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    Avis de vacances !

     Chers ami(e)s  et internautes,

     Ce blog ne sera plus alimenté pendant

    2 semaines 1/2  à 3 semaines :

    il va donc maigrir !

     

    Le Rotpier sera en vacances du coté de Mayenne (53)

    à Bais pour être plus précis... Pierre aussi !

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    Mayenne  ( image du net )

     

    Situation géographique : image du net !

     

     

      

    Je vous laisse avec un peu de lecture:

    Le " Robinson pris au piège " de Pierre,

    bien que l'on soit un jeudi et non un vendredi !

     

     

    Pour ceux qui ne le connaisse pas ou bien pour ceux

    qui veulent le relire pendant mon absence sur la toile ... 

    Attention ! C'est assez long !

    Si vous avez le temps allez-y

    ... sinon, revenez à un autre moment !

     

       

    Image prise sur le net et modifiée par mes soins !   

    .

    Robinson pris au piège,

     

    Depuis trois ans déjà, je vivais sur cette île ;

    robinson volontaire et toujours décidé

    à ne plus retourner dans des milieux futiles

    générateurs, pour moi, d’avenir oxydé.

     

    J’avais fait table rase, en me coupant du monde,

    de toutes relations comportant des humains

    et je m’affranchissais doucement d’une blonde

    que j’avais bien longtemps supplié des deux mains.

     

    J’arrivais à un âge où la philosophie

    se trouve au fond de soi  - oublié tous les cours ! -

    bien qu’étant convaincu que leur sérigraphie

    imprègne à tout jamais, les écrits, les discours.

     

    Je passais tout mon temps en longues promenades,

    sur des grèves de rêve aux sables éblouissants ;

    je savais sur cette île une unique peuplade

    dont le village était sur un autre versant.

     

    Je ne les connaissais que du bout des jumelles.

    Ils vivaient simplement et avaient sous la main

    de quoi boire et manger de façon naturelle ;

    j’évitais à tout prix de croiser leur chemin.

     

    Me savaient-ils ici ?

     

    En y réfléchissant, il semblait peu probable

    que des centaines d’yeux ne m’aient pas découvert,

    car, même en y veillant, mes traces sur le sable

    s’ajoutaient tous les jours à des signes divers.

     

    Pourquoi m’évitaient-ils ? Je ne savais le dire

    et ce n’aurait été que des supputations :

    quand on n’en sait pas plus on devrait s’interdire

    de donner des avis risquant l’aberration !

      

    J’ai toujours détesté les  « si cela se trouve … »

    les « il se pourrait que … » et autres locutions

    qui n’ont pour autre but  - c’est ce que je réprouve ! -

    que de donner à boire aux saoules discussions !

     

    Ce point de vue aussi, avait pesé lourd

    dans mon choix d’exil volontaire.

     

    Dans ce fait avéré d’ignorance tacite,

    le temps coulait tranquille et pourtant un matin,

    l’espace d’un regard, tout bascula très vite :

    mon vœu de rester seul se trouva fort atteint !

     

    Alors que je pêchais des poissons de rivage,

    je sentis un regard se poser sur mes reins.

    J’excluais tout de suite un animal sauvage :

    trois ans de solitude affûtent les instincts !

     

     Mon regard balaya les rochers de la rive,

    arrondis par le sable emporté par le vent,

    sa longue silhouette aux chauds reflets de cuivre

    éclipsait la beauté des rayons du levant.

     

    Elle avait au poignet deux fines cordelettes

    -         un costume à vrai dire extrêmement ténu ! -

    et si l’on exceptait cinq à six gouttelettes,

    les rochers arrondis paraissaient bien moins nus !

     

    Miracle de la nature,

    la communion des formes confinait au sublime :

     

    Assemblage parfait de courbes harmonieuses !

    Un décor à lever des légions de pinceaux,

    à faire se signer des bigotes furieuses,

    à jeter dans les lits des milliers de puceaux !

     

    Acceptant sans ciller mon intime inventaire,

    elle avança vers moi, me montrant qu’elle aussi

    se passait volontiers de protocole austère,

    provoquant sans façon le plus chaud des lacis !

     

    Abjurant sur-le-champ mon vœu de solitude,

    je laissais libre cours à mes mâles instincts :

    un tremblement de chairs de grande magnitude

    agita nos deux corps dans le petit matin.

