-
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)« Le rire est le propre de l'Homme »
Rabelais ( Pantagruel )Seulement de l’homme ?
Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
1ère connerie : Question d'équilibre ...
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
2ème connerie : c'est une sorte de rébus plutôt corsé !
Petit aide :
1ère : Ceci un un os long ! ( Pas une pipe ! )
2ème : Mon tout est un SOS lancé par un louveteau dans les années 80 du coté de Lyon !
... Vais-je avoir la rosette de la connerie pour autant ?
Réponse :
« Os court, os court, il manque UL dans un coin ! »
... Je vous avais prévenu qu'il était corsé !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Pour me faire pardonner la seconde, un peu de poésie : un Haïku
Jolis gilets jaunes
fleurissant sur les ronds-points
précoces jonquilles
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
7 commentaires -
La fable un peu baveuse du jour :
.
L'escargot et la limace
Images du net ( j'en ai bavé pour les télécharger! )
Fable,
L’escargot et la limace,
Le printemps avait fait sortir
un escargot de sa coquille,
il s’étirait avec plaisir
en bavant ne pensant qu’aux filles !
La libido d’un escargot
n’a rien à envier à personne :
il s’élança donc tout de go
pour trouver une polissonne !
Je sais, vous allez protester :
« L’escargot est hermaphrodite ! »
celui-ci, je peux l’assurer,
avait choisi … voyons la suite !
Dans un virage un peu serré
il rencontra une limace,
il lui dit : « je suis très pressé :
il faut qu’à tout prix tu y passes ! »
Stupéfaite elle s’écria :
« Mais tu n’es pas de ma famille !
Ta maison sur le dos tu as
et moi je n’ai pas de coquille ! »
Il lui répliqua :
« Nous pouvons copuler gaiement :
nous avons la même origine !
Tu m’attires comme un aimant,
tu as les yeux d’une coquine ! »
Finalement elle céda,
deux jours entiers ils copulèrent :
ce genre de programme-là
vous plairait bien … pourquoi le taire ?
Ayant usé sa libido,
l’escargot eut une surprise,
il n’avait plus rien sur le dos :
plus à poil qu’une simple prise !
On ne sut jamais expliquer
par quel grand tour de passe-passe,
la coquille avait pu passer
de l’escargot à la limace !
Moralité destinée un peu plus aux hommes :
Quand on possède une maison,
mieux vaut bien choisir sa compagne,
éviter les femmes poison
qui ne vous laissent pas un pagne !
Rotpier
6 commentaires -
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une grande tambouille que vous a mijoté le Rotpier !
1ère ligne, 1ere image :petite, la sale bête est lente ! ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, dernière image : il ne faut pas prendre le petit ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, dernière image : en direct " brrrrrrr " !
4ème ligne, 1ère image : charbon très dur !
5ème ligne, 3ème image : la moité de la marque et...il est interdit de s'en tamponner ! ( l'autre aussi si cela ne vous indispose pas ! )
7ème ligne, 1ère image : le plus petit des Dalton ! Dernière image : la boisson favorite des rosbifs !
8ème ligne, 2ème image : Ce n'est pas un PC ! 3ème image : tous les objets sont " - - - - - " ! ... Molo sur l'apéro pour ne pas les suivre !
9ème ligne, 1ère image : le verbe aller à l'impératif ! 3ème image :la petite bestiole fait de très longues siestes !
10ème ligne, 1ère image : en direct "che" ! Dernière image: quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
11ème ligne, 1ère image : mot avant "Akbar " !
12ème ligne, 1ère image : lieu où se tenait la vigie sur les anciens voiliers ! 2ème image : la peinture en est un, comme la musique ! 3ème image : le symbole de la " - - - - " !
13ème ligne, 2ème image : la moitié du prénom du volatile ! Dernière image: le serpent fait toujours "s" !
14ème ligne, 1ère image : à 3h 52 du mat, il est très " - - - " ... même pour Toto !
Dernière ligne, 1ère image ! Il arrivait à pied par la " - - - - - " ... ce qui est une véritable performance !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas très facile, à vous de le cuisiner sérieusement !
Réponse :
Pour clarifier le grand bouillon brouillon du Grand débat National mijoté par Macron il va falloir un chef sacrément à la hauteur et une arpète très costaude pour tenir le chinois !
Remarque : C'était quand même un peu chinois ... non ?
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Épicé c'est tout !
