• Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    .

    Quelques conneries en vrac :

     

    1ère  Connerie :

     

    J’ai réussi à percer un mystère mais maintenant je suis très emmerdé : il fuit ! Quelle connerie la curiosité !

     

    2ème Connerie :

     

    Quand il a pris connaissance du tarif de la belle de nuit, il s’est gratté l’occiput !

     

    3éme  Connerie :

     

    A boire du rhum à gogo, on finit par l’avoir dans le baba !

     

    4éme  Connerie + contrepet :

     

    Ne pas confondre Vladimir Poutine et Vladimir  T - - - - - e!

     

    Mais on peut dire : V’ la dix mires T - - - - - e …. si l’on est dans un lupanar ! ( Pierre s’excuse, le Rotpier …  non ! )

     

    Dernière  Connerie :

     J’ai bien connu une hôtesse de l’air allemande (une ancienne d’Allemagne de l’est) qui s’appelait Tanza. Elle s’envoyait en l’air avec le premier venu : elle était complètement louf Tanza !

     

     

    Pour terminer, la petite pensée du matin cueillie à la rosée :

     Le fait de pouvoir porter un masque légitimement avantage une communauté notable : celle des gens qui avancent masqués. J’ai nommé la communauté des faux-culs. Ne voyez pas en moi un quelconque esprit de communautarisme mais simplement un esprit d’observation.

     

     

     xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

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  •  

    Un peu à cause de cela:

    https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_l%27Allemagne

    Vous savez, moi ,quand ça fait tilt, ça fait tilt !

    Et, pour faire un peu écho à la chanson de samedi ... alors lisez ... si ça vous dit ! 

     

     

    Les photos sont du net !

    Sonnet premier :

    Mais que font les Lily Marlène ?

     

    Elle n’avait pas eu d’enfant,

    une situation choisie,

    elle voulait vivre sa vie

    sans entrave et très librement.

     

    Elle avait pris quelques amants

    pour satisfaire ses envies,

    juste des pulsions assouvies

    mais pas d’homme à elle vraiment.

     

    A l’aube de la cinquantaine

    elle n’était plus si certaine

    d’avoir choisi le bon chemin.

     

    Alors les deux mains sur la tête,

    dans son grand studio de Berlin,

    elle pleurait : c’était trop bête.

     

     

    Sonnet second :

    Pour ne pas aller dans le mur,

     

    Beaucoup de femmes allemandes

    des Gretchen, Marlène ou Eva

    quand l’âge avance se demandent :

    « Comment en suis-je arrivée là ? »

    .

    Ni contrainte ni propagande

    pour pousser à ce résultat,

    de l’égoïsme en opérande ?

    Une grosse erreur de l’état ?

     

    Mais peu importe la réponse,

    peu à peu la nation s’enfonce

    dans l’ère des gens plus que mûrs.

     

    A moins d’un sursaut teutonique,

    Berlin ira droit dans le mur :

    fin du grand rêve germanique !

     

     

    Péroraison :

    Allez teutons, allez teutonnes

    si vous voulez des autochtones

    il faut vous remettre au boulot,

    il faut refaire des marmots !

     

    L’heure n’est plus à l’égoïsme

    mais bel et bien à l’altruisme :

    pas de relève à l’horizon

    suffisante pour la nation.

     

    Allez Lily, allez Marlène

    beaucoup de joie, un peu de peine,

    il faut refaire des teutons

    au grand jour ou bien à tâtons !

     

    Votre pays a pris conscience

    de l’importante déficience

    au plan de la natalité :

    il prône la maternité !

     

    Mettez de coté la pilule,

    laissez tomber tous les scrupules :

    trouvez de consentants papas

    qui cèderont à vos appas !

     

    A défaut de compatriotes

    sans trop de fibre patriote

    vous pouvez tout à fait compter

    sur les jeunes gens d’à coté !

    .

    Il y a hors de vos frontières

    qui n’ont plus guère de barrières

    des hommes prêts à vous aimer

    et à vous faire des bébés !

     

    Remettez au travail vos ventres,

    il me plairait d’être le chantre,

    du renouveau le laudateur,

    allez soyez à la hauteur !

     

    Pas de conseils à sens unique,

    des Karl, des Franz et des Ulrich

    peuvent suivre le mouvement

    et trouver de belles mamans !

     

    Mais… Oh ! Bonjour Fräulein Marlène…

     

    Vous souriez à mes poèmes

    … on dirait même, on dirait même

    que vous avez anticipé :

    votre ventre semble occupé !

     

    A mon âge on peut se permettre

    sans risque de se compromettre

    un langage très familier

    tant qu’il n’est pas trop cavalier !

     

    Alors bravo Fräulein Marlène

    pour le beau rond de ta bedaine :

    tu as choisi la bonne option

    pour toi-même et pour ta nation !

     

    Je m’accorde le privilège

    du tutoiement qui désagrège

    bien des murs et des sortilèges

    et qu’Artémise te protège !

     

    Pardonne-moi pour mon sans-gêne

    je ne crois pas que ça te gène,

    sans rancune et à la prochaine

    aufwiedersehen fräulein Marlène !

     

    Aufwiedersehen,  aufwiedersehen…

     

                                                              Pierre Dupuis

     

    Et si après cela, l’Allemagne ne me décore pas de la médaille de la natalité, où va-t-on chez les teutons ?

     

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     


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  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus sonnant et odorant du Rotpier ... bon appétit !

     

    5ème ligne, 2ème image : c'étai le moment des "  - - - - -  " ... un peu mon n' veu ! Dernière image : un  " - - - " de sable ou d'autre chose ! 

    6ème ligne, 2ème image : des lingots d ' "  - -  " ! 

    7ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours " s " ( l'autre aussi, y pas d' raison mon colon ! ) 

    8ème ligne, 3ème image : il ne faut pas le perdre !

    9ème ligne, 3ème image : " - - - " est ce personnage ? 

    11ème ligne, dernière image : des poches de  " - - - - " pour sauver des vies !

     

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer ! Il n'est pas trot long et il aurait bien moins sonné avec  " gas-oil " !

     

     Réponse :

    Quand il buvait, il appelait ça « faire le plein ». Il devenait alors si obscène que l’on aurait juré qu’il avait fait le plein d’indécence !

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

    C'est un rébus assez salé et mieux vaut ne pas l'avoir au bout de la langue  !   

     

     

     

     

     

    Allez, au boulot brav' gens !

            J'avoue qu'il est costaud, mais je suis certain que cela va vous démanger au plus haut point de le résoudre  

    Réponse :

    Ne pourrait-on pas qualifier un herpès, un gros, un très gros, qu’il soit situé n’importe où, d’herpès zénithal ? C’est une extrapolation qui peut en boucher un coin à certains ou à certaines, ne pensez-vous pas ?

