•  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !  

    .

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    Il est très court et assez facile. Vous le résolvez et après vous pourrez allez à la messe où vous en verrez peut-être ? C'est une interrogation !  J'espère que vous allez vous marais !

     

    2ème ligne, 1ère image : "oui" en allemand ! ( vous devez le scinder en deux  ! ) 2ème image et en direct: " ti" ! ( L'autre aussi  mes titis ! )

    3ème ligne, 2ème image et en direct aussi : " grrrrrrrr " !

    4ème ligne, 3ème image : le cri du mouton !

    7ème ligne, 2ème image : Petitétenduedeau !

    8ème ligne, dernière image : lieu où l'on détient encore des animaux en cage ! 

        Dernière ligne, dernière image: la suite du refrain d'Antoine mais ... vous connaissez le refrain ! 

     

    Et pis c'est tout !  

    A vous de jouer, que vous soyez de Paris ou pas : pas de querelle de chapelle ! D'ailleurs je crois que c'est Henry IV, le Vert Galant,  qui avait dit : "Paris vaut bien une fesse " ... mais je n'en suis pas tout à fait certain ... ?

     

    Réponse :

     

    A Paris, il y a-t-il plus de grenouilles de bénitier dans les églises du Marais que dans celles des autres quartiers ?

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

     

     

    Juste un tout petit coup de main aujourd'hui : l'ordinateur, ce n'est pas un PC ! Dernière image : le champ de  " - - - " !!! 

    Épicé c'est tout !

    Allez, au boulot !

    Un petit tour en politique " ça ne peut pas faire de mal " comme dirait GG ! ( GG = Guillaume Gallienne, que je vous conseille sur France Inter le samedi après-midi ... si ça vous dit ! ) 

     

     

    Réponse :

    Nathalie Loiseau a quitté le nid macronien pour voler de ses propres ailes mais on peut être certain que les fauconniers du roi ne la perdent pas de vue !

     

    PS : Sacrée nana la Nathalie Loiseau ! Née … Ducoulombier … cela ne s’invente pas !

    Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nathalie_Loiseau

     

     

     


    13 commentaires
  • .

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Le surveillant général »

     « Michel Sardou »

     

    … On aime ou l’on n’aime pas Sardou, mais

    il ne laisse jamais indifférent …

     

     

    Le Surveillant Général,

    En ce temps-là
    Monsieur le surveillant des classes secondaires
    Etait un peu efféminé
    En ce temps-là
    Je lisais " Le Grand Meaulnes"
    Et après les lumières
    Je me faisais plaisir
    Je me faisais dormir
    Je m'inventais un monde
    Rempli de femmes aux cheveux roux

    J'ai dit de femmes pas de jeunes filles

    Cette année-là
    Je n'oublierai jamais le regard de vipère
    Que m'avait lancé ce vieux rat
    Cette année-là
    J'avais posé les yeux sur la croupe incendiaire
    De ma professeur de droit
    Elle avait mis le feu en moi
    J'avais avalé la lumière
    J'aurais aimé la terre entière

    Seulement les femmes pas les jeunes filles

    Pauvre de moi
    Monsieur le surveillant des classes secondaires
    Passait ses nuits à espionner
    Pauvre de moi
    Du couloir des secondes au dortoir des premières
    Comment les jeunes étaient couchés
    Bien sur le dos les bras croisés
    Sur la couverture de laine
    Des fois qu'on aurait des idées

    Pauvre taré pauvre Chimène

    C'est pourtant là
    Que durant des années j'ai rêvé d'adultère
    Que je n'ai jamais consommé
    Et que chaque nuit je tiens dans mes bras
    Une femme trop fière
    Qui se refuse à me donner
    Un peu plus que le nécessaire
    Parce que j'hésite à la défaire
    De son carcan de préjugés
    Parce que je n'ai pas la manière
    J'ai presque envie de lui confier

    Qu'en ce temps là
    J'avais un surveillant des classes secondaires
    Mais ça la ferait rigoler

      

    Bon partage !

      

    Rotpier

     


    9 commentaires
  •  

    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     


    4 commentaires
  • .

    Je vous invite ami(e)s à partager avec moi un balayage des couleurs de la vie ou, plus précisément, des tons de la vie. Ces tons qui s’associent si parfaitement à nos états d’âme.

    En premier,  je vous invite à aller vers le sombre, vers le noir.