     

    Pas besoin de parler en telle circonstance,

    car la langue en amour - le langage s’entend ! -

    n’est pas un élément de très grande importance :

    on se comprend toujours dès lors que l’on s’étend !

     

    Quand le calme revint, nos regards se croisèrent

    -         sans s’occuper de moi, sans prendre mon avis ! -

    et sans mal apparent, ses yeux aux miens parlèrent

    en cet instant ouaté du désir assouvi.

     

    Je ne compris pas tout de leur conciliabule

    -         c’est un fait avéré : les yeux ont leurs secrets ! -

    sur le fil du regard, en adroits funambules,

    se croisent les serments dans des ballets discrets !

     

     Au terme de l’échange, en guise d’amulette,

    elle prit mon poignet pour y glisser du sien,

    regard devenu grave, une des cordelettes

    avec l’habileté d’un parfait magicien !

     

    D’un léger coup de rein l’impeccable plastique

    de son corps onduleux s’étira vers le haut.

    Les rayons du soleil par effet chromatique

    s’amusaient à changer la couleur de sa peau.

     

    Silhouette irréelle, elle s’évanouit.

     

    Je restais étourdi, sans bouger sur le sable.

    Ce n’était pas un rêve … un cauchemar non plus ;

    je ne m’accusais pas … quoiqu’un peu responsable,

    de cet acte réflexe en aucun cas voulu.

      

    Je conquis l’amitié des poissons de rivage

    en revenant souvent, m’abstenant de pêcher,

    tout du moins dans ce sens, car la beauté sauvage

    y revenait aussi : pourquoi l’en empêcher ?

     

    Elle arrivait toujours en costume identique,

    en guise de discours, me montrant son poignet.

    J’avais depuis longtemps appris la mimétique :

    les cordelettes-liens nous servaient de signet !

     

    Spectateurs assidus de nos folles étreintes,

    les oiseaux de bordure acquiesçaient à grands cris !

    Ajoutons à cela nos rires et nos plaintes

    et la plage héritait d’un vrai charivari !

     

    Cependant … quelques fausses notes

    venaient troubler le bel ordre établi.

     

    Il arrivait parfois qu’une semaine entière

    je ne la visse pas : où était-elle alors ?

    Cette interrogation n’étant pas la première,

    je m’aperçus du piège et je sentis ses mors !

     

    Trop tard pour m’arracher : la prise était solide !

    Mélange de regrets, de plaisirs, de soupirs,

    mes sentiments hachés, parfois, frôlaient le vide :

    je rêvassais sans cesse au lieu de déguerpir !

     

    Un jour elle arriva plus tard que de coutume.

    Je ne l’espérais plus et allais m’éloigner,

    je relevais de suite un détail de costume :

    Eve brune intégrale y compris le poignet !

     

    Ce détail mis à part, rien ne changea de suite

    dans le ballet rodé de nos ardents ébats,

    se donnant sans tabou, repoussant les limites,

    elle assumait son rôle en ces vaillants combats.

     

      C’est après le repos - que toute joute implique -

    que vint le changement. Quand, désir éloquent,

    du tremblement de chairs, je voulus la réplique,

    elle se déroba me laissant paniquant.

     

    Un long moment passa - parenthèse immobile -

    puis elle se leva me montrant son poignet ;

    je compris à l’instant : d’un geste malhabile,

    je lui rendis son lien puis courus m’éloigner.

     

    Combien de temps errais-je en suivant le rivage,

    à ressasser la chose, à chercher la raison ?

    Autant qu’il en fallait pour le grand lessivage

    de mon morne cerveau parlant de trahison.

     

    Je ne demandais rien que de vivre en ermite,

    de savourer la paix jusqu’à mon dernier jour ;

    pourquoi donc accepter un cadeau-dynamite

    quand on sait qu’il explose en vous broyant toujours !

     

    Ce qui prouve que l’homme a bien faible mémoire,

    regobant l’hameçon garni du même appât :

    il hisse sa bêtise en tare expiatoire

    et même les poissons ne s’y reprennent pas !

     

    Vidé de toute force et le cerveau en friche,

    je m’écroulais sur place et d’un coup m’endormis.

    La nuit fut écran noir - pas de rêve à l’affiche ! -

     d’une désolation comme il n’est pas permis.

     

    La lune me veilla, naufragé sur le sable.

