-
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
.
Quelques conneries en vrac :
1ère Connerie :
J’ai réussi à percer un mystère mais maintenant je suis très emmerdé : il fuit ! Quelle connerie la curiosité !
2ème Connerie :
Quand il a pris connaissance du tarif de la belle de nuit, il s’est gratté l’occiput !
3éme Connerie :
A boire du rhum à gogo, on finit par l’avoir dans le baba !
4éme Connerie + contrepet :
Ne pas confondre Vladimir Poutine et Vladimir T - - - - - e!
Mais on peut dire : V’ la dix mires T - - - - - e …. si l’on est dans un lupanar ! ( Pierre s’excuse, le Rotpier … non ! )
Dernière Connerie :
J’ai bien connu une hôtesse de l’air allemande (une ancienne d’Allemagne de l’est) qui s’appelait Tanza. Elle s’envoyait en l’air avec le premier venu : elle était complètement louf Tanza !
Pour terminer, la petite pensée du matin cueillie à la rosée :
Le fait de pouvoir porter un masque légitimement avantage une communauté notable : celle des gens qui avancent masqués. J’ai nommé la communauté des faux-culs. Ne voyez pas en moi un quelconque esprit de communautarisme mais simplement un esprit d’observation.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
1 commentaire -
Un peu à cause de cela:
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_l%27Allemagne
Vous savez, moi ,quand ça fait tilt, ça fait tilt !
Et, pour faire un peu écho à la chanson de samedi ... alors lisez ... si ça vous dit !
Les photos sont du net !
Sonnet premier :
Mais que font les Lily Marlène ?
Elle n’avait pas eu d’enfant,
une situation choisie,
elle voulait vivre sa vie
sans entrave et très librement.
Elle avait pris quelques amants
pour satisfaire ses envies,
juste des pulsions assouvies
mais pas d’homme à elle vraiment.
A l’aube de la cinquantaine
elle n’était plus si certaine
d’avoir choisi le bon chemin.
Alors les deux mains sur la tête,
dans son grand studio de Berlin,
elle pleurait : c’était trop bête.
Sonnet second :
Pour ne pas aller dans le mur,
Beaucoup de femmes allemandes
des Gretchen, Marlène ou Eva
quand l’âge avance se demandent :
« Comment en suis-je arrivée là ? »
.
Ni contrainte ni propagande
pour pousser à ce résultat,
de l’égoïsme en opérande ?
Une grosse erreur de l’état ?
Mais peu importe la réponse,
peu à peu la nation s’enfonce
dans l’ère des gens plus que mûrs.
A moins d’un sursaut teutonique,
Berlin ira droit dans le mur :
fin du grand rêve germanique !
Péroraison :
Allez teutons, allez teutonnes
si vous voulez des autochtones
il faut vous remettre au boulot,
il faut refaire des marmots !
L’heure n’est plus à l’égoïsme
mais bel et bien à l’altruisme :
pas de relève à l’horizon
suffisante pour la nation.
Allez Lily, allez Marlène
beaucoup de joie, un peu de peine,
il faut refaire des teutons
au grand jour ou bien à tâtons !
Votre pays a pris conscience
de l’importante déficience
au plan de la natalité :
il prône la maternité !
Mettez de coté la pilule,
laissez tomber tous les scrupules :
trouvez de consentants papas
qui cèderont à vos appas !
A défaut de compatriotes
sans trop de fibre patriote
vous pouvez tout à fait compter
sur les jeunes gens d’à coté !
.
Il y a hors de vos frontières
qui n’ont plus guère de barrières
des hommes prêts à vous aimer
et à vous faire des bébés !
Remettez au travail vos ventres,
il me plairait d’être le chantre,
du renouveau le laudateur,
allez soyez à la hauteur !
Pas de conseils à sens unique,
des Karl, des Franz et des Ulrich
peuvent suivre le mouvement
et trouver de belles mamans !
Mais… Oh ! Bonjour Fräulein Marlène…
Vous souriez à mes poèmes
… on dirait même, on dirait même
que vous avez anticipé :
votre ventre semble occupé !
A mon âge on peut se permettre
sans risque de se compromettre
un langage très familier
tant qu’il n’est pas trop cavalier !
Alors bravo Fräulein Marlène
pour le beau rond de ta bedaine :
tu as choisi la bonne option
pour toi-même et pour ta nation !
Je m’accorde le privilège
du tutoiement qui désagrège
bien des murs et des sortilèges
et qu’Artémise te protège !