    En second, ce sera l'inverse ... mieux vaut garder le bon pour la fin ...

    Ces poèmes ont déjà été publiés mais je les ai retouchés … juste un petit coup de pinceau çà et là.

    Bon partage,

    Pierre

    Il fait gris, il fait moche

    et mon cœur s'effiloche.

    Il en saigne et s'aigrit

    où est donc son grigri ?

     

                                                 Pierre

     

    Photo de Jean-François Simon

    Les couleurs de la vie,

     

    Je vous prends par les yeux

    comme on prend par la main,

    Balayons les couleurs, d'aujourd'hui, de demain.

     

    Là, sous nos yeux … la vie !  Toute la vie.

    Ses couleurs, ses tons … des tons à l’envie.

    Clairs au début mais … déjà  perturbés.

    Le socle et la base … déjà   plombés.

    On avance et … la lumière  s’estompe.

    On fait un vœu, on croit,      mais … on se trompe !

    Et, l’irréductible avance du temps

    nous entraîne vers les tons rebutants.

    D’ abord, quelques traits décochés  … sombres,

    avant-garde des bataillons de l’ombre.

    Vaincu, le bleu cède la place et meurt.

    Le gris, plus gris, se renforce et s’étale.

    Encore quelques lueurs qu’il avale …

    et puis … il passe un pacte avec le noir

    … son maître … inexorable laminoir !

     

    Plus de lueurs,

    toutes les peurs

    et … le trou noir.

                                                           

     

                                                     Pierre  Dupuis

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Chose promise, chose due : je vous invite ami(e)s à refaire le chemin à l’envers.

     

    Autre petit instantané …

     

    Il avait mis des mois

     

    à sortir de l’impasse,

     

    un long chemin de croix

     

    où parfois on y passe,

     

    une purée de poix

     

    une ignoble mêlasse

     

    visqueuse comme poix :

     

    la Parque qui t’enlace.

                                           

                                                                                          Pierre

     

     

    Cliché de Jean-François Simon

     

    Les couleurs de la vie,

     

     

    L’homme était là, droit … immobile …

     détaillant chaque ton … fragile

     … encore … encore un peu.

     Il avait, sous les yeux,

     

    les couleurs traversées

     cette dernière année.

     Son regard balayait le cliché,

     de gauche à droite, il revivait

     les dernières étapes de sa vie.

     

     

    Il les revivait …une à une … intensément.

     Le sombre … le plus que sombre,

     cette poisse d’ombre

    …désespérante.

     

    Il était là … dans ce trou noir.

    Il avait perdu tout espoir.

     L’enfer ! Le fond ! La fin du rêve !

     Et tous les jours … et pas de trêve !

     

    Il n’y avait plus que le vide

     … plus que le noir … livide.

     Le temps passait … pas un éclair.

    Pourtant il savait bien le clair !

     

    Il l’avait connu … avec elle.

    Oui ! Avec elle, la belle !

     Et puis un jour … plus rien … partie !

    Sans explications ! … La folie !

     Le tunnel ! Le trou ! Le néant !

     

    Des mois dans ce gouffre béant.

    Des mois et des mois d’amertume :

    le long deuil d’un amour posthume.

     

     

    Pourtant …

     

    Un matin, dans son vieux miroir,

    il avait cru apercevoir

     une lueur … fugitive.

    Éclaircie toute relative :

    du noir … moins noir … virant au gris.

     Mais, vigilant même amaigri,

    décochant des nuées de traits sombres,

    le noir essayait le surnombre.

    Malgré cela, il reculait.

     Des escadrons, couleur de lait,

    arrivaient à faire main-basse

     sur les volumes de l’espace !

    Le bleu avançait, impérial,

    gommant tout souvenir glacial.

     

    Ayant fini son balayage,

     certain d’avoir tourné la page,

    l’homme pivota et sourit.

     

    Dans la rue, plus tard,

     son regard accrocha - surpris ! -

    le fier profil d’une passante

    à la clarté éblouissante !

                                           

                                                                                      Pierre Dupuis

     

     

    Image du net évoquant " A une passante " de Charles Baudelaire

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !  

    .

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    Il est très court et très facile pour ceux qui connaissent la musique ! N'y voyez aucune insinuation : je suis quelqu'un de très réservé, vous le savez pertinemment !  