Allez, au boulot ! Il n'est pas si facile que cela mais les champions vont trouver, j'en suis certain ! Juste une petite aide: il est question de recrutement !
Réponse :
Dans le recrutement des CRS, le Ministère de l’intérieur me semble moins pointilleux que les gars de chez Lustucru: il laisse passer pas mal de fêlés !
16 commentaires -
Allez, on se fait un petit Georges bien relevé, bien piquant et bio !
Avec un bonus du Rotpier !
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Georges Brassens :
« Hécatombe »
+ un couplet en bonus de Rotpier !
Hécatombe:
Au marché de Briv'-la-Gaillarde
A propos de bottes d'oignons
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon
A pied, à cheval, en voiture
Les gendarmes mal inspirés
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffouréeOr, sous tous les cieux sans vergogne
C'est un usag' bien établi
Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes
Tout le monde se réconcilie
Ces furies perdant tout' mesure
Se ruèrent sur les guignols
Et donnèrent je vous l'assure
Un spectacle assez croquignolEn voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber
Moi, j'bichais car je les adore
Sous la forme de macchabées
De la mansarde où je réside
J'exitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides
En criant: "Hip, hip, hip, hourra!"Frénétiqu' l'un' d'elles attache
Le vieux maréchal des logis
Et lui fait crier: "Mort aux vaches,
Mort aux lois, vive l'anarchie!"
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ses lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étauLa plus grasse de ses femelles
Ouvrant son corsage dilaté
Matraque à grand coup de mamelles
Ceux qui passent à sa portée
Ils tombent, tombent, tombent, tombent
Et s'lon les avis compétents
Il paraît que cette hécatombe
Fut la plus bell' de tous les tempsJugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur content de gnons
Ces furies comme outrage ultime
En retournant à leurs oignons
Ces furies à peine si j'ose
Le dire tellement c'est bas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avaient pas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avaient pasLe couplet bonus du Rotpier
que vous pouvez chanter sur le même air :
Je me permets une remarque
A votre intention braves gens
Que si de nos jours débarquent
Des couplets aussi dérangeants
Je fais le pari que les cognes
Ne laisseraient pas passer ça
Et qu’ils porteraient les charognes
Plainte au tribunal et fissa
Et qu’ils porteraient les charognes
Plainte au tribunal et fissa
Et
Et gare aux grilles !
Bon partage !
Rotpier
7 commentaires -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
6 commentaires -
Image du net modifiée par mes soinsPréambule :
Tout ceci relève de la fiction pure
encore qu’il arrive qu’elle supplante la réalité…
A une manifestante,
Premier sonnet :
Croisement de regards,
Il avait croisé son regard
Angle de rue La Boétie
Et des Champs Elysées hagards
Sous le chaos des incendies.
Farouche avec son grand foulard
Parfaite et troublante égérie
Brandissant comme un étendard
Un drap orné « Démocratie ».
Elle était belle au plus haut point
Avec au fond en filigrane
L’Arc de Triomphe au loin au loin
Une moderne Marianne
Que l’espace d’un bref instant
Il eut voulu poitrine au vent.
Second sonnet :
Fugace espoir,
Mais il avait baissé les yeux
Le temps était trop à l’orage
Les circonstances et les lieux
N’incitaient pas au grand partage.
Il y avait en travers d’eux
Des traverses d’échafaudage
Comme décor il y a mieux
Pour paraître à son avantage.
Il avait cru apercevoir
Lors de cet échange fugace
Qu’il n’était pas un refouloir
Visière pas encore en place.
De la foule vint un pavé
Qui stoppa le rêve ébauché.
Troisième sonnet :
Perdue de vue,
C’est en entrant en formation
Afin de repousser l’attaque
Que s’évapora sa vision
Pour lui ce fut comme une claque.
Il ne se fit pas d’illusion
Il en deviendrait insomniaque
Cherchant en vain l’apparition
lui qui était iconomaque.
Dans le même instant il pensa
A un poème populaire
Appris depuis longtemps déjà
« La passante de Baudelaire ».
Etrange pour un CRS
Et digne du Reader’s Digest.
Invitation :
Pour le cas où vous n’auriez pas
En tête ces superbes strophes
Ce n’est pas une catastrophe
Je vous prie de les trouver là.
.
Afin d’éclairer le sujet
Je m’en tiendrai aux deux dernières
Qui peignent de belle manière
L’instant saisi tel un cliché.
« Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?
Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! »Charles Baudelaire " A une passante "
Recueil : " Les fleurs du mal "
Petit aparté assassin :
Il n’est pas chose très courante
De voir un CRS aimer
Baudelaire «A une passante »
Ça je peux vous le certifier !
Car quand on manie la matraque
Ou le Flash-Ball allègrement
il faut quand même être foutraque
… Un peu beaucoup profondément !
On peut leur trouver des excuses
Mais pour faire ce métier-là
Il faut l’avoir un peu obtuse
…La jugeote ça va de soit !
M’approcherais-je du grotesque
En disant que ces bataillons
Relèvent de la soldatesque
… et moi du délit d’opinion ?
Pierre Dupuis
6 commentaires -
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
1 commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Retour aux images que vous connaissez !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus costaud et il y a du boulot mes cocos ! Vous pouvez rester en marcel et croquer une madeleine en essayant de le déchiffrer !
1ère ligne, 1ere image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies !
2ème ligne, 1ère image : quand le bébé a terminé de téter, il fait son " - - - " ! ( l'autre aussi ! 2ème image : en direct : le symbole de la " vie " !
3ème ligne, 3ème image : un poisson, c'est nom féminin et elle porte très rarement une petite cu - - - - - !
4ème ligne, 2ème image : lieu ou se tiennent des marchés ! ( l'autre aussi et la vielle aussi ! ) Dernière image : la peinture en est un, la musique en est un autre !
5ème ligne, 2ème image : en direct: " che " ! ( Les autre aussi ! )
6ème ligne, dernière image : quant la sale bestiole pique, ça fait mal !
7ème ligne,1ère image : il ne faut pas prendre le fils ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : il faut prendre la matière ! ( les autres aussi ! )
8ème ligne, 1ère image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! ( l'autre aussi ! )
11ème ligne, 1ère image : arbre qui produit des faines !
12ème ligne, 3ème image : le célèbre tableau de Munch !
16ème ligne, 1ère image : Celle-ci est ferroviaire !
17ème ligne, 2ème image : à 3h 52 du mat, il est très " - - - " ! 3ème image : Oh ! qu'il est beau ton petit ma biche !
18ème ligne, 2ème image : celui-ci est sélectif ! 3ème image : seconde partie de l'onomatopée du refrain d'Antoine ! ( l'autre aussi ! )
19ème ligne, 1ère image : le petit de la vache ! Dernière image et en direct : "ti " !
22ème ligne, 1ère image :le mec a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
23ème ligne, 2ème image : c'est le " - - - - " affiché qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout ! Ouf !!!
A vous de jouer ! Il est très long alors ne perdez pas de temps car selon l'adage : " Le temps perdu ne se rattrape pas ! "
Réponse :
Sans un providentiel « s » l’auteur de « A la recherche du temps perdu aurait eu un nom de merde ! Il aurait peut-être alors écrit « A la recherche de la tante perdue » en gardant et en étoffant le quatrième volet intitulé : « Sodome et Gomorrhe » tout à fait approprié au contexte !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Épicé c'est tout !
Allez, au boulot ! Celui-ci est très court, vous n'avez pas à vous ronger les ongles !
Réponse :
Quand un charcutier se fait du mauvais sang, son boudin tourne souvent !
9 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Léo Ferré :
« L’étrangère »
sur un poème de Louis Aragon
L'étrangère
Il existe près des écluses
Un bas quartier de bohémiens
Dont la belle jeunesse s'use
A démêler le tien du mien
En bande on s'y rend en voiture,
Ordinairement au mois d'août,
Ils disent la bonne aventure
Pour des piments et du vin douxOn passe la nuit claire à boire
On danse en frappant dans ses mains,
On n'a pas le temps de le croire
Il fait grand jour et c'est demain.
On revient d'une seule traite
Gais, sans un sou, vaguement gris,
Avec des fleurs plein les charrettes
Son destin dans la paume écrit.J'ai pris la main d'une éphémère
Qui m'a suivi dans ma maison
Elle avait des yeux d'outremer
Elle en montrait la déraison.
Elle avait la marche légère
Et de longues jambes de faon,
J'aimais déjà les étrangères
Quand j'étais un petit enfant !Celle-ci parla vite vite
De l'odeur des magnolias,
Sa robe tomba tout de suite
Quand ma hâte la délia.