     

     


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  • Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Patricia Kaas »

     

    « D’Allemagne »

     

    … Une petite préparation aux poèmes

    de mardi prochain …

     

     

    D'Allemagne,

     D'Allemagne où j'écoute la pluie en vacances 
    D'Allemagne où j'entends le rock en silence 
    D'Allemagne où j'ai des souvenirs d'en face 
    Où j'ai des souvenirs d'enfance 
    Lénine Place et Anatole France 

    D'Allemagne l'histoire passée est une injure 
    D'Allemagne l'avenir est une aventure 
    D'Allemagne je connais les sens interdits 
    Je sais où dorment les fusils 
    Je sais où s'arrête l'indulgence 

    Auf wiedersehen Lili Marlène 
    Reparlez-moi des roses de Göttingen 
    Qui m'accompagnent dans l'autre Allemagne 
    A l'heure où colombes et vautours s'éloignent 
    De quel côté du mur la frontière vous rassure 

    D'Allemagne 
    J'ai des histoires d'amour sincères 
    Je plane sur des musiques d'Apollinaire 
    D'Allemagne 
    Le romantisme est plus violent 
    Les violons jouent toujours plus lent 
    Les valses viennoises ordinaires 

    Ich habe eine kleine wild Blume 
    Eine Pflanze die zwischen den Wolken blühte 
    D'Allemagne 
    J'ai une petite fleur dans l'coeur 
    Qui est comme l'idée du bonheur 
    Qui va grandir comme un arbre 

    Auf wiedersehen Lili Marlène 
    Reparlez-moi des roses de Göttingen

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     

     


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  • Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    .

     1ère Pensée encadrée ( que ceux qui ne peuvent pas m’encadrer s’abstiennent !)  :

     

    2ème Pensée qui est une interrogation :

    A force d’utiliser les gels hydro alcooliques, n’allons-nous pas tomber dans l’addiction et être obligés de suivre des cures de désintoxication qui coûteraient cher à la Sécurité Sociale et conduiraient à une addiction très salée ?

     

          3éme  Pensée : C’est une petite histoire, pas très convenable je le reconnais, qui m’a été contée … et l’on joue avec les anagrammes ( il y en a cinq ! )

     Des conteurs m’ont affranchi d’une histoire de curetons qui se coursent et qui un jour se suceront ! Grand bien leur fasse dès lors qu’ils laissent les gamins tranquilles ! Buvons à leur santé et éructons gaiement !

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

     

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  • Allez, un petit coup de chaud dans le métro

    en attendant de pouvoir recirculer normalement !

    Mais ...

    à proscrire absolument par les temps qui courent !

     

    ... Et aussi une mise en garde

    pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !

     
     
     
    Image bidouillée par Rotpier !
     
     
     

    Coup de chaud dans le métro,

     

    Il avait pris un coup de chaud

    en détaillant ses hémisphères,

    paire du bas, paire du haut :

    véritables calorifères !

     

    C’est par le plus grand des hasards,

    sur un escalier mécanique,

    qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -

    celles du bas au galbe unique !

     

    Il les avait au ras des yeux :

    elle avait trois marches d’avance !

    Un panorama merveilleux

    qui supplantait Saint-Paul de Vence !

     

    Quand tout en haut de l’escalier,

    elle reprit sa marche souple,

    le mouvement de balancier

    lui coupa carrément le souffle !

     

    Il calcula rapidement

    que pour rester en équilibre,

    il fallait bien que sur l’avant

    ce soit aussi du beau calibre !

     

    Alors il lui fila le train

    - celui arrière à l’évidence ! -

    en retenant très fort ses mains

    qui voulaient entrer dans la danse !

     

    A peine arrivés sur le quai,

    la rame se pointa bondée :

    il se retrouva tout plaqué,

    les yeux sur la belle avancée !

     

    Les deux hémisphères du haut

    étaient aussi très remarquables :

    la nana avait des lolos

    qui poussaient à se mettre à table !

     

    Libres de tout harnachement

    ils tressautaient tout à leur guise,

    à chaque à-coup très franchement,

    usant le pull de la marquise !

     

    La marquise qui remarqua

    cette expertise licencieuse,

    banda ses forces et  lui cloqua

    son beau genou dans les précieuses !

     

    Le coup de chaud se transforma

    dans la seconde en incendie,

    en douleur de très grand format

    et en coup de tachycardie !

     

    Elle lui dit en souriant :

    « N’en fais pas une maladie,

    ça passera avec le temps :

    prends ça avec philosophie !

     

    Mon mec est bien plus beau que toi

    et si je balance mes fesses,

    si mes nénés font contrepoids,

    c’est pour que je sois sa déesse ! "

     

       Moralité :

     

    A moins d’avoir des droits dessus,

    ne vas pas trop lorgner les filles :

    un petit coup d’œil et pas plus

    ou gare aux bijoux de famille ! 

     

                                    Rotpier

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     


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  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus sonnant et odorant du Rotpier ... bon appétit !

     

    1ère ligne, 1ère image : le personnage a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !  

     

    5ème ligne, 2ème image : pantalons en Denim, il faut bien scinder les deux sons, le second s'enchaînant à l'image suivante ! 4ème image : petite, la sale bête est lente !

    6ème ligne, 1ère image : les rouges sont en voie de disparition ( pas les communistes ... encore que ... )  Dernière image : " - - -" est un python et il est l'ami de Mowgli ! ( les autres aussi ! )  

    8ème ligne, 1ère image : 0,3 KM/h, c'est très " - - - - " ! 

    9ème ligne, 1ère image : celle-ci est ferroviaire ! 3ème image : du charbon brut !

    10ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " -  - - - " ... quand c'est autre chose on ne sais pas ! Dernière image : le serpent fait toujours "s" ! 

    11ème ligne, 1ère image : en direct "ti" ... oui mes titis!

    14ème ligne, 4ème image : le sein bol de la " - - - - " !

     

     

    Et pis c'est tout !

    A vous de jouer ! Il n'est pas trot long et il résonne bien je pense !

    J'espère que l'Académie française va retenir cette proposition, qui semble quand même éminente ! 

     

     

    Réponse :

    Tout bien pesé et dans le cadre de la néologie ne pourrait-on pas qualifier un mélange de gargouillements intestinaux accompagné d’une sarabande de pets de cacaphonie ?

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

    C'est un rébus à connotation comparative !

     

     

     

    Allez, au boulot brav' gens !

             Et n'oublions pas que, comme disait Einstein à son coiffeur :  " Tout est relatif ! " 

    Réponse :

    Personne n’est parfait, c’est évident. Mais, comparé à certains nous pouvons nous délivrer un certificat de bonne conduite, surtout si l’on prend pour étalon Emile Louis ou Michel Fourniret !

     

      


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    « Vesoul»

    « Jacques Brel »

     

    L’incontournable grand Jacques 

    et ensuite un bonus de taille !