    La fraîcheur matinale activa tous mes sens ;

    Je me surpris calmé, tout à fait responsable,

    abandonnant la grève … allant à contresens.

     

    Avec grande douceur, les vagues m’accueillirent

    et comme mon cerveau, mon corps se purifia.

    Equilibre parfait, sans jamais tressaillir,

    je goûtais les bienfaits de ce bonheur médiat.

     

    La mer ayant comprit ma grande lassitude,

    se referma sur moi, m’accueillant sans façon.

    Fossoyeuse efficace en toute latitude,

    elle connaissait l’homme et savait sa chanson.

     

    Il me restait encore un soupçon de croyance :

    que mon âme et mon corps pouvaient se séparer !

    Je prenais cette option - était-ce clairvoyance ? -

    au point où j’en étais, autant m’en emparer !

     

       Je mourus sans souffrir : ce ne fut que justice !

    Mon corps entre deux eaux flottait élégamment,

    un courant l’entraîna sur le bord d’un abysse

    qui faillit l’avaler définitivement !

     

    Une main secourable empêcha sa descente,

    le prenant par la main comme on prend un enfant.

    J’assistais à la scène et réserve décente,

    je restais en retrait tout en les observant.

     

    Quand il tourna la tête et qu’il vit la sirène,

    mon corps se démena comme étant possédé :

    tout ! - et même finir rongé par les murènes ! -

    plutôt que de céder à l’appât dénudé !

     

    Il avait avalé déjà bien trop d’arêtes :

    pas question de goûter à la femme poisson !

    Il sacrifia sa main d’une façon secrète

    et plongea sans regrets dans l’abîme sans fond.

     

    Je me retrouvais seul, alors pourquoi poursuivre

    ma quête de bonheur sans pouvoir y goûter ?

    Une âme sans son corps n’a plus raison de vivre,

    je disparus d’un coup dans un remous bleuté

                                                         

                                                     Pierre Dupuis

     

     

    Merci de m'avoir lu jusqu'à la fin !

    .

    A bientôt ... vers le 18 ou 20 septembre !

     


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    J'ai retrouvé tout à l'heure, tout au fond d'un placard, ce poème ancien dont je ne me souvenais plus ... aussi :

    Je vous le propose, sur l’heure et vous le poste de l’Eure.

    Et… quand c'est l’Eure c’est l’Eure,

    avant l’Eure c’est pas l’Eure,

    après l’Eure c’est plus l’Eure !

     

    Et, si vous aimez, n’hésitez pas à en reprendre engore et engore !

     

    Horloge biologique

    Image du net

     

    Sa dernière heure avait sonné,

     

    Il était là, gisant,

    enfin … ce qu’il en restait

    et ce n’était pas peu dire.

    C’était … c’était … comment définir

    … hallucinant, hallucinant et terrifiant.

    Il y en avait partout,

    au sol, sur les murs, au plafond,

    des gros et des petits bouts

    … il était éventré

    … complètement éventré.

    Dans son pied gauche

    une aiguille était plantée

    … la grande.

    Dans son œil, le gauche,

    … oui, le gauche aussi, allez savoir pourquoi,

    la petite s’était fichée.

    Une série de chiffres, romains,

    de un à douze mais dans un ordre libre

    pendait au lustre de part et d’autre ainsi qu’une main,

    … la droite… ce qui rétablissait un peu l’équilibre.

    Ses viscères, interminables spirales,

    étaient tout déroulés, tout détendus.

    Tout cela ne marcherait plus

    … indubitablement impossible à remonter.

    Sa dernière heure avait sonné.

     

    Cela faisait déjà un moment

    qu’il n’allait pas bien

    … il était décalé… oui, c’est ça, décalé,

    jamais à l’heure.

    On le sentait complètement perdu,

    pas bien dans sa peau assurément

    … son rythme circadien ne répondait plus.

     

    Et, aujourd’hui, d’heure en heure,

    son état avait empiré

    et sur le coup de midi et demi,

    sans perdre connaissance,

    il avait avalé son horloge interne

    comme d’autre leur bulletin de naissance

    et tout avait explosé !

    Fatal engrenage,

    la belle mécanique s’était désintégrée.

     

    Il était là, gisant,

    enfin … ce qu’il en restait.

    Sa dernière heure avait bel et bien sonné

    … définitivement.

    Terrible fin pour un horloger.