En ce temps-là, j'étais crédule
Un mot m'était promission,
Et je prenais les campanules
Pour des fleurs de la passionA chaque fois tout recommence
Toute musique me saisit,
Et la plus banale romance
M'est éternelle poésie
Nous avions joué de notre âme
Un long jour, une courte nuit,
Puis au matin : "Bonsoir madame"
L'amour s'achève avec la pluie.Bon partage !
Rotpier
4 commentaires -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
7 commentaires -
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Les Champs Elysées »
de Joe Dassin "
qui devient :
« Les Champs Elysées »
De … Pierre
Recette pour bien le déguster :
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
♪ Les Champs-Elysées ♪
En arrivant sur l'avenue
J’ai rencontré inconnus
Des gilets jaun’ m’ont dit bonjour
Et j’ai eu envie
J’ai eu envie j’ sais pas pourquoiUn vieux réflex dormait en moi
d’aller aussi manifester
Pour l’égalité
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Ils m’ont dit viens avec nous
Certains nous prennent pour des fous
Qui n’auront aucun lendemain
ça on verra bien
Alors j’ les ai accompagnés
On a crié on à hurlé
Et l'on n'a même pas pensé
À se présenter
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Maintenant tous ces inconnus
je les reconnais dans les rues
ils sont devenus des amis
Et pas qu’à Paris
Pour nous c’est la grande concorde
Il importe que l’on s’accorde
Pour avoir le même discours
Et être un recours
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-ÉlyséesEt des amis de tous les coins
qui ont occupé les ronds-points
Viendront ici nous retrouver
Pour manifester
Il faudra bien qu’à l’Elysée
on commence à nous écouter
Qu’ils se débouchent les oreilles
et qu’ils se réveillent
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-ÉlyséesComm’ mill’ sept cent quatre vingt neuf
Deux mill’ dix huit deux mill’ dix neuf
Seront des signets dans l’histoire
Comm’ grand exutoire
Ceux qui ne veulent pas comprendre
Devront bien se mettre à apprendre
Que quand le peuple se rebiffe
Il a de bonn’ griffes
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Ils resteront jaun’ de gilets
Les Champs-ÉlyséesPierre Dupuis
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
6 commentaires -
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Préambule ( Comme disent les vaches qui ont bouffé des savonnettes ! … Je l’aime bien celle-là ! ) :
Les habitués de mes rébus vont être un peu décontenancés : mon ancien générateur de rébus n’étant plus disponible, j’ai opté pour un nouveau et il faut prendre le temps de s’accoutumer ! Je suis moi-même un peu désorienté mais je vais m’habituer … peut-être moins vite que vous !
L’important, ce n’est pas la rose qui est fort flétrie en ce moment, mais la phrase ou l’expression cachée derrière les images !
Épicé tout mes loulous !
Pierre ou Le Rotpier … c’est au choix !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Sachez tout d'abord que je ne songe absolument pas à vous b...... pardon ... à vous tromper !
Pierre
2ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! 2ème image : un département que l'on visite de préférence de bon matin ! 4ème image : il faut scinder le nom de l'oiseau en deux !
3ème ligne, 1ère image : en direct : " ti " ! Dernière image : elle est très à l' " - - - - " Blaise !
7ème ligne, dernière image image : il ne faut pas qu'elles collent !
9ème ligne, 1ère image : la peinture en est un tout comme la musique ou l'écriture ! 3ème image: là, il faut s'accrocher : la vieille montre cassée à finit de décompter le " - - - - - " ! ... mais vous allez vite vous habituer !
10ème ligne, 3ème image : je vous le donne en direct " al " et vous, vous allez peut-être m'expliquer ? Je vois éventuellement "halte" au feu rouge ? Dernière image : meuble ancien où l'on stockait les miches ... de pain hein !!! Mais si, mais si comme disait Jésus !
11ème ligne, 1ère image : le pronom manquant à la formule que l'on trouve sur les plans des villes par exemple ! ( Les autres aussi ! )
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ou pas: vous faites se que vous voulez !
Réponse :
Environnement oblige et en matière de baisers, les Normands se sucent la pomme, les Hollandais se roulent des patins, les campagnards d’antan se roulaient des galoches, mais vous, vous faites ce que vous voulez !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Mais ... allez, je suis bon et puisque c'est nouveau, je vous donne un indice : le casque ( 2 fois ) c'est pour le " son " !
Épicé c'est tout !
Allez, au boulot ! J'espère que vous allez pas chercher à couper les cheveux en quatre !