     

      

    Vesoul

    T'as voulu voir Vierzon, et on a vu Vierzon
    T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul
    T'as voulu voir Honfleur, et on a vu Honfleur
    T'as voulu voir Hambourg, et on a vu Hambourg
    J'ai voulu voir Anvers, on a revu Hambourg
    J'ai voulu voir ta sœur, et on a vu ta mère
    Comme toujours
    T'as plus aimé Vierzon, on a quitté Vierzon
    T'as plus aimé Vesoul, on a quitté Vesoul
    T'as plus aimé Honfleur, on a quitté Honfleur
    T'as plus aimé Hambourg, on a quitté Hambourg
    T'as voulu voir Anvers, on n'a vu qu'ses faubourgs
    T'as plus aimé ta mère, on a quitté ta sœur
    Comme toujours
    Mais je te le dis, je n'irai pas plus loin
    Mais je te préviens, j'irai pas à Paris
    D'ailleurs, j'ai horreur de tous les flonflons
    De la valse musette et de l'accordéon

    T'as voulu voir Paris, et on a vu Paris
    T'as voulu voir Dutronc, et on a vu Dutronc
    J'ai voulu voir ta sœur, j'ai vu le Mont Valérien
    T'as voulu voir Hortense, elle était dans le Cantal
    J'ai voulu voir Byzance, et on a vu Pigalle
    À la gare Saint-Lazare, j'ai vu les Fleurs du Mal
    Par hasard

    T'as plus aimé Paris, on a quitté Paris
    T'as plus aimé Dutronc, on a quitté Dutronc
    Maintenant j'confonds ta sœur et le Mont Valérien
    De c'que je sais d'Hortense, j'irai plus dans le Cantal
    Et tant pis pour Byzance, puisque j'ai vu Pigalle
    Et la gare Saint-Lazare, c'est cher et ça fait mal
    Au hasard

    Mais je te le redis (chauffe, chauffe) je n'irai pas plus loin
    Mais je te préviens (kaï, kaï, kaï) le voyage est fini
    D'ailleurs, j'ai horreur de ce jazz manouche
    De la valse musette et des bateaux-mouches

    T'as voulu voir Vierzon, et on a vu Vierzon
    T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul
    T'as voulu voir Honfleur, et on a vu Honfleur
    T'as voulu voir Hambourg, et on a vu Hambourg
    J'ai voulu voir Anvers, et on a revu Hambourg
    J'ai voulu voir ta sœur, et on a vu ta mère
    Comme toujours

    T'as plus aimé Vierzon, on a quitté Vierzon (chauffe)
    T'as plus aimé Vesoul, on a quitté Vesoul
    T'as plus aimé Honfleur, on a quitté Honfleur
    T'as plus aimé Hambourg, on a quitté Hambourg
    T'as voulu voir Anvers, on n'a vu qu'ses faubourgs
    T'as plus aimé ta mère, on a quitté ta sœur
    Comme toujours (chauffez les gars)

    Mais je te le dis, je n'irai pas plus loin
    Mais je te préviens, j'irai pas à Paris
    D'ailleurs, j'ai horreur de tous les flonflons
    De la valse musette et puis de l'accordéon

    T'as voulu voir Paris, et on a vu Paris
    T'as voulu voir Dutronc, et on a vu Dutronc
    J'ai voulu voir ta sœur, j'ai vu le Mont Valérien
    T'as voulu voir Hortense, elle était dans le Cantal
    J'ai voulu voir Byzance, et on a vu Pigalle
    À la gare Saint-Lazare, j'ai vu les Fleurs du Mal
    Par hasard

    T'as plus aimé Paris, on a quitté Paris
    T'as plus aimé Dutronc, on a quitté Dutronc
    Maintenant j'confonds ta sœur et le Mont Valérien
    De ce que j'sais d'Hortense, j'irai plus dans le Cantal
    Et tant pis pour Byzance, puisque j'ai vu Pigalle
    Et la gare Saint-Lazare, c'est cher et ça fait mal
    Au hasard

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    + Le bonus promis : 

     

     

    Pas mal non ? 

    Bon partage !

      

    Rotpier


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  • Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    .

    On commence par les sérieuses… avec quelques nuances bien sûr car :

     « Car nous voulons la Nuance encor,
    Pas la Couleur, rien que la nuance !
    Oh ! la nuance seule fiance
    Le rêve au rêve et la flûte au cor ! »

                    Questions :

    Quel poète, quel poème ?

    Deux questions subsidiaires

    Qui viennent s’immiscer, altières,

    Incongrues et bohêmes.

     

     Ceux qui trouvent gagnent le droit de lire la suite de ce billet, il est vrai un peu moins poétique et beaucoup plus élastique !

     

    1ère  Pensée :

    Au Moyen-Orient, au niveau des plaies profondes qui divisent les pays, untel soigne, untel avive. Benyamin Netanyahou fait partie des derniers. 

     

    2ème Pensée :

    A moins d’être stupide et borné, on ne peut pas être à 100% pro-déconfinement ou pro-confinement. Ces positions relèvent de la connerie pure et simple ou de l’extrémisme.

     

    3éme  Pensée :

    Savez-vous que l’anagramme de « chauve-souris » est « souche à virus » ? Surprenant non ?

     

    4éme  Pensée :

    Une pieuvre peut avoir trois amoureux sans être volage puisqu’elle a trois cœurs ! Surprenant aussi non ?

     

    5éme  Pensée :

    Il y avait le nettoyage par le vide, maintenant, dans les EHPAD, il y a le nettoyage par le covid ! ( Oh ! le vilain ! )

     

    Deux moins sérieuses :

     

    6éme  Pensée :

    Ne pourrait-on pas comparer les dernières résistances d’une jeune-fille avant d’être déflorée à une guerre de tranchée ? Poilant non ?  ... ça vous en bouche un coin hein !

     

    7éme  Pensée :

    Vendredi 1er mai, dans le bois de Chaville, il y aura plus de poulets que de muguet … et pas qu’un brin !

     

    Allez, on termine en chanson :

     

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

     

    4 commentaires
  •  

    Le poète est un funambule ... mais il ne travaille pas sans fil ... conducteur !

     

    Image du net

     

    Travail sans filet… mais très dérivant,

     

    J’ai connu un poète gay,

    ses rimes étaient monotones

    peu profondes et très atones,

    on pouvait les passer à gué !

     

    Elles terminaient en « filé »

    ou bien en « manche » ou bien en « cule »,

    sans évoquer les renoncules,

    pas plus que la pêche au filet !

     

    J’ai cessé de le fréquenter

    dès lors qu’il m’a fait ses yeux tendres,

    je me suis enfui sans attendre :

    pas question de le contenter !

