Je voudrais, sans la nommer, . Vous parler d'elle Comme d'une bien-aimée, D'une infidèle, Une fille bien vivante Qui se réveille A des lendemains qui chantent Sous le soleil.
C'est elle que l'on matraque, Que l'on poursuit que l'on traque. C'est elle qui se soulève, Qui souffre et se met en grève. C'est elle qu'on emprisonne, Qu'on trahit qu'on abandonne, Qui nous donne envie de vivre, Qui donne envie de la suivre Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans la nommer, Lui rendre hommage, Jolie fleur du mois de mai Ou fruit sauvage, Une plante bien plantée Sur ses deux jambes Et qui trame en liberté Ou bon lui semble.
C'est elle que l'on matraque, Que l'on poursuit que l'on traque. C'est elle qui se soulève, Qui souffre et se met en grève. C'est elle qu'on emprisonne, Qu'on trahit qu'on abandonne, Qui nous donne envie de vivre, Qui donne envie de la suivre Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans la nommer, Vous parler d'elle. Bien-aimée ou mal aimée, Elle est fidèle Et si vous voulez Que je vous la présente, On l'appelle Révolution Permanente!
C'est elle que l'on matraque, Que l'on poursuit que l'on traque. C'est elle qui se soulève, Qui souffre et se met en grève. C'est elle qu'on emprisonne, Qu'on trahit qu'on abandonne, Qui nous donne envie de vivre, Qui donne envie de la suivre Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
C'est elle que l'on matraque, Que l'on poursuit que l'on traque. C'est elle qui se soulève, Qui souffre et se met en grève. C'est elle qu'on emprisonne, Qu'on trahit qu'on abandonne, Qui nous donne envie de vivre, Qui donne envie de la suivre Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je me souviens bien de cette chanson. Paroles qui ont du sens ... Révolution, et oui, çà recommence, çà continue ... sans cesse il faut se battre. Nous étions nombreux aussi à Amiens cette semaine mais les gens de l'Elysée n'en ont rien à faire. On entre peut-être dans une dictature ?
Mais 68 ... comment oublier ... j'apprenais la sténo-dactylo comme beaucoup de jeune fille, savoir taper sur ces grosses machines nous donnait du boulot.
Merci Pierre et bon week-end en espérant un peu de soleil ☼
Je me souviens bien de cette chanson. Paroles qui ont du sens ... Révolution, et oui, çà recommence, çà continue ... sans cesse il faut se battre. Nous étions nombreux aussi à Amiens cette semaine mais les gens de l'Elysée n'en ont rien à faire. On entre peut-être dans une dictature ?
Mais 68 ... comment oublier ... j'apprenais la sténo-dactylo comme beaucoup de jeune fille, savoir taper sur ces grosses machines nous donnait du boulot.
Merci Pierre et bon week-end en espérant un peu de soleil ☼
Gros bisous
Bonjour Annick !
Tous ensemble, tous ensemble… ouais ! Ouais !
Le temps boude en Normandie mais demain
cela devrait être plein soleil et … tonte !
Bonne journée !
Pierre
http://rotpier.eklablog.com/