Pardonne-moi pour mon sans-gêne
je ne crois pas que ça te gène,
sans rancune et à la prochaine
aufwiedersehen fräulein Marlène !
Aufwiedersehen, aufwiedersehen…
Pierre Dupuis
Et si après cela, l’Allemagne ne me décore pas de la médaille de la natalité, où va-t-on chez les teutons ?
5 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus sonnant et odorant du Rotpier ... bon appétit !
5ème ligne, 2ème image : c'étai le moment des " - - - - - " ... un peu mon n' veu ! Dernière image : un " - - - " de sable ou d'autre chose !
6ème ligne, 2ème image : des lingots d ' " - - " !
7ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours " s " ( l'autre aussi, y pas d' raison mon colon ! )
8ème ligne, 3ème image : il ne faut pas le perdre !
9ème ligne, 3ème image : " - - - " est ce personnage ?
11ème ligne, dernière image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas trot long et il aurait bien moins sonné avec " gas-oil " !
Réponse :
Quand il buvait, il appelait ça « faire le plein ». Il devenait alors si obscène que l’on aurait juré qu’il avait fait le plein d’indécence !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez salé et mieux vaut ne pas l'avoir au bout de la langue !
Allez, au boulot brav' gens !
J'avoue qu'il est costaud, mais je suis certain que cela va vous démanger au plus haut point de le résoudre
Réponse :
Ne pourrait-on pas qualifier un herpès, un gros, un très gros, qu’il soit situé n’importe où, d’herpès zénithal ? C’est une extrapolation qui peut en boucher un coin à certains ou à certaines, ne pensez-vous pas ?
6 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Patricia Kaas »
« D’Allemagne »
… Une petite préparation aux poèmes
de mardi prochain …
D'Allemagne,
D'Allemagne où j'écoute la pluie en vacances
D'Allemagne où j'entends le rock en silence
D'Allemagne où j'ai des souvenirs d'en face
Où j'ai des souvenirs d'enfance
Lénine Place et Anatole FranceD'Allemagne l'histoire passée est une injure
D'Allemagne l'avenir est une aventure
D'Allemagne je connais les sens interdits
Je sais où dorment les fusils
Je sais où s'arrête l'indulgenceAuf wiedersehen Lili Marlène
Reparlez-moi des roses de Göttingen
Qui m'accompagnent dans l'autre Allemagne
A l'heure où colombes et vautours s'éloignent
De quel côté du mur la frontière vous rassureD'Allemagne
J'ai des histoires d'amour sincères
Je plane sur des musiques d'Apollinaire
D'Allemagne
Le romantisme est plus violent
Les violons jouent toujours plus lent
Les valses viennoises ordinairesIch habe eine kleine wild Blume
Eine Pflanze die zwischen den Wolken blühte
D'Allemagne
J'ai une petite fleur dans l'coeur
Qui est comme l'idée du bonheur
Qui va grandir comme un arbreAuf wiedersehen Lili Marlène
Reparlez-moi des roses de GöttingenBon partage !
Rotpier
7 commentaires -
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
.
1ère Pensée encadrée ( que ceux qui ne peuvent pas m’encadrer s’abstiennent !) :
2ème Pensée qui est une interrogation :
A force d’utiliser les gels hydro alcooliques, n’allons-nous pas tomber dans l’addiction et être obligés de suivre des cures de désintoxication qui coûteraient cher à la Sécurité Sociale et conduiraient à une addiction très salée ?
3éme Pensée : C’est une petite histoire, pas très convenable je le reconnais, qui m’a été contée … et l’on joue avec les anagrammes ( il y en a cinq ! )
Des conteurs m’ont affranchi d’une histoire de curetons qui se coursent et qui un jour se suceront ! Grand bien leur fasse dès lors qu’ils laissent les gamins tranquilles ! Buvons à leur santé et éructons gaiement !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
6 commentaires -
Allez, un petit coup de chaud dans le métro
en attendant de pouvoir recirculer normalement !
Mais ...
à proscrire absolument par les temps qui courent !
... Et aussi une mise en garde
pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !
Image bidouillée par Rotpier !Coup de chaud dans le métro,
Il avait pris un coup de chaud
en détaillant ses hémisphères,
paire du bas, paire du haut :
véritables calorifères !
C’est par le plus grand des hasards,
sur un escalier mécanique,
qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -
celles du bas au galbe unique !
Il les avait au ras des yeux :
elle avait trois marches d’avance !