     

    Si je suis très large d’esprit,

    ailleurs je refuse de l’être,

    je ne veux pas me laisser mettre

    … même si l’on m’offre un bon prix !

     

    Je ne veux pas d’un avenir

    du genre Sodome et Gomorrhe,

    je ne suis pas un matamore,

    je vous somme d’en convenir !

     

    Péroraison rimant avec raison…

    Je vous sens assez offusqués,

    je ne veux plus que ça dérape

    j’arrête là, je me rattrape :

    je boycotte la rue du quai !

            

                 Mais …

    J’ai plus d’une corde à mon arc,

    ne me collez pas d’étiquette

    j’écris aussi quelques bluettes

    que je récite dans les parcs !

     

    Mais de nos jours les amoureux

    n’aiment plus guère les poèmes,

    ils ne déclarent leurs « Je t’aime ! »

    que sur Facebook … les malheureux !

     

    Nous n’avions point besoin d’écran

    pour bien maîtriser le tactile

    surtout en dessous du textile

    … c’était autrement enivrant !

     

    Et nul besoin de logiciel,

    ni de satanés de mots de passe,

    il n’y avait guère d’impasse

    pour aller au septième ciel !

     

    Rien à faire d’applications

    pour connaître la marche à suivre,

    ni de valider pour poursuivre :

    tout se passait à l’intuition !

     

    Bien sûr on finissait à plat

    un peu comme les batteries,

    c’était la seule analogie

    … vous souriez ? … c’est déjà ça !

     

    Mais tout cela c’est du passé,

    plus je vieillis, plus je radote,

    je me sauve, je m’escamote,

    pour éviter de ressasser !

     

    Sans être par trop dépassé

    dans mon check-up des points clignotent,

    ça sent l’argus et la décote :

    j’approche du vieux con cassé !

      

                                                                  Rotpier

     

     


    3 commentaires
  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     


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  • .

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

         C'est un rébus plutôt court et qui utilise un raccourci pour une profession ou une qualité en général ! Il y a aussi une astuce, somme toute pas si facile que cela à déchiffrer que cela !  Votre sagacité va être mise à l'épreuve par 9 !

     

    5ème ligne, 3ème image : partie d'un arbre cher à Shakespeare : " - - - - " ou ne pas  " - - - - ! 

    6ème ligne, 3ème image : la moitié du surnom du volatile !

    8ème ligne, 3ème image : la moitié du nom du personnage !

    10ème ligne, avant dernière image :  la moitié de ce qu regarde ce sacripant de Titeuf ! Dernière image : le serpent fait toujours " s ", c'est sa manie !

    Et pis c'est tout !

     

    Au boulot , vous pouvez le faire assis ou allongé sur votre canapé en grignotant ou pas des petits canapés salés ou sucrés !

     

     Réponse :

    On l’est ou on l’est pas, c’est tout ou rien : on ne peut pas être psy qu’aux pattes ! Encore que pour certains un sérieux doute puisse exister !

     

    Nota: L'astuce étant :   " psy qu’aux pattes ! "   et non Psychopathe ... ça fait peur ... non ?

     

     

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

    C'est un rébus assez long et très sérieux. 

     

     

    4

     

    Allez, au boulot brav' gens ! Et ... essayons de ne pas tomber trop dans ce piège ! Il faut essayer de ne jamais dire de mal de notre saloperie de voisin ! 

     

    Réponse :

    Supposons d’ôter tous les chapitres liés à la critique en général, que resterait-il de la conversation d’une grande majorité des gens ? Que dalle ! Et, nous ne serions pas forcément hors du lot !

     

     

    Nota: c'était du sérieux, j'avais prévenu !

     

     

     


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  • Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    "Richard Cocciante"

    « Au clair de tes silences »

     

    Pour écrire d'aussi belles chansons, je pense qu'il a un Cocciante intellectuel

    au dessus de la moyenne

    ... qu'en pensez-vous?

     
     

     
     

     

    Au clair de tes silences, 

     

    Au clair de ses grands yeux
    Je n'irais plus dormir
    Au clair de ses grands yeux
    Je n'irais plus mourir
    Au clair de ses matins
    Où dorment ses soleils
    Au clair de mon chagrin
    S'envole l'hirondelle
    Au clair de ses histoires
    Je n'existerai plus
    Au clair de sa mémoire
    Un jour je me suis perdu

    Mais ce qu'elle ne sait pas
    C'est que je l'aime encore
    Mais ce qu'elle n'entends pas
    C'est que je l'aime fort
    Au clair de ses silences
    J'ai brisé mon amour
    Comme des vagues blanches
    Sur des rochers trop lourds
    Comme un oiseau blessé
    Qui a brisé ses ailes
    Je voudrais m'arrêter
    Et éteindre le ciel
    Je voudrais m'allonger
    Et tuer le soleil

    Au clair des jours qui passent
    Le temps pose ses heures
    Et son sourire s'efface
    Et j'ai le cœur qui pleure
    Aujourd'hui, je suis mort
    Parce qu'elle, elle vie encore
    Sans moi et qu'elle m'oublie
    Au clair de chaque nuit
    Et je la hais d'amour
    Au plus profond de moi
    Et je l'aime toujours
    Mais elle ne revient pas

      

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     


    6 commentaires
  •  

    Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    .

    Et si on jouait un peu avec les anagrammes : à vous de les dénicher et de reprendre en chœur : «  Dénichons, dénichons, dénichons ! »

     

    • Il aimait le vélo : appuyer sur le pédalier n’était pas pour lui déplaire.

     

    • C’est marrant une luciole posée la nuit sur une - - - - - - - ! (là, je vous laisse développer ! )

     

    • Le petit vieux avait souvent la verge en grève !

     

    • Les sénateurs sont souvent des grands amateurs de sauternes !

     

    • Cette prostituée, véritable tripoteuse, était capable de jolies pirouettes ! ( 3 )

     

    • S’il reste très longtemps en poste, Gérald Darmanin deviendra-t-il un véritable mandarin des finances ?

     

    • Cette demi-mondaine avait plus d’une corde à son arc : elle était à la fois tapineuse et patineuse. D’une santé de fer, elle était épuisante pour ses partenaires ! ( 3 + un contrepet interne ! )

     

    • Avec le confinement, il n’y a pas de relâchement dans le harcèlement.

     

    • Il maîtrisait parfaitement trois langues mais le soir, sur la lagune, il n’était pas foutu de rouler correctement des patins aux filles. ! A quoi ça sert de faire Erasmus dans de pareilles conditions !

     

    • Quand on prend un bon coup sur le cigare, on peut rester dans le cirage assez longtemps !

     

    • Entre bien savoir rouler un patin et faire le tapin, il y a de la marge !

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    On termine par une pensée… toujours anagrammesque :

     Partant de l’observation que l’anagramme de « génital » est « antigel » ne peut-on pas en conclure que les femmes chaudes ne craignent pas l’hiver ?