     

    2ème ligne, 2ème image : lieu où se tenait la vigie sur les anciens voiliers ! Dernière image et en direct : " Ti " ... oui mes titis !

    3ème ligne, 3ème image : l'autre nom de l'arobase ! Dernière image : ce n'est pas la reine ni Brigitte !

    5ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours "s" !      Avant dernière image : une " - - -  " vue d'un balcon la surplombant ! Dernière image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !

    6ème ligne, dernière image : la fleur préférée de la dernière image de la 3ème ligne !

    Dernière ligne, 2ème image: Éole est le dieu du  " - - - - " !

     

    Et pis c'est tout !  

    A vous de jouer ! 

     

     

     

    Réponse :

    La sodomie, c’est une partition à trois notes et à deux instruments : l’un à coulisse et l’autre à vent !

     

    Nota : A défaut d’être très correct, il est musical et très imagé n’est-ce pas ?

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

     

     

    Épicé c'est tout !

    Allez, au boulot ! Il n'est pas si facile que cela et j'espère que vous n'allez pas tout plaquer pour allez prendre l'apéro, ce qui me laisserait tout coi avec stupeur et tremblements ... sans Amélie, notons-le ! 

     

     

    Réponse :

    Il paraît qu’au lit, cette femme frivole est un véritable tremblement de chairs et que peu d’amants résistent à ses répliques. Certains l’ont surnommée « La tectonique qui plaque » !

     

     

     


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  • Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    Le grand Jacques :

     

    « La ville s’endormait »

     

    Quand je pense que certains ont dit que son dernier

    album n'était pas une réussite ...

    .

     

     

        

    .

    La ville s'endormait

     

    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Et la nuit peu à peu
    Et le temps arrêté
    Et mon cheval boueux
    Et mon corps fatigué
    Et la nuit bleu à bleu
    Et l'eau d'une fontaine
    Et quelques cris de haine
    Versés par quelques vieux
    Sur de plus vieilles qu'eux
    Dont le corps s'ensommeille

    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Et mon cheval qui boit
    Et moi qui le regarde
    Et ma soif qui prend garde
    Qu'elle ne se voit pas
    Et la fontaine chante
    Et la fatigue plante
    Son couteau dans mes reins
    Et je fais celui-là
    Qui est son souverain
    On m'attend quelque part
    Comme on attend le roi
    Mais on ne m'attend point
    Je sais, depuis déjà
    Que l'on meurt de hasard
    En allongeant le pas

    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Il est vrai que parfois près du soir
    Les oiseaux ressemblent à des vagues
    Et les vagues aux oiseaux
    Et les hommes aux rires
    Et les rires aux sanglots
    Il est vrai que souvent
    La mer se désenchante
    Je veux dire en cela
    Qu'elle chante
    D'autres chants
    Que ceux que la mer chante
    Dans les livres d'enfants
    Mais les femmes toujours
    Ne ressemblent qu'aux femmes
    Et d'entre elles les connes
    Ne ressemblent qu'aux connes
    Et je ne suis pas bien sûr
    Comme chante un certain
    Qu'elles soient l'avenir de l'homme

    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s'endormait
    Et j'en oublie le nom
    Et vous êtes passée
    Demoiselle inconnue
    A deux doigts d'être nue
    Sous le lin qui dansait

     

       

    Bon partage !

     

    Rotpier


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  • Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

     

    1ère Pensée :

     

    Quand une marée humaine se retire, elle ne laisse derrière elle que très peu de coquillages échoués, sauf quelques vieux crabes, par-ci par-là, qui mettent plus de temps que les autres à regagner leurs trous.

     

    2ème Pensée : ( C’est un adage )

     

    Le steak à point pour ceux qui aiment la viande bien cuite, c’est bien. Le permis à points pour ceux qui aiment rouler vite, c’est chagrin ! 

     

    3ème Pensée :

     

    Il paraît que Marcel Carné était très vache avec ses acteurs, mais cela reste à prouver !

     

    4ème Pensée : ( C’est vieil adage de port de pêche qui aurait certainement bien plu au grand Jacques !  )

     

    Quand on part en goguette à la recherche de morues, on croise souvent des maquereaux !

     

     

    Et pis c’est tout pour aujourd'hui !

     

    Bonne méditation !

     

    Rotpier

     

     


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  •  

    Avertissement :

    Ceux qui me suivent pourront constater que j'ai de la suite dans les idées ...