     

     

                                         Rotpier

     

     

     

    Vieux réveil cassé 2

     Image du net

     

     

     

     


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    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier

     


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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    .

    C’est un rébus très carré du Rotpier qui fleure bon l'absurdité !

     

    1ère ligne, dernière image: l'assassin " - - -  " au présent de l'indicatif ! 

    3ème ligne, 1ère image: la suite de l'onomatopée d'Antoine !

    4ème ligne, 1ère image: c'est du cochon bien gras tranché en petits dés ou en lamelles !

    5ème ligne, 3ème image : autre nom pour un bus !

    6ème ligne, 3ème image: le mec a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !

    7ème ligne, 3ème image : tous ces objet sont  " - - - - - " ... comme vous allez l'être ce midi si vous n'être pas raisonnable à table ! 

    8ème ligne, 2ème image : il est comme moi: il  " - - - - - " beaucoup !

    9ème ligne, 2ème image : le sein bol de la "  - - - -  " !  Dernière image : il parait qu'elle s'envole quand on meure ... et mes g'nous !

    10ème ligne, 1ère image : le cri du bébé ! 3ème image : la moitié de la marque, c'est la règle !

    12ème ligne, 2ème image et en direct : le sein bol de la " vie " ! Dernière image :  le cri de la vache imité par la boite !

    Dernière ligne, 1ère :  le serpent fait "s" ! Dernière image : le personnage est tordu de  " - - - - " ! ... MDR !

     

    Et pis c'est tout !

     

    Allez, au boulot ! Ne restez pas sur place ou vous risquez de prendre racine. Venez plutôt m'aider à résoudre mon problème ... avec ou sans calculatrice ! 

     

     

    Réponse :

     Je m’évertue en vain à essayer d’extraire la racine carrée d’une carotte et je tourne en rond. Je pense que c’est râpé à moins qu’une âme charitable ne vienne me secourir !

     

     

     

    Qu'il dit l'animal !

     


    8 commentaires
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    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Croisières méditerranéennes »

     

    « Bernard Lavilliers »

     

    … Un petit bijou de notre dur au cœur tendre

    et parce que rien n'a changé sauf peut-être empiré…

     

     

    Croisières méditerranéennes,

    Venus des hauts plateaux 
    Incendiés par la guerre, écrasés de soleil 
    Les fourmis silencieuses 
    Fouettées par la poussière, dévorées par le sel 
    On avait tous un jour 
    Imaginé la mer et la douceur du vent 
    Et dans cette nuit noire 
    On a payé si cher, on coule en dérivant 

    Croisière méditerranéenne 
    Sourire carnassier des murènes 
    Très loin des sirènes italiennes 
    Tu atteindras ces rives sombres 
    Très près des côtes siciliennes 
    Les vierges noires comme une traîne 

    Imaginer la mer 
    Qu'on a payé si cher 
    Imaginer la mer 

    On est venu de loin 
    Plus loin que tes repères à des millions de pas 
    On est venu à pied 
    Du fond de la misère, on nous arrête pas 
    Retourne à la maison 
    Et si y'en avait une, je ne serai pas là 
    Et la mer engloutit, dans un rouleau d'écume, mon chant et puis ma voix 

    Croisière méditerranéenne 
    Sourire carnassier de nous mêmes 
    Très loin des sirènes italiennes 
    Tu atteindras ces rives sombres 
    Très près des côtes siciliennes 
    Les vierges noires comme une traîne 

    Imaginer la mer 
    Qu'on a payé si cher 
    Imaginer la mer 
    Imaginer la mer 

    Nous dormons dans des villes 
    Ombre parmi les ombres, les longs couteaux tirés 
    À deux doigts de l’Europe 
    On a rêvé si fort, on commence à douter 
    Il est resté debout, devant les barbelés 
    Sous le ciel minéral 
    Tu commences à ramper 
    En dessous du silence, et dans l'oubli total 

    Croisière méditerranéenne 
    Sourire carnassier de nous mêmes 
    Très loin des sirènes italiennes 
    Tu atteindras ces rives sombres 
    Très près des côtes siciliennes 
    Les vierges noires comme une traîne 

    Imaginer la mer 
    Qu'on a payé si cher 
    Imaginer la mer

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     

     


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    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

     

     

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     


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    Image du net

     

    Impromptu N°1 sans queue ni tête de Rotpier,

     

    C’était un gars chaud de la pince

    et qui au lit soyons bon prince

    se défendait plus que très bien.