     

    Et pis c’est tout pour aujourd’hui !

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

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  •  

     

    Comme le fil d’un couteau,

    ou

    La rousse qui aimait les langoustes

     

    Elle était jeune elle était rousse

    dotée d’une belle frimousse

    sa taille était cambrée et douce

    et elle adorait les langoustes !

     

    Il était beau il était mousse

    tout jeune pêcheur de langoustes

    il ne connaissait pas la frousse

    ni l’embarras qui éclabousse !

     

    Une nuit sous la lune rousse

    sur un joli tapis de mousse

    ils jouèrent à trousse-trousse

    et ce fut la grande secousse !

     

    C’était une réelle rousse

    une peau tachetée et douce

    elle venait à sa rescousse

    quand il flanchait et criait : « Pouce ! »

     

    Elle était folle de son mousse

    il lui ramenait des langoustes

    qui cuisinées au pamplemousse

    donnaient du peps pour les secousses !

     

    Leur passion devint aigre-douce

    quand elle apprit qu’une autre rousse

    l’avait entraîné sur la mousse

    sans que pour autant il ne tousse !

     

    Elle détesta les langoustes

    lui s’en alla à la cambrousse

    d’où venait la traîtresse rousse :

    au fil du temps l’amour s’émousse !

     

                     Péroraison :

    Mais j’en entends au fond qui gloussent

    doutant de ma saga des rousses

    leur scepticisme m’éclabousse

    je préfère mettre les pouces !

     

    Vous ne saurez pas tout des rousses

    à moins d’aller mettre une rouste

    à ces vilains qui se trémoussent

    d’aise en grignotant des mangoustes !

     

    Et tant pis si je les courrouce

    je retourne dans ma cambrousse

    faucher mes foins et ma jarousse

    pour y coucher ma muse rousse !

      

               Ou bien alors …

    Ou bien alors je la retrousse

    je la retourne et je la trousse

    la cramponnant pour qu’elle se vousse

     

    aussi cruel que Barberousse !

     

     

                                                                        Rotpier

     

     

     

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     

     


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  • .

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    Allez, roulez jeunesse, roulez petits bolides !

     

    1ère ligne, 2ème image : il y en a 4 de 2 personnages !

    2ème ligne, 1ère image : un diagramme de  " - - - "  et ... pas celui pour les bourricots ! 

    3ème ligne,  1ère image : 0,5 Km/h : c'est très  " - - - - " ! 3ème image : il ne faut pas prendre la fille !

    4ème ligne,2ème image et en direct: " che " !

    7ème ligne, 1ère image : autre nom pour l'arobase !  " - - " choum ! A vos souhaits !

    8ème ligne, 2ème image : là, il faut scinder la 1ère lettre et le reste ! ( signé Le Rotpier, un gars qui a du poil aux pattes ... comme le bestiau présenté ! )

    10ème ligne, 2ème image : " - - - " est ce personnage ?  Dernière image : le serpent fait toujours "s" ... c'est sa manie et non sa Nanie !

    Et pis c'est tout !

     

    J'espère bien que ça va rouler pour vous et que vous en bavez d'avance ! 

     

    Réponse :

    Prendre son pied en roulant des galoches relève d’une logique très terre-à-terre et il n’y a que les mauvaises langues qui puissent dire le contraire !

     

     

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

        C'est un rébus assez long et avec toujours un rapport avec l'actualité, mais très fantaisiste !

     

     

     

     

    Allez, au boulot brav' gens ! ... J'espère qu'il va vous faire rigoler : c'est bon pour le moral ... surtout en ce moment ! 

     

    Réponse :

     

    Mourir du Covid-19 ou d’une chute d’échelle en peignant la girafe, c’est quif-quif bourricot : tu es mort, un point c’est tout. Sauf … sauf que cela fait moins rigoler la girafe et que ce n’est pas bon pour son moral !

     

     

     

     

     

      


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  • Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Christophe »

    « Les mots bleus »

     

    La remarque :

    Un hommage à celui qui nous a quitté...

     

     

    Les Mots bleus

     

    Il est six heures au clocher de l'église
    Dans le square les fleurs poétisent
    Une fille va sortir de la mairie
    Comme chaque soir je l'attends
    Elle me sourit
    Il faudrait que je lui parle
    À tout prix
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Parler me semble ridicule
    Je m'élance et puis je recule
    Devant une phrase inutile
    Qui briserait l'instant fragile
    D'une rencontre
    D'une rencontre
    Je lui dirai les mots bleus
    Ceux qui rendent les gens heureux
    Je l'appellerai sans la nommer
    Je suis peut-être démodé
    Le vent d'hiver souffle en avril
    J'aime le silence immobile
    D'une rencontre
    D'une rencontre
    Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher
    Dans le square les arbres sont couchés
    Je reviens par le train de nuit
    Sur le quai je la vois
    Qui me sourit
    Il faudra bien qu'elle comprenne
    À tout prix
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Toutes les excuses que l'on donne
    Sont comme les baisers que l'on vole
    Il reste une rancœur subtile
    Qui gâcherait l'instant fragile
    De nos retrouvailles
    De nos retrouvailles
    Je lui dirai les mots bleus
    Ceux qui rendent les gens heureux
    Une histoire d'amour sans paroles
    N'a plus besoin du protocole
    Et tous les longs discours futiles
    Terniraient quelque peu le style
    De nos retrouvailles
    De nos retrouvailles
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Je lui dirai tous les mots bleus
    Tous ceux qui rendent les gens heureux
    Tous les mots bleus
    Tous les mots bleus

     

    Bon partage !

     

    Pierre

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

     

    Maintenant que vous avez bien l'air en tête,

    le bonus de l'affreux Jojo Rotpier :

     

    «  Les mots bleus »

    de Christophe

     

    qui deviennent :

     

    «  Les gros bleus »

    de Rotpier

    .