    Pierre

     

     

    Image du net

     

    Tranche de vie,

    ou

    Antichambre du néant,

     

    Clope de caniveau au bec

    ce lourd éclopé de la vie

    ne couchait plus jamais au sec

    côtoyant déjà la survie.

     

    Il s’en allait clopin-clopant

    un peu comme le vent emporte

    les quelques clochards à plein temps

    devant qui se ferment les portes.

     

    Plus aucun espoir devant lui

    un avenir sombre et humide

    plus noir qu’un crachat dans la nuit

    une fin de route turpide.

     

    Un avenir des plus obscurs

    dans le fond d’une vieille cave

    usant ses ongles sur les murs

    vivant mais aux trois quarts épave.

     

    Partageant le sombre habitat

    d’animaux vivant en cohorte

    cernant déjà son galetas :

    cloporte*  parmi les cloportes.

      

    Propension à la volvation

    dans l’ensemble déjà acquise

    un mimétisme en gradation :

    métamorphose et catalyse.

     

                                           Pierre Dupuis

     

     

    * NDA : Le mot « cloporte » est utilisé ici non défavorablement mais dans l’acception de quelqu’un qui s’isole pour échapper aux regards et aux jugements des autres.

     

     

     

     


    Images du net 

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    Et pis c'est tout Rotpier

     


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  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !  

    .

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    Il n' est pas très facile et le dernier mot est un néologisme que j'ai créé pour l'occasion ... et n'allez pas me balancer que " l'occasion fait le larron " !  Là, je dis non !

     

     

    2ème ligne, 2ème image : " - - - " est ce personnage ? 4ème image : la moitié de ce regarde ce fripon de Titeuf !

    3ème ligne, 3ème image : l'autre nom de l'arobase ! Dernière image : Il y en a 4 de 2 personnage ! ( L'autre aussi ! )

    4ème ligne, 3ème image : ce qui sort amplifié de l’appareil ! 

    5ème ligne, 2ème image : le sein bol de la "  - - - - " !  

    7ème ligne, 1ère image : en direct: " U " !  4ème image : le marin est presqu'en haut du  " - - - " mais il ne se prénomme pas Alexandre ! 

    8ème ligne, 1ère image : un jeu que vous allez trouver tout de  " - - " ! 2ème image : petite la sale bête est lente !

    9ème ligne, 3ème image : lieu où se tenaient les marchés, il en reste de très belles !

    10ème ligne, dernière image : il n'est pas l'ami de Mowgli ! 

    11ème ligne, dernière image : la boisson favorite des rosbifs !

    12ème ligne, 1ère image : un "  - - - " , celui-ci est certainement de sable ! Dernière image: le serpent fait toujours " s" et son frangin aussi !

    13ème ligne, 1ère image : c'est ce qu'il faut payer qu'il faut retenir ou je fais un malheur !

    14ème ligne, dernière image : ce qui suit " Ci " dans le contexte !

    15ème ligne, 2ème image : le cri de la vache !

    16ème ligne, dernière image : endroit où se trouvaient les vigies sur les anciens voiliers !

    Dernière ligne : bras de terre entre deux îles ou deux continents !

     

     

    Et pis c'est tout !  ... Ouf !

    A vous de jouer ! Il y a du boulot ! 

    Dans les gens concernés, il y a pas mal de politiques ! J'espère que vous approuverez mon néologisme afin que je puisse le présenter à l'acacadémie française où je ne sais pas s'il y a des incontinents par rapport aux deux ? ... J'espère que je ne vous embrouille pas trop avec mes salades ! 

     

    Réponse :

    Il est des gens qui n’hésitent pas à tremper, voire ramper, dans de visqueux et humides marigots pour arriver à leurs fins. Je qualifierai cet état d’esprit par un néologisme : le cloportunisme.

     

    Le néologisme :

    Le cloportunisme : contraction du mot « cloporte » et du mot « opportunisme ». Situation d’un individu se complaisant dans le sombre et l’humide pour essayer de parvenir à ses fins, souvent de manière peu glorieuse ! 

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

     

     

     

    Épicé c'est tout !

    Allez, au boulot ! Vous qui en avez des gros, vous allez trouver ça les doigts dans le nez ... ce qui n'est pas très beau d'ailleurs : on me l'interdisait quand j'étais petit ... hier quoi ....