     

    Il avait aussi des principes

    et disait qu’il valait bien mieux

    que l’on soit à poil ou en slip

    donner sa langue à qui mieux mieux

    à une chatte sympathique

    qu’à un chat tout galeux et vieux !

     

    Il disait aussi sans jambage :

    « Pour trouver chaussure à son pied

    il faut beaucoup en essayer

    de toute sorte et de tout âge ! »

     

    Bref un gars très sensé et calme

    préférant largement monter

    sur une pouliche excitée

    que sur ses grands chevaux sans palme !

     

    « Casanova de caniveau ! »

    s’insurgeaient de nombreux jaloux

    et il y en avait beaucoup :

    les cocus sont méchants et sots !

     

         Observation :

    Les coincés des zygomatiques

    les tenants du rictus figé

    vont s’offusquer de la métrique

     de cet écrit très chaotique

    manquant beaucoup de rhétorique

    … je ne suis pas leur obligé !

    Je m’en bats l’œil et autre chose

    et tant pis si ça indispose

    je refuse la sinistrose

    qui fout le bourdon et sclérose !

     

    Ce n’est pas chez moi une règle

    de temps en temps je me dérègle

    je me dérepaire je me désaxe

    je me Nana, je me Tampax

    oui d’accord là j’en fais un max

    mais je ne signe pas Furax !

     

    Je deviens alors un bouffon

    balloté comme un vil bouchon

    au gré des vents et des marrées

    et arrivant un jour en nage

    sur une bite d’amarrage

    devant des matelots tarés !

     

    Voila c’est la fin du voyage

    je range tout, je plie bagage

    la seule question restant à quai :

    allez-vous rester aux taquets

    ou bien vous marrer tant et plus

    comme une bande de bossus

    tombant sur de plus bossus qu’eux ?

    … j’attends de voir, je suis curieux !

    Allez-vous ou non aimer ça ?

    Allez-vous devant votre écran

    vous poiler ou bien être à cran ?

    Surtout pas de couci-couça !

    Le pire étant l’indifférence

    pis que la critique à outrance

    que l’on peut comprendre et contrer

    et même lui tailler le lard

    ou bien lui faire un pied de nez

    ou bien au sommet de son art

    … s’en tamponner le coquillard !

     

                                            Rotpier

     

     


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    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    .

    C’est une profonde vérité du Rotpier !

    1ère ligne, dernière image: c'est la figure géométrique qu'il faut prendre en compte !

    2ème ligne, 1ère image: en direct: "hêtre" ! .............. 3ème image: le mec a une sacrée "- - - -"  ............ et pis c'est tout !

    3ème ligne, 2ème image: une lettre de l'alphabet grec !

    4ème ligne, 1ère image: en direct: "vie"! ... dernière image : ce que montre la flèche (à enchaîner avec la 1ère image de la ligne suivante !)

    5ème ligne, 3ème image : oiseau qui peut parler en captivité et qui aime les glands, donc qui ne m'aime pas !

    6ème ligne, 1ère image: il est sélectif ... de plus en plus et heureusement ! ... avant dernière image: "- - - " est ce personnage ?

    Dernière ligne: le serpent fait "se" !

     

     

    Pas facile à démêler tout ça !  Mais je suis certain que vous allez trouver: vous êtes des champions !

     

         Réponse :

          On peut connaître toutes les ficelles de la vie et se laisser piéger par le premier string qui passe ! 

     

    Qu'il dit l'animal !

     


    7 commentaires
  • .

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

    Cette fois-ci :

     

    Aretha Franklin

     « The Queen of Soul »

     

    Le cœur d'Aretha s'est arrêté,

    il nous reste ses chansons et ses leçons d'engagement politique et social.

     

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     


    5 commentaires
  • Suite à : 

    https://www.lexpress.fr/actualite/monde/une-enquete-accuse-300-pretres-de-pedophilie-en-pennsylvanie_2030925.html

    Je remets ce poème une nouvelle fois et je pense, hélas, que ce ne sera pas la dernière.

    Je vous mets aussi une pensée que je devais mettre en rébus:

     " La charge la plus lourde à porter pour un nouveau pape c’est qu’il devient le chef de file de nombreux pédophiles sans forcément faire partie intrinsèquement de la congrégation. "

    ... A méditer !