     

    Les gros bleus,

     

    Ça fait six heures que je la brutalise

    Dans la chambre et pour des bêtises

    Cette fille je l’ai conduite à la mairie

    Je voudrais lui péter les dents

    Elle me sourit

    Il faudrait que je parte

     À tout prix

     

    Je lui ferais des gros bleus

    De ceux qui marquent bien les yeux

    Elle sera très ridicule

    Je m’élance et je la bouscule

    Pas un coup qui soit inutile

    J’ai le coup de poing très habile

    Et pas de contre

    Et pas de contre

     

    Je lui ferais des gros bleus

    De ceux qui rendent malheureux

    Je la cogn’rais sans la nommer

    Je suis peut-être démodé

    Le bruit des coups s’entend en ville

    Mais je m’en fous c’est ça mon style

     Et pas de contre

    Et pas de contre

     

    Il n’y a plus d’horloge elle est cassée

    Comme les chevets de la chambre à coucher

    En lambeaux sa chemise de nuit

    Sur le cul je la revois

    Qui me maudit

    Il faudra bien qu’elle comprenne

    À tout prix

     

    Je lui ferais des gros bleus

    On ne pourra plus voir ses yeux

    Toutes les claques que je donne

    Sont de grande classe et de haut vol,

    Il me reste une rancœur de bile

    Mon estomac est très fragile

    Et vaille que vaille

    Et vaille que vaille

     

    Je lui ferais des gros bleus

    De ceux qui sont très douloureux

    Fin de l’histoire et des paroles

    J’ai pas besoin de protocole

    Et de très longs discours futiles

    Ce ne serait pas dans mon style

    Et vaille que vaille

    Et vaille que vaille

     

    Je lui ferais des gros bleus

    De préférence sur les yeux

    Je lui ferais de très gros bleus

    De ceux qui sont très douloureux

    De très gros bleus

    De très gros bleus

     

    Et pis c’est tout !

     

    A la vôtre !

    Avec modération SVP !

     

    Rotpier

     

     


    2 commentaires
  • Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Quelques pensées sur le hasard, qui vont dans le même sens, mais qui sont formulées différemment :

     

    • Dans la vie, le hasard est un facteur à ne pas négliger. Mais, ne s’en remettre qu’à lui pour avancer est beaucoup trop hasardeux !

     

    • J’ai connu des personnes, postées sur bord de leur route, le pouce prêt à entrer en action pour le cas où le hasard passerait… elles y sont toujours !

     

    • Version la plus expéditive :

               

    Prends le hasard, botte lui son cul et tu décolles !

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

     

    Quelques pensées sur l’enseignement : retour vers le passé !

     

    1ère Pensée :

     Trouver la frontière entre l’animation et le bordel, voilà tout l’art que doit maîtriser le professeur qui veut enseigner dans un cours vivant. Ce n’est pas facile du tout à obtenir et quand on y parvient, les plus dur reste à faire : s’y maintenir !

     

    2ème Pensée :

     Si un élève mérite un zéro, il faut le lui mettre. Mais ensuite, il faut en discuter librement et ouvertement en équipe pédagogique pour bien expliquer à l’élève les raisons de la mise de cette note. Il ne faut en aucun cas qu’il pense qu'il y a conciliabule.

     

    3ème Pensée :

     L’enseignement, c’est facile : c’est le principe des vases communicants : le savoir passe de l’enseignant vers l’enseigné.

    Un petit bémol quand même : avec certains élèves, on se demande bien où coller l’entonnoir !

     

    xxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    Pensées diverses :

     

    • Que l’on habite dans l’Yonne ou pas, mieux vaut s’appeler Emile Pertuis qu’Emile Louis, même si l’on a tendance à rire jaune !

     

    • L’anagramme de « brunes » est « burnes » … cela ne compte pas pour des prunes quand même … non ? ( Comme disait Jacques Chirac : ça m’en touche une sans me faire bouger l’autre ! )

     

    • Petite, elle était très turbulente et sa grand-mère lui disait toujours : « Tu es un vrai garçon manqué et tu finiras mal ! ». Cela avait trotté pendant trente ans dans sa tête pour arriver au résultat suivant : elle venait de se faire opérer et avait demandé à se prénommer Gérard. Maintenant, elle se sentait bien d’être mâle !

     

     

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    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

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  •  

    Toutes les images sont du net et je les ai seulement organisées !

     

    De la chauve-souris à l’homme,

    ou

    La chaîne de contamination du covid-19,

     

     Il était un méchant virus

    arrivé du fond de la chine

    et qui avait pour origine

    la chauve-souris rhinolophus.

     

    Cette dernière mortibus

    c’était transformée en cantine

    pour des fourmis très levantines :

    un repas digne d’un négus !

     

    Passait par là un pangolin

    qui remarqua le beau manège

    il aurait été sacrilège

    de ne pas en faire un festin.

     

    Un chinois croisant son chemin

    se dit voilà pour ma Chimène

    un cadeau digne d’une reine :

    il le trucida au gourdin !

     

    Entre sa chair à déguster

    fine goûteuse et succulente

    ses écailles aux vertus soignantes

    difficile de résister !

     

    Et le chinois fut infecté

    il toussa de façon violente

    postillonnant une affolante

    giclée de virus activé !

     

    Le covid dix neuf démarra

    une progression fulgurante

    profitant de la sidérante

    mondialisation des états.

     

    L’Europe bientôt dégusta

    et connut une déferlante

    de malades et de morts lentes

    ou rapides selon les cas.

     

    Chaque pays faisait au mieux

    selon ses moyens et sa science

    tout le monde avait pris conscience

    que le mal était insidieux.

     

    Certains s’en remettaient à Dieu

    chacun le sien de préférence

    il y a de la concurrence

    chez ceux qui promettent les cieux !

     

    Se croyant toujours le plus fort

    le bouffon-chef de l’Amérique

    dans un grand discours rhétorique

    déclara que l’on avait tort.

     

    Tort de s’inquiéter sur le sort

    du pays c’était chimérique

    jusqu’à ce que le vampirique

    covid dix neuf sème la mort.

     

    Le fanfaron le fier à bras

    fit rapidement marche-arrière

    les gens tombaient comme des pierres

    et cela dans bien des états.

     

    USA ou pas USA

    ne connaissant pas les frontières

    le virus à l’âme guerrière

    se déplaçait à très grand pas !

     

    Un état avait sa faveur

    et c’était l’état de Floride

    où riches de fric et de rides

    les vieux recherchaient la chaleur.

     

    Il s’abattit avec fureur :

    on lui avait lâché la bride

    les gens dehors les maisons vides

    tout était fait pour son bonheur !

     

    A New-York il trouva aussi

    un excellent terrain de chasse

    dans les quartiers de basses classe

    Corona n’eut pas de sursis !

     

    Le Queens le mit en appétit

    là où des familles s’entassent

    sur des vieux lits ou des paillasses

    c’était pour lui du pain béni !

     

    Il infecta allègrement

    bien d’autres pays dans le monde

    peu de points sur la mappemonde

    échappèrent à ce dément !

     

    Et ce fut aux gouvernements

    de juguler la vagabonde

    infernale et maudite ronde :

    un exercice embarrassant.

     

    Devant le péril grandissant

    les oppositions intestines

    mirent prudemment en sourdine

    leurs habituels dénigrements.

     

    Leurs états-majors très prudents

    pratiquaient une discipline :

    pas d’allégations assassines

    on verra ça au bon moment !

     

                     Péroraison :

    Si le covid me fout la paix

    s’il traîne plus loin ses savates

    et s’il ne me fait pas aux pattes

    je reviendrai sur le sujet.

     

    Quand ? Là le mystère est épais

    la conjoncture est délicate

    n’ayant pas le choix dans la date

    je me dois d’être circonspect.