     

    Réponse :

    Si ce gars-là attrape un rhume de cerveau, ce sera un tout petit, chez lui, à cet endroit, il n’y a pas grand place pour se loger ! 

     

     

     


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    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    Maxime Le Forestier

    "Né quelque part,"

     

     

     

    Né quelque part

    On choisit pas ses parents,
    on choisit pas sa famille
    On choisit pas non plus
    les trottoirs de Manille
    De Paris ou d´Alger
    Pour apprendre à marcher
    Etre né quelque part
    Etre né quelque part
    Pour celui qui est né
    C´est toujours un hasard
    Nom´inqwando yes qxag iqwahasa {2x}

    Y a des oiseaux de basse cour et des oiseaux de passage
    Ils savent où sont leur nids, quand ils rentrent de voyage
    Ou qu´ils restent chez eux
    Ils savent où sont leurs œufs

    Etre né quelque part
    Etre né quelque part
    C´est partir quand on veut,
    Revenir quand on part

    Est-ce que les gens naissent
    Egaux en droits
    A l´endroit
    Où ils naissent

    Nom´inqwando yes qxag iqwahasa

    Est-ce que les gens naissent Egaux en droits
    A l´endroit
    Où ils naissent
    Que les gens naissent
    Pareils ou pas

    On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille
    On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
    De Paris ou d´Alger
    Pour apprendre à marcher

    Je suis né quelque part
    Je suis né quelque part
    Laissez moi ce repère
    Ou je perds la mémoire
    Nom´inqwando yes qxag iqwaha.sa
    Est-ce que les gens naissent...

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     

     


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  •  

    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

     

     

     

     

     

    Signature Rotpier

     

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     

     

     


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  •  

    Préambule :

     N’étant jamais aussi bien servi que par soi-même, je me permets de m’offrir cette épitaphe qui n’a pas nécessairement lieu de servir rapidement … elle est un peu longue et va coûter cher en gravure ! Il faudrait peut-être que je lance une souscription ou une cagnotte en ligne ?

     

    Image du net !

     

    Epitaphe anagramme,

     

    Son pseudonyme était « Rotpier »

    de « Pierrot » bien sûr l’anagramme

    il adorait les épigrammes

    qui font de jolis croche-pieds !

     

    Il aimait bien « anticiper »

    en « praticien » de la déconne

    sur tous les sujets qui détonnent

    en se moquant des constipés !

     

    Maintenant pour lui c’est plié

    plus de poème en point de « mire »

    plus de « rime » plus de « délire »

    plus de souci pour « élider » !

     

    Il est passé

    il est parti

     c’est du passé

    tout refroidi !

     

                                      « Rotpier »

     

     

    Et pis c'est tout pour aujourd'hui !  

     

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !  

    .

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    Il est assez court et il est plutôt déjanté ! Allez-y, vous pouvez rouler ! Je ne pense pas que ce soit un calvaire pour trouver !

     

    1ère ligne, dernière image : quand son nez s'allonge, il "  - - - - " ! 

    2ème ligne, 1ère image : c'est un arbre du le fruit est la faine ! 

    3ème ligne, 3ème image : petitye, la sale bête est lente !

    4ème ligne, 2ème image : la suite du refrain d'Antoine ! 

    5ème ligne, 1ère image : lieu où se tenait la vigie sur les anciens voiliers ! ( l'autre aussi ... j'y veille ! )  2ème image : le symbole de la "  - - - - " ... il y a du boulot en ce moment pour y arriver !

    6ème ligne, 2ème image : en direct : " ch " ... va l' dire à ma mère !

    7ème ligne, 1ère image : l' " - - - - -  " de Vitruve par le bon Léonard ! ( Je rappelle que: c'est en sciant que Léonard devint scie ... si ! )

    8ème ligne, 2ème image : ce n'est pas un gars !

    Et pis c'est tout ! 

    A vous de jouer ! Il est court, j'espère que ça va rouler pour vous ! 

     

     

    Réponse :

    Il faut vraiment être fin bourré pour essayer de rouler une pelle à une bouche de métro même si c’est celle des Filles du Calvaire ! 

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

     

     

     

    Épicé c'est tout !

    Allez, au boulot ! Il n'est pas facile et il contient 2 anagrammes. Les thermes employés sont plutôt figuratifs et cela pourrait s'appliquer à une femme qui voudrait se sortir de la domination d'un homme... c'était quand même la journée des femmes cette semaine ...non ?