     

     Image du net modifiée par moi-même

     

     Tu le diras un jour ...

     

    Neuf ans,

     

    tu avais neuf ans.

     

    Lui ?  Quarante… à peu près.

     

    Il t’en imposait

     

    …il en imposait à tout le monde !

     

    Il était l’autorité reconnue.

     

    Reconnu de tous.

     

    Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !

     

    Toi, plus que tout autre.

     

    Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.

     

    Oh ! il avait soigneusement choisi !

     

    Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !

     

     

     

    Des bruits avaient bien circulé …

     

    mais il en circule tant… des bruits !

     

    Et puis … si gentil, si près des enfants !

     

    Lui, l’organisateur des veillées,

     

     des ballades, des feux de camp,

     

    des sorties, des colos !

     

    Et toujours le bon mot !

     

    Si serviable, si près des enfants …

     

    Trop près !

     

    Beaucoup trop près !

     

     

     

    Avec ta naïveté et ta timidité,

     

     tu n’avais rien vu venir.

     

    Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,

     

    l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !

     

    Et … c’était arrivé.

     

    Après … des promesses ! … des menaces !

     

    Trois fois il a recommencé !

     

    Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.

     

    Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.

     

    Il a continué les promesses … les menaces

     

    … beaucoup plus les menaces !

     

    Mentalement, il t’a bâillonné,

     

    il t’a mis dans sa nasse !

     

    Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !

     

     

     

    Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !

     

    Image claire et nette dans ta mémoire

     

    qui remonte certains soirs

     

    … certains soirs un peu plus noirs.

     

    Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,

     

    d’un fait plus fort que les autres

     

    … un procès ?

     

    Une lecture sur le sujet ?

     

    Une émission de télé ?

     

    ou bien tout simplement … l’amour !

     

     L’amour et toute la confiance en une femme,

     

    pour qu’enfin tu parles, que tu dises,

     

    que tu accuses le maudit, l’infâme !

     

     

     

    Le calculateur !

     

    Le manipulateur !

     

    Le maître chanteur !

     

    Le persécuteur !

     

    L’abject prédateur !

     

     

     

    Et d’autres suivront !

     

    Oui ! D’autres suivront !

     

    Et vous  éviterez que nuise encore le scélérat

     

    … l’ignoble ordure qui t’a fait ça !

     

     

                                                                     Pierre Dupuis

     

     

    Déjà publié et ne s'adressant pas qu'aux prêtres  ...

     


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  •  

    Je reprends la pensée de mon rébus de dimanche et je développe un peu :


    Statue dans mon jardin

     

    Donc, je développe un peu :

     

    Ce qui devrait se passer

     


    Ce qui se passe en réalité : ça ne ruisselle pas du tout !

     

    Les deux dernières image viennent du blog VINCENTDIDIER

    Lien :   http://www.vincentdidier.net/2017/10/la-theorie-du-ruissellement.html

    .

    Un autre lien traitant du sujet : https://www.nouvelobs.com/edito/20170929.OBS5332/la-theorie-du-ruissellement-fable-des-annees-1980.html

     

    Et pis c’est tout !

    Bonne méditation et préparez le parapluie !

    ... En parlant de parapluie et de ruissellement je préfère ceci :

     

     

    Le parapluie

    Il pleuvait fort sur la grand-route
    Elle cheminait sans parapluie
    J'en avais un, volé, sans doute
    Le matin même à un ami
    Courant alors à sa rescousse
    Je lui propose un peu d'abri
    En séchant l'eau de sa frimousse
    D'un air très doux, elle m'a dit oui

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chose d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au change, pardi

    Chemin faisant, que ce fut tendre
    D'ouïr à deux le chant joli
    Que l'eau du ciel faisait entendre
    Sur le toit de mon parapluie
    J'aurais voulu, comme au déluge
    Voir sans arrêt tomber la pluie
    Pour la garder, sous mon refuge
    Quarante jours, quarante nuits

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chose d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au change, pardi

    Mais bêtement, même en orage
    Les routes vont vers des pays
    Bientôt le sien fit un barrage
    A l'horizon de ma folie
    Il a fallu qu'elle me quitte
    Après m'avoir dit grand merci
    Et je l'ai vue toute petite
    Partir gaiement vers mon oubli

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chose d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au change, pardi

     

     

    Article de:  Rotpier

     


    5 commentaires
  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c'est tout Rotpier


    2 commentaires
  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus du Rotpier, qui n'a ni fait l'ENA, ni HEC ni travaillé au FMI mais qui sent bien les choses sans les avoirs fréquentés !