     

    Le plus vite sera le mieux

    car le confinement détraque

    certains se retrouvent patraques

    sans avoir croisé le vicieux !

     

    Il est grandement pernicieux

    d’être enfermé dans des baraques

    ou des palais paradisiaques

    peu importe l’endroit du lieu !

     

                 Mais, gardons espoir…

     

    Espérons qu’il ne vire pas

    tout comme la poule qui mue

    cette chose s’est déjà vue

    alors là bonjour les dégâts !

     

    Incertitude et gros tracas

    c’est la vérité toute nue

    on ne peut naviguer qu’à vue

    dans un pareil coup de tabac !

      

                                                         Pierre Dupuis

     

     

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     

     


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  •  

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

    Aujourd'hui, il y en a trois car ils sont très courts

    et vous avez le temps ... confinement oblige !

     

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

            C’est un rébus très court et totalement de circonstance ! ( J'ai bien connu une Constance qui utilisait de la cire d'abeilles pour astiquer ses vieux meubles en chêne mais ... vous n'en avez peut-être rien à cirer après tout ?

     

    1ère ligne, 3ème image : Ce n'est pas grand chose mais un  - - -  c'est un  - - - ... et 5  c'est 5  fois plus !

    2ème ligne, 2ème image et en direct : " che " ! ( les autres aussi ! )

    6ème ligne, 3ème image: petite, la sale bête est lente !

     

    Et pis c'est tout !

     

     Allez, au boulot ! Si vous ne trouvez pas, vous allez vous les faire sonner ! 

     

    Réponse :

    Pâques sous cloche, les traditions s’effilochent, pas de chasse aux œufs pour les mioches ! 

     

     

     

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    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

    C'est un rébus court et plutôt sérieux même si il y a un petit jeu de mot !

     

     

    Allez, au boulot brav' gens ! ...

    Vous avez peu de pain sur la planche et vous n'allez quand même  pas laisser trop de miettes à vos concurrents !

     

    Réponse :

     

    Ne peut-on pas dire d’un boulanger dont les affaires marchent très bien depuis de nombreuses années, qu’il a quignon sur rue ?

     

     

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    Le troisième en bonus et sans aide  pour  les accros !

       C'est un rébus court et tranché ... mais qui n'a rien à voir avec le précédent !

     

    Juste un petit indice : 11ème ligne, 2ème image : Ce n'est pas " eau " mais " on " ... je n'ai pas le temps de corriger: la chasse aux œufs m'attend !

    Allez, au boulot ! Il est assez sauvage mais plein de bon sens ! 

     

    Réponse :

    Mieux vaut s’occuper de son cul que de celui des autres : il a déjà assez de boulot comme cela surtout si l’on a des hémorroïdes !

     

    Nota : Je vous avais bien prévenu qu'il était un tantinet sauvage !

     

     

     

     

     

     


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Charles Aznavour »

    « Je bois »

     

    La remarque :

    Une cuvée … très acide !

    Pas la plus connue des chansons d'Aznavour !

     

     

    Je bois

     

    Je bois pour oublier mes années d´infortune
    Et cette vie commune
    Avec toi mais si seul
    Je bois pour me donner l´illusion que j´existe
    Puisque trop égoïste
    Pour me péter la gueule

    Et je lève mon verre à nos cœurs en faillite
    Nos illusions détruites
    A ma fuite en avant
    Et je trinque à l´enfer qui dans mon foie s´impose
    En bouquet de cirrhose
    Que j´arrose en buvant

    Je bois au jour le jour à tes fautes, à mes fautes
    Au temps que côte à côte
    Il nous faut vivre encore
    Je bois à nos amours ambiguës, diaboliques
    Souvent tragi-comiques
    Nos silences de mort

    A notre union ratées, mesquine et pitoyable
    A ton corps insatiable
    Roulant de lit en lit
    A ce serment, prêté la main sur l´Evangile
    A ton ventre stérile
    Qui n´eut jamais de fruit

    Je bois pour échapper à ma vie insipide
    Je bois jusqu´au suicide
    Le dégoût la torpeur
    Je bois pour m´enivrer et vomir mes principes
    Libérant de mes tripes
    Ce que j´ai sur le cœur

    Au bonheur avorté, à moi et mes complexes
    A toi, tout feu, tout sexe
    A tes nombreux amants
    A ma peau boursouflée, striée de couperose
    Et à la ménopause
    Qui te guette au tournant

    Je bois aux lois bénies de la vie conjugale
    Qui de peur de scandale
    Poussent à faire semblant
    Je bois jusqu´à la lie aux étreintes sommaires
    Aux putes exemplaires
    Aux froids accouplements

    Au meilleur de la vie qui par lambeaux nous quitte
    A cette cellulite
    Dont ton corps se rempare
    Au devoir accompli comme deux automates
    Aux ennuis de prostate
    Que j´aurais tôt ou tard

    Je bois à en crever et peu à peu j´en crève
    Comme ont crevé mes rêves
    Quand l´amour m´a trahi
    Je bois à m´en damner le foie comme une éponge
    Car le mal qui me ronge
    Est le mal de l´oubli

    Je m´enivre surtout pour mieux noyer ma peine
    Et conjurer la haine
    Dont nous sommes la proie
    Et le bois comme un trou qu´est en tout point semblable
    A celui que le diable
    Te fait creuser pour moi

    Je bois mon Dieu, je bois
    Un peu par habitude
    Beaucoup de solitude
    Et pour t´oublier toi
    Et pour t´emmerder toi
    Je bois, je bois

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier

     


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  • Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )

    Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?

    Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.

    C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.

    Boileau ( préface des « Œuvres » )

    Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

    Et pis c’est tout !

    Rotpier

     

    Statue dans mon jardin !

    Si tout n’est pas bon,

    ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !

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    Les 4 premières sont  spécial coronavirus COVID 19 : on ne va quand même pas se laisser glisser vers la sinistrose … non ?

     

    1ère   Rotpierrerie :

    Le combat du Covid-19 contre le monde entier pourrait s’intituler : « Le combat de Covid contre Goliath ». A partir de cette constatation, il ne nous reste plus qu’à espérer que l’issue soit inversée.   

      

    2ème   Rotpierrerie :

    Au sujet du Covid-19 et au jour d’aujourd’hui ( en tenant compte de toutes les informations disponibles ) toute projection dans l’avenir relève de la plus grande improvisation. Toutes les marches-arrière que nous voyons quotidiennement renforcent ce jugement.

    Je me permets de faire un raccourci abrupt : « Vu qu’on ne sait pas grand chose, on ferme sa gueule ! »

    … Pour plagier un peu le grand Coluche bien sûr :

    « Moi je dis que quand un journaliste il n’en sait pas plus que ça, il devrait être autorisé à fermer sa gueule ! »

      

    3ème   Rotpierrerie :

    Pétard de pétard ! Il n’y a plus de pétards qui circulent sur le marché ou bien très peu, cela va faire du pétard tôt ou tard !