Un panorama merveilleux
qui supplantait Saint-Paul de Vence !
Quand tout en haut de l’escalier,
elle reprit sa marche souple,
le mouvement de balancier
lui coupa carrément le souffle !
Il calcula rapidement
que pour rester en équilibre,
il fallait bien que sur l’avant
ce soit aussi du beau calibre !
Alors il lui fila le train
- celui arrière à l’évidence ! -
en retenant très fort ses mains
qui voulaient entrer dans la danse !
A peine arrivés sur le quai,
la rame se pointa bondée :
il se retrouva tout plaqué,
les yeux sur la belle avancée !
Les deux hémisphères du haut
étaient aussi très remarquables :
la nana avait des lolos
qui poussaient à se mettre à table !
Libres de tout harnachement
ils tressautaient tout à leur guise,
à chaque à-coup très franchement,
usant le pull de la marquise !
La marquise qui remarqua
cette expertise licencieuse,
banda ses forces et lui cloqua
son beau genou dans les précieuses !
Le coup de chaud se transforma
dans la seconde en incendie,
en douleur de très grand format
et en coup de tachycardie !
Elle lui dit en souriant :
« N’en fais pas une maladie,
ça passera avec le temps :
prends ça avec philosophie !
Mon mec est bien plus beau que toi
et si je balance mes fesses,
si mes nénés font contrepoids,
c’est pour que je sois sa déesse ! "
Moralité :
A moins d’avoir des droits dessus,
ne vas pas trop lorgner les filles :
un petit coup d’œil et pas plus
ou gare aux bijoux de famille !
Rotpier
5 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus sonnant et odorant du Rotpier ... bon appétit !
1ère ligne, 1ère image : le personnage a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
5ème ligne, 2ème image : pantalons en Denim, il faut bien scinder les deux sons, le second s'enchaînant à l'image suivante ! 4ème image : petite, la sale bête est lente !
6ème ligne, 1ère image : les rouges sont en voie de disparition ( pas les communistes ... encore que ... ) Dernière image : " - - -" est un python et il est l'ami de Mowgli ! ( les autres aussi ! )
8ème ligne, 1ère image : 0,3 KM/h, c'est très " - - - - " !
9ème ligne, 1ère image : celle-ci est ferroviaire ! 3ème image : du charbon brut !
10ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ... quand c'est autre chose on ne sais pas ! Dernière image : le serpent fait toujours "s" !
11ème ligne, 1ère image : en direct "ti" ... oui mes titis!
14ème ligne, 4ème image : le sein bol de la " - - - - " !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas trot long et il résonne bien je pense !
J'espère que l'Académie française va retenir cette proposition, qui semble quand même éminente !
Réponse :
Tout bien pesé et dans le cadre de la néologie ne pourrait-on pas qualifier un mélange de gargouillements intestinaux accompagné d’une sarabande de pets de cacaphonie ?
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus à connotation comparative !
Allez, au boulot brav' gens !
Et n'oublions pas que, comme disait Einstein à son coiffeur : " Tout est relatif ! "
Réponse :
Personne n’est parfait, c’est évident. Mais, comparé à certains nous pouvons nous délivrer un certificat de bonne conduite, surtout si l’on prend pour étalon Emile Louis ou Michel Fourniret !
8 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Vesoul»
« Jacques Brel »
… L’incontournable grand Jacques
et ensuite un bonus de taille !
Vesoul
T'as voulu voir Vierzon, et on a vu Vierzon
T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul
T'as voulu voir Honfleur, et on a vu HonfleurT'as voulu voir Hambourg, et on a vu Hambourg
J'ai voulu voir Anvers, on a revu Hambourg
J'ai voulu voir ta sœur, et on a vu ta mère
Comme toujoursT'as plus aimé Vierzon, on a quitté Vierzon
T'as plus aimé Vesoul, on a quitté Vesoul
T'as plus aimé Honfleur, on a quitté Honfleur
T'as plus aimé Hambourg, on a quitté Hambourg
T'as voulu voir Anvers, on n'a vu qu'ses faubourgs
T'as plus aimé ta mère, on a quitté ta sœur
Comme toujoursMais je te le dis, je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens, j'irai pas à Paris
D'ailleurs, j'ai horreur de tous les flonflons
De la valse musette et de l'accordéonT'as voulu voir Paris, et on a vu Paris
T'as voulu voir Dutronc, et on a vu Dutronc
J'ai voulu voir ta sœur, j'