     

    1ère ligne, 3ème image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies ! ( l'autre aussi ! )

    2ème ligne, 2ème image : La boisson favorite des rosbifs !

    3ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le mou ! 4ème image : quand son nez s'allonge, il  " - - - - " ... quand c'est autre chose on ne sait pas ! ( l'autre aussi ! )

    4ème ligne, 2ème image : quand le bébé a fini de téter il fait son "  - - - " ... le Rotpier aussi ! 

    5ème ligne, 1ère image : ce n'est pas un PC ! 2ème image : tous ces objets sont "  - - - - " ... comme vous le serez si vous n’êtes pas sobre ce midi !  

    6ème ligne, 1ère image :"  - - - - - " comme Crésus ! 

    7ème ligne, dernière imange : le serpent fait toujours " s " ! ( les autres aussi: ils sont frères ! )

    8ème ligne, 1ère image : la musique, la peinture, la sculpture, la poésie  en font partie !

    9ème ligne, dernière image : attention, c'est  " - - - - " bouillant !

    11ème ligne, 2ème image : en direst " U " ! 3ème image : le mec a la crève, il a une sacrée "  - - - - "  ... et pis c'est tout ! 

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer !  ... Que vous soyez de Bruxelles ou pas !  J'espère que cette profonde pensée sera reprise sur les réseaux sociaux ! 

     

     Réponse :

    Je la sens bien la théorie du ruissellement prônée par Macron et les riches, je la sens bien. Ça ruisselle ça ruisselle c’est chaud… ils nous pissent dessus tout simplement !

    Nota :

     J’y reviendrai mardi pour un petit complément !

     

     


    11 commentaires
  • .

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    Michel Jonasz

     « Dites-moi »

     

     

        

    Dites-moi

     

    Elle avait toujours
    Dans son porte monnaie
    L'île au trésor
    Et des pièces de un franc usées
    Un pinceau de poil de martre
    Pour mettre des rideaux bleus
    Aux fenêtres de ses yeux
    Aux fenêtres de ses yeux
    Un livre à la main sur le balcon
    Elle s'endormait
    Dans un vieux fauteuil de Manille
    Je cherchais des prénoms
    Mathieu, Cécile
    En regardant courir vers dix heures
    Dans l'école des filles et des garçons

    {Refrain:}
    Dites moi dites moi même
    Qu'elle est partie pour un autre que moi
    Mais pas à cause de moi
    Dites moi ça
    Dites moi ça
    Dites moi dites moi même
    Qu'elle est partie pour un autre que moi
    Mais pas à cause de moi
    Dites moi ça
    Dites moi ça

    Dans mon cœur vaudou
    Il y a quatre épingles
    Qu'elle a pris soin d'abandonner
    Pour que je pleure
    J'ai cloué ma porte
    Qu'est ce qui m'a pris
    J'ai brisé le miroir où elle faisait ses tresses
    Mis du papier journal sous les fenêtres
    J'entendais de l'école trop de cris
    Il n'est rien né de notre lit

    {au Refrain}

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     

     


    4 commentaires
  •  

    Un petit  pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre

    Ceux qui me suivent connaissent mes démêlées avec le maire de ma commune en temps de vice-président et webmestre de l'association l'AMG créée pour contrer ses dérives .

     

     

    Allez !

    Je vous offre un petit … pastiche !

    A la vôtre !

     

    Cette fois-ci :

     

    «  Le déserteur »

    de Boris Vian

     

    qui devient :

     

              « L'accusateur … »

     

    De … Pierre

     

    Recette pour bien le déguster :

     

    • Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

     

    • On écoute religieusement l’artiste !

     

    • On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !

    Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !

     

    Donc : on écoute !

     

     

    Maintenant on y va !

     

    Pastiche du « Déserteur » de Boris Vian.