      

    4ème   Rotpierrerie ( Issue de la troisième ) :

    Si l’on ne relance pas l’économie souterraine de la drogue par des subventions conséquentes, à la mesure des pertes enregistrées, cela va tourner au vilain et le Karcher n’y pourra rien !

     

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    5ème   Rotpierrerie (un tant soit peu mathématique) :

    Quand on est élève, il faut faire ses devoirs. Se soustraire à l’obligation de travailler sur les additions et les soustractions conduit à la multiplication des mises en garde du maître ou de la maîtresse et à une profonde division de la relation enseigné-enseignant. Cette équation étant posée, reste l’inconnue principale et hélas variable : le degré d’implication des parents dans le système.

     

    5ème   Rotpierrerie :

    Être curieux de tout n’est pas un défaut mais une grande qualité. A condition bien sûr que cette curiosité ne relève pas du type de celle des concierges.  

     

     

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    Épicétou !

     Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

     

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  • Allez, en ces temps de confinement et pour vous sortir un peu la tête du fond du sac, je vais vous parler d'amour ... le vrai, le grand, le beau.

    Remarque :

     Sac et ressac : n’est-ce point une belle image de l’acte d’amour ?

     

    J'espère que vous n’aurez pas trop de vague à l'âme ...

     

     

    Photo de Jean-François Simon

     

    Côte d’amour,

     

    C’est la mer qui courtise

    les éperons rocheux

    ou bien eux qui la grise

    la pénétrant un peu ?

     

    D’éperons en calanques

    résonnent leurs amours :

    ils ne sont pas en manque

    de câlins, de mamours !

     

    Si la houle s’en mêle,

    on retrouve alentours,

    l’odeur forte et charnelle

    de l’écume du jour !

     

    Dans un élan pudique,

    le ciel, son vieil ami,

    voile plages et criques

    pour leurs ébats promis.

     

    Peut-être que la lune

    viendra pour un clin d’œil,

    sans intention aucune

    de dresser des écueils !

     

    C’est la mer qui courtise

    les éperons rocheux,

    ou bien eux qui la grise

    la pénétrant un peu ?

     

                             

                                            Pierre Dupuis

     


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  •  

    Réponses pour les rébus :

    Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

     Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

    Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir ! 

     

    .

     


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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

    rebus-403-1rebus-403-2

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est une pensée sérieuse de Pierre.

     

    3ème ligne,  2ème image : lieu où sont enfermées des animaux sauvages ! 2ème image : 2 personnages par " - - - - " et il y en a 4 ! 

    4ème ligne, dernière image un diagramme de ce que les oreilles perçoivent ! 

    5ème ligne, 1ère image : elle ne tourne pas toujours bien rond !   

    7ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus ! 2ème image, en direct "U" ...cocote ou pas !

    8ème ligne, 2ème image : la moitié du surnom du volatile ! 3ème image, en direct "ti " ... oui mes titis !

     

    Et pis c'est tout !

     

    ... Ne rêvez pas trop, il y a quand même du boulot même s'il est très court ! 

     

     Réponse :

    Quand l’utopie n’est pas au rendez-vous les rêves sont ternes et fades et ne servent qu’à ruminer le quotidien.

     

     

     

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    Le second en bonus et sans aide  pour  les accros !

    C'est un rébus court et c'est un adage sérieux de Pierre. Il part d'une anagramme et c'est un conseil que l'on peut donner aux jeunes dans bien des domaines ou bien des dolmens si l'on est chez les bretons !

     

     

     

    Allez, au boulot brav' gens ! ... N'hésitez pas à montrer que vous avez du   - - - - -       comme Achille !  


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  • Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Jacques Igelin »

    « Champagne »

     

     

    …  A la vôtre et sans modération: on ne conduit plus ! ...

    ... A la mort du Covid-19 !

    ... Continuons à jouer au con finement

     

    ... tout du moins, essayons !

     

     

     

     

    Champagne

     

     
    La nuit promet d'être belle
    Car voici qu'au fond du ciel
    Apparaît la lune rousse
    Saisi d'une sainte frousse
    Tout le commun des mortels
    Croit voir le diable à ses trousses
    Valets volages et vulgaires
    Ouvrez mon sarcophage
    Et vous pages pervers
    Courrez au cimetière
    Prévenez de ma part
    Mes amis nécrophages
    Que ce soir nous sommes attendus dans les marécages
    Voici mon message
    Cauchemars, fantômes et squelettes
    Laissez flotter vos idées noires
    Près de la mare aux oubliettes
    Tenue du suaire obligatoire
    Lutins, lucioles, feux-follets
    Elfes, faunes et farfadets
    S'effraient d'mes grands carnassiers
    Une muse un peu dodue
    Me dit d'un air entendu
    "Vous auriez pu vous raser"
    Comme je lui fais remarquer
    Deux, trois pendus attablés
    Qui sont venus sans cravate
    Haha, il va m'appeler
    Elle me lance un œil hagard
    Et vomit sans crier gare
    Quelques vipères écarlates
    Vampires éblouis
    Par de lubriques vestales
    Egéries insatiables
    Chevauchant des Walkyries
    Infernales appétits de frénésies bacchanales
    Qui charment nos âmes envahies par la mélancolie
    Envoi
    Satyres joufflus, boucs émissaires
    Gargouilles émues, fières gorgones
    Laissez ma couronne aux sorcières
    Et mes chimères à la licorne
    Soudain les arbres frissonnent
    Car Lucifer en personne
    Fait une courte apparition
    L'air tellement accablé
    Qu'on lui donnerait volontiers
    Le bon Dieu sans confession
    S'il ne laissait malicieux
    Courir le bout de sa queue
    Devant ses yeux maléfiques
    Et ne se dressait d'un bond
    Dans un concert de jurons
    Disant d'un ton pathétique
    Que les damnés obscènes cyniques et corrompus
    Fassent griefs de leur peine à ceux qu'ils ont élus
    Car devant tant de problèmes
    Et de malentendus
    Les dieux et les diables en sont venus à douter d'eux-mêmes
    De dédain suprême
    Mais déjà le ciel blanchit
    Esprits je vous remercie
    De m'avoir si bien reçu
    Cocher lugubre et bossu, déposez-moi au manoir
    Et lâchez ce crucifix
    Décrochez-moi ces gousses d'ail
    Qui déshonorent mon portail
    Et me chercher sans retard
    L'ami qui soigne et guérit
    La folie qui m'accompagne
    Et jamais ne m'a trahi
    Champagne
     
    Source : LyricFind
    Paroliers : Jacques Higelin

     

    Bon partage !

     

     

    Rotpier


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