     

     

     

    Réponse :

    Elle était hérissée par toutes ses hérésies. Sa seule porte de sortie était de le quitter pour se reconstruire et espérer une résurrection.

     

    Nota : Les anagrammes sont en couleurs !  

     

     


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  •  

     

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    « Richard Cocciante »

    « Pour elle »

     

    Un hymne à l'amour !

     

     

     

    Pour elle

     

    Je ferai l'été en novembre
    J'la réchaufferai pour pas qu'elle tremble
    J'inventerai les mots du silence
    J'lui f'rai du bleu sur des mots tendres
    J'apprendrai à vivre autrement
    A sa façon et loin des gens
    J'irai chercher l'inaccessible
    L'infiniment sentimental

    Pour elle...

    J'irai au plus profond des rêves
    Qu'elle fait lorsqu'elle est endormie
    Chercher ce que jamais ses lèvres
    N'oseront dire à ses envies
    J'arracherai les habitudes
    Et les moments qui font douter
    Pour détruire les incertitudes
    Sans se parler

    Pour elle...

    J'irai au bord de l'invisible
    Où l'amour tient en équilibre
    Pour elle j'oublierai qui je suis
    J'écouterai tout c'que son cœur dit
    J'irai voler l'indispensable
    L'extrême sentiment d'aimer

    Je jetterai tout de mon passé
    Pour faire de nous mon avenir
    Peut-être simplement pour s'aimer
    Peut-être pour ne jamais mourir

    Pour elle...

    J'arrêterai le temps qui passe
    Pour que plus jamais on n'oublie
    Les caresses qui souvent s'effacent
    Ou qui s'enfuient

    Pour elle...

     

     

    Bon partage !

     

     

    Rotpier


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  •  

    Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

    Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

    Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

     Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

    Le Rotpier l'homme qui murmurait (2)

     

    Les hululucubrations abracadabrantesques

    des chouettes Chouettes du Rotpier

     

    Signature Rotpier

     

     

    ... Je vous chouette une bonne distraction

    ... et une bonne journée !

     


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    Image du net

     

    Préambule :

    Je me suis livré à un petit jeu : un mélange d’anagrammes et de rimes. Je vous invite à trouver d’autres strophes sur le même thème … si cela vous « sied » , ça va de soit… qu’on se le « dise » !

     

    La valse des anagrammes,

     

    Voulez-vous jouer avec moi

    au petit jeu des anagrammes

    certaines pèsent quelques grammes

    mais d’autres font vraiment le poids !

     

    Je vais vous en citer plusieurs

    je compte sur vous pour la suite

    allez, allez je vous invite

    à bouger votre postérieur !

     

    Commençons déjà par « couper »

    qui donne en anagramme « croupe »

    vous voyez bien ça se recoupe

    … je ne pouvais pas la louper !

     

    L’anagramme du verbe « aimer »

    me conduit tout droit au mot « maire »

    et la pilule est bien amère :

    le mien est par trop dévoyé !

     

    L’anagramme de « conseiller »

    nous dirige droit vers « corneilles »

    et aux bâillements quand la veille

    il a un peu trop festoyé !

     

    Si l’on décline le mot « chien »

    il y a « chiné » « niche » et « Chine »

    « cheni » et « niché » ça s’affine

    et puis c’est tout c’est déjà bien !

     

    « Prostituée » se transforme en

    « pirouettes » ou « tripoteuse »

    une analogie très porteuse

    vous en conviendrez aisément !

     

    Moult apéro à l’Opéra

    conduisent droit à l’ « aspirine »

    tout « parisien » qui s’acoquine

    ou non avec une nana !

     

    Le petit rat de l’Opéra

    et puis ensuite « à bas résille »

    tu captes bien ou ça grésille ?

    « réalisables » plans ou pas ?

     

    Ne t’en fait pas allez « souris »

    il faut « oser » la vie en « rose »

    même si ce n’est qu’une pause

    avant de sentir le « roussi » !

     

    Allez ne fait pas « attention »

    parfois je pars à la « dérive »

    « dévier » jusqu’à ce qu’il s’en suive

    l’irrésistible « tentation » !

     

    Si vous trouvez un escargot

    en enfilant votre « limace »

    c’est que la « malice » est en place

    moi je vous le dis tout de go !