     

    L’accusateur,

     

    Monsieur le maire autant

    Vous dire  que la lettre

    Que j’ai osé commettre

    A assez de mordant

     Elle est dans le droit-fil

    Des vers et des poèmes

    Bâtis en anathème

    Aux confins du civil

    Forme d’objurgations

    Qui de marbre vous laissent

    Mais dont j’ai la faiblesse

    De croire en leur action

    Du haut de votre ego

    Vous avez de l’aisance

    Beaucoup de suffisance

    Et vous toisez de haut

     

    Mon regret le plus grand

    Est mon action tardive

    À contrer vos dérives

    Et tous vos errements

    J’aurais du m’impliquer

    Bien plutôt dans la danse

    Entrer en dissidence

    Et je dois m’expliquer

    Je ne connaissais pas

    La façon arbitraire

    De mener les affaires

    Que vous aviez déjà

    Il a fallut un heurt

    Pour en prendre conscience

    Et entrer en défiance

    Et j’y vais de bon cœur

     

    Je ne suis pas certain

    De percer la cuirasse

    Mais d’y laisser des traces

    Ça je l’espère bien

    Nul besoin d’être sûr

    De gagner pour se battre

    Il faut toujours combattre

    Même contre des murs

    Vous connaissez les lois

    Il faut le reconnaître

    Il faut bien les connaître

    Pour s’en jouer parfois

    Vous avez votre cour

    Et vous savez y faire

    Vous avez la manière

    Le verbe et le discours

     

    Vous les avez choisis

    Pour leur coté docile

    Comportement servile

    Certains sont vos nervis

     Vous en avez besoin

    Pour couvrir vos manœuvres

    Afin de mettre en œuvre

    Vos plans et vos dessins

    Je ne crois plus en ceux

    Prônant l’indépendance

    Ils restent dans la danse

    Même quand c’est vaseux

    Ils sont inféodés

    Mais resterons coupables

    De leur indubitable

    Statut d’embrigadés

     

    Comment ne pas penser

    Que certains en profitent

    Ceux de la proche orbite

    du cercle rapproché

    « Je te donne la main

    C’est toi qui fait la donne »

    La recette est très bonne

    On connaît le refrain

    Ça marche à tous les coups

    L’omerta est de mise

    Sur les choses promises

    Tout reste dans le flou

    En dehors de la cour

    Des favoris gravitent

    Genre bernard-l’ermite

    Jamais trop au grand jour

     

    L’opacité c’est net

    Vous convient à merveille

    L’encre de la bouteille

    À l’heure d’internet

    Moins il y a de gens

    Informés plus ça passe

    Les tours de passe-passe

    Aiment l’ombre vraiment

    Il faudra bien un jour

    Les mettre sur la place

    Car tout laisse des traces

    Malgré les beaux discours

    Combien auront coûté

    D’argent à la commune

    Sûrement pas des prunes

    Tous vos mandats passés

     

    Si l’on fait le bilan

    Sec de vos mandatures

    Et sans caricature

    Il n’est guère brillant

    Vous avez dirigé

    la commune en despote

    Système lèche-bottes

    Avec des obligés

    Les résultats sont là

    Les communes voisines

    Et cela me chagrine

    Ont beaucoup plus d’éclat

    Voila ce que j’avais

    Sur le cœur à vous dire

    Vous allez en sourire

    Ou pas du tout qui sait

     

    Mais si vous vous fâchez

    Vous pourrez porter plainte

    J’assume ma complainte

    Et ça vous le savez

    Dans ce que j’ai écrit

    Il n’y a nul mensonge

    Depuis longtemps j’y songe

    Et c’est sans compromis

    Mais je dois m’arrêter

    Et déposer ma plume

    Et tant pis si j’écume

    Il me faut clôturer

    Je ne crois pas que vous

    Aimerez ces paroles

    Car les paroles volent

    Et se posent partout

     

    Aux lecteurs et à ceux qui vont fredonner :

     

    Parti dans mon élan

    Lors de cette apostrophe

    J’ai ajouté des strophes

    Au chant de Boris Vian

    Veuillez me pardonner

    Ce flux excédentaire

    Ma plume est cavalière

    je dois la refreiner

    J’ai beau m’y employer

    Elle n’est pas docile

    Et ce n’est pas facile

    À moins de la noyer

    Si cela vous a plu

    Vous pouvez tout reprendre

    J’aimerai vous entendre

    La chanter tant et plus

     

    … La   chanter    tant   et    plus…

     

     

                                Pierre Dupuis

     

    Et pis c’est tout !

    A la vôtre !

    Avec modération SVP !

    Sinon, cela donne ça!

     

    Pierre 


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