’ai cité :

    le catalogue Manufrance !

      

    De la même manufacture

    venait une autre production

    c’était une publication

    poussant aussi à la lecture.

     

    Chasse ou pêche ou bien jardinage

    étaient les sujets abordés

    dans ce mensuel très consulté

    jusqu’aux fins fonds de nos villages.

     

    Tous les mois avec impatience

    on le guettait on l’attendait

    je parle du « Chasseur Français »

    qui avait une grande audience.

     

    Suite à la tourmente mondiale

    de la guerre de quatorze-dix-huit

    le mensuel porta au zénith

    … les annonces matrimoniales !

     

    Après la grande boucherie

    les hommes n’étaient plus nombreux

    il ne restait plus que des vieux :

    les champs étaient en incurie.

     

    Devenus une denrée rare

    ils étaient plus que courtisés

    aussitôt démobilisés

    ils étaient cueillis dare-dare !

     

    Ils avaient eu la grande chance

    de survivre à tous les combats

    aux obus aux gaz aux rats

    pendant cette infernale danse !

     

    Passer des tranchées à la terre

    c’était souvent aussi boueux

    mais grandement moins dangereux :

    plus de fumées plus de cratères !

     

    Tout un roman toute une époque

    surtout dans le monde rural

    il y aurait sans trop de mal

    de quoi en faire un long colloque !

     

    Un long colloque ou une thèse

    étayés par de vrais récits

    d’anciens ayant vécu ceci

    à la mémoire encore à l’aise.

     

              Précision subsidiaire :

    Ma famille étant en mésaise

    je n’ai connu que bien plus tard

    ces publications super star

    au seins des campagnes françaises.

     

                                                                    Pierre Dupuis

     

    Image du net ! 

     


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