     

    Cela devient un peu abscons

    parfois ma muse est un peu « garce »

    cette « Grâce » me fait des farces

    et me laisse là comme un con !

     

    Si vous voulez aller plus loin

    n’ayez pas le « fion » immobile !

    Si l’expression vous horripile

    filez sans faire trop de « foin » !

     

    Et maintenant très chers lecteurs

    à vous de prendre la « relève »

    soyez des excellents élèves :

    il faut s’ « élever »… haut les cœurs !

     

                                                            Pierre Dupuis

     

    " L'anagramme est facile,

    la rime est plus difficile ! "

     

    Image du net !

     

     


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    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    Et pis c'est tout Rotpier


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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !  

    .

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    Il est assez long et plutôt sérieux comme le dit mon chien ! Il traite de l'âne à Lise, une voisine agricultrice. 

     

    1ère ligne, 3ème image : Petite, la sale bête est lente !  ( l'autre aussi ! )

    2ème ligne, avant dernière image : la moitié du surnom du volatile ! 

    3ème ligne, 1ère image : il "  - - - -  " au présent de l'indicatif !

    4ème ligne, 2ème image : en direct, le symbole de la " vie " ! ( les autres aussi ! ) Dernière image : il ne faut pas prendre le 

    7ème ligne, 1ère image : la suite du refrain d'Antoine ! 2ème image : une  "  - - - - - " automobile !

    8ème ligne, 3ème image : à 3 h 52 du mat, il est très  "  - - -  "  ... même pour Toto !

    Dernière ligne, 1ère image : le verbe à l'infinitif !

     

    Et pis c'est tout ! 

    A vous de jouer ! Il est court, j'espère que le trouverez les doigts dans le nez avant d'aller faire pipi ! 

     

    Réponse :

     

    Rêver pour rêver, c’est comme pisser dans un violon, encore que dans le premier cas cela évite au violon de pourrir !

     

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

     

     

    Épicé c'est tout !

    Allez, au boulot ! C'est un adage de la campagne ! Vous n'allez pas vous fatiguer beaucoup !

     

     

    Réponse :

    A vouloir courtiser des pimbêches, on se prend souvent des râteaux !

     

     

     


    17 commentaires
  • .

    Allez, on garde les taureaux mais on change de décor ...

     

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    Francis Cabrel

    « La corrida » ...

    Un petit bijou ...

     

     

    La corrida

    Depuis le temps que je patiente
    Dans cette chambre noire
    J´entends qu´on s´amuse et qu´on chante
    Au bout du couloir
    Quelqu´un a touché le verrou
    Et j´ai plongé vers le grand jour
    J´ai vu les fanfares, les barrières
    Et les gens autour

    Dans les premiers moments j´ai cru
    Qu´il fallait seulement se défendre
    Mais cette place est sans issue
    Je commence à comprendre
    Ils ont refermé derrière moi
    Ils ont eu peur que je recule
    Je vais bien finir par l´avoir
    Cette danseuse ridicule

    Est-ce que ce monde est sérieux?
    Est-ce que ce monde est sérieux?
    Andalousie, je me souviens
    Les prairies bordées de cactus
    Je ne vais pas trembler devant
    Ce pantin, ce minus!
    Je vais l´attraper, lui et son chapeau
    Les faire tourner comme un soleil

    Ce soir la femme du torero
    Dormira sur ses deux oreilles
    Est-ce que ce monde est sérieux?
    Est-ce que ce monde est sérieux?
    J´en ai poursuivi des fantômes
    Presque touché leurs ballerines
    Ils ont frappé fort dans mon cou
    Pour que je m´incline

    Ils sortent d´où ces acrobates
    Avec leurs costumes de papier?
    J´ai jamais appris à me battre
    Contre des poupées
    Sentir le sable sous ma tête
    C´est fou comme ça peut faire du bien
    J´ai prié pour que tout s´arrête
    Andalousie, je me souviens

    Je les entends rire comme je râle
    Je les vois danser comme je succombe
    Je pensais pas qu´on puisse autant
    S´amuser autour d´une tombe
    Est-ce que ce monde est sérieux?
    Est-ce que ce monde est sérieux?
    Si, si hombre, hombre
    Baila, baila

    Hay que bailar de nuevo
    Y mataremos otros
    Otras vidas, otros toros
    Y mataremos otros
    Venga, venga a bailar...
    Y mataremos otros

     

    Bon partage !

     

    Rotpier


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