Réponse :
Les chauves sont souvent vindicatifs alors qu’ils en sont dépourvus. Bon d’accord, c’est un peu tiré par les cheveux, mais je fais ce que je peux !
6 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Quelques mots d'amour »
« Véronique Sanson »
… ça fait du bien par les temps qui courent …
Quelques mots d'amour
Il manque quelqu'un près de moi
Je me retourne tout le monde est là
D'où vient ce sentiment bizarre que je suis seul
Parmi tous ces amis et ces filles qui ne veulent
Que quelques mots d'amourDe mon village capital
Où l'air chaud peut être glacial
Où des millions de gens se connaissent si mal
Je t'envoie comme un papillon à une étoile
Quelques mots d'amourJe t'envoie mes images
Je t'envoie mon décor
Je t'envoie mes sourires des jours où je me sens plus fort
Je t'envoie mes voyages
Mes jours d'aéroport
Je t'envoie mes plus belles victoires sur l'ironie du sortEt dans ces boîtes pour danser
Les nuits passent inhabitées
J'écoute les battements de mon cœur répéter
Qu'aucune musique au monde ne saura remplacer
Quelques mots d'amourJe t'envoie mes images
Je t'envoie mon décor
Je t'envoie mes sourires des jours où je me sens plus fort
Je t'envoie mes voyages
Mes jours d'aéroport
Je t'envoie mes plus belles victoires sur l'ironie du sortDe mon village à cent à l'heure
Où les docteurs greffent les cœurs
Où les millions de gens se connaissent si mal
Je t'envoie comme un papillon à une étoile
Quelques mots d'amourParolier: Michel BergerBon partage !
Rotpier
10 commentaires -
.
On commence par un tableau et ... on est entraîné beaucoup plus loin ...
Image du net
Avant-propos :
Ce tableau peint par Armand Guillaumin (1841-1927) en 1873 est une sorte de mise en garde avant l’heure sur les dangers de la pollution atmosphérique.
Le peintre en avait-il conscience à cette époque ou pas ? … De nos jours, cela parait évident... mais ...
Pierre Dupuis
Soleil couchant à Ivry,
Sur un fond de ciel incendie
Des fumées, immondes crachats,
Nous donnent un avant-goût déjà
Des pollutions des industries.
Prémices de l’écologie,
Ce tableau augure un combat
Qui deviendra apostolat
Pour ceux qui servent de vigies.
Jusque là la ville d’Ivry
N’était que campagne et taillis
Mais les usines sont venues
S’implanter en vastes bassins
Comme autant d’horribles verrues,
De monstres crachant leur venin !
xxxxxxxxxxxxx
Retombées,
Le peintre en avait-il conscience ?
Personne ne peut l’affirmer,
Son esprit était sublimé
Par les couleurs, pas la prescience.
A cette époque les nuisances
Étaient ardues à estimer,
Comment pouvoir imaginer
Les dégâts sur nos existences ?
Aujourd’hui avec le recul
On peut refaire les calculs
Mais ce serait par trop facile !
Alors que maintenant on sait
On poursuit - pauvres imbéciles ! -
À polluer plus que jamais !
xxxxxxxxxxx
Péroraison :
Toujours est-il que Guillaumin
À mis le pinceau sur la plaie
De cet avenir qui effraie,
Fruit de l’égarement humain.
Ce n’est pas à la saint-glinglin,
C’est une vérité - la vraie ! -
Un jour il faudra que l’on paie
Et il s’approche de demain !
Et, s’il ne faut prendre qu’un seul exemple :
C’est vraiment du je-m’en-fichiste
Que d’extraire du gaz de schiste
Sous l’aval urbi et orbi
De dirigeants irresponsables
Cédant aux pressions des lobbys
Et qui plaideront non coupables !
xxxxxxxxxxxxxxxxxx
Péroraison de la péroraison :
Pour convaincre les politiques
Il faudra pour les combinards
S’attaquer à leur crâne par
… La fracturation hydraulique !
Pierre Dupuis
7 commentaires -
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une question existentielle que se pose le Rotpier. Si vous avez la réponse, vous seriez bien urbains de la lui communiquer.
Pour ma part, je vous prie ( vous partez peut-être à la messe ? ) d'excuser le coté scatologique de ce rébus pas très catholique mais, somme toute, emprunt d'une évidente logique.
Pierre
1ère ligne, 3ème image : en direct, le symbole de la "vie" !
2ème ligne, 1ère image : "oui" en russe ! 2ème image : ce qui sort, amplifiée, de l'appareil ! 3ème image: organe filtreur en coupe ! 4ème image: prendre la moitié de la marque ... hein les filles !
3ème ligne, 1ère image : ils sont à poil, donc tout " - - - " ! 2ème image : le serpent fait toujours " s " ! Dernière image : le cinéma en est le 7ème !
4ème ligne, 1ère image : en direct : " ti " !
6ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le court !
7ème ligne,1ère image : il faut retenir le volume ... ce n'est pas une connerie !
8ème ligne, 3ème image : en direct: "che " ... va l'dire à Mamère ! dernière image : un diagramme de " - - - " pas fait pour les bourricots !
Dernière ligne, 2ème image : le symbole de la " - - - - " ... mal barrée sur bien des continents par des incontinents du verbe ou du tweet ! ( j'aime bien ma formule: je me félicite moi-même, c'est plus sûr ! ) . Qu'elle soit avec vous et avec votre esprit !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il est court , un peu sifflant ... pour peu qu'il ne soit pas écrasé !
Réponse :
Quand on vient d’avoir un anus artificiel est-ce que l’on se reconnaît quand on lâche son premier pet ?
Nota :
Je vous avais bien dit que c’était une question existentielle … non mais !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Épicé c'est tout !
Allez, au boulot ! J'espère que vous allez prendre votre pied !
Réponse :
Rocco Siffredi a beaucoup fréquenté La Grande-Motte à croire qu’il y trouvait chaussure à son pied !
10 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Aux champs Elysées »
« Joe Dassin »
… Toute allusion à des faits existants ou ayant
existés relèverait de la pure coïncidence …
Je vous mets quand même les paroles ... pour le plaisir !
♪ Les Champs-Elysées ♪
Je me baladais sur l'avenue
Le coeur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour
À n'importe qui
N'importe qui ce fut toi
Je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler
Pour t'apprivoiserAux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-ÉlyséesTu m'as dit: "J'ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main
Du soir au matin"
Alors je t'ai accompagnée
On a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé
À s'embrasserAux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-ÉlyséesHier soir deux inconnus
Et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis
Par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde
Un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour
Chantent l'amourAux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-ÉlyséesAux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-élysées
Aux Champs-élysées
Aux Champs-élyséesBon partage !
Rotpier
7 commentaires -
PMA
Procréation Médiatiquement Assistée :
La naissance des Gilets Jaunes
Fable impertinente…
Le géniteur improbable,
Il était une fois au royaume de France
un monarque orgueilleux toisant les gens de haut
négligeant les petits et chouchoutant les gros
la colère montait devant tant d’arrogance.
N’ayant pas mesuré chez ces gens leur vaillance
il fit la grosse erreur de tenir des propos
méprisants au possible et lâchés tout de go
dévoilant au grand jour sa grande impertinence.
Il voulu corriger mais il était trop tard
ils étaient dans la rue tous les vilains canards
tout de jaune vêtus : une drôle de faune !
Un impudent lui dit « Vous n’aviez pas d’enfants,
voila c’est réparé, content ou pas content,
vous êtes le papa de tous les gilets jaunes !
Le souverain honteux et confus
jura « Par Balthazar !
On ne m’y reprendra plus ! »
… mais il était trop tard !
Son règne s’effilocha
et tomba en quenouille
un sans-gêne utilisa
une autre rime en « ouille »
avec bien sûr infiniment moins de grâce
mais toujours est-il qu’il tomba en disgrâce.
Morale :
Avant que de parler il faut bien mesurer,
peser et soupeser les mots que l’on va dire
après il est trop tard pour pouvoir se dédire
car le lien de confiance est par trop fracturé !
On peut très rarement recoller les morceaux
on a beau essayer de mettre des attelles
le crédit n’est plus là, il a du plomb dans l’aile
et tout peut recasser au moindre soubresaut !
Les français ne sont pas seulement des gaulois
ils ont su perpétuer leur instinct de révolte
tous les impudents qui les attaquent récoltent
leur volée de bois vert et même plus parfois !
Pierre Dupuis
Petit montage personnel à partir d'images du net !Crédit photo: Stéphane Lagoutte.Myop pour Libération
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Et bien sûr pour vous tous:
Bien amicalement,
Pierre
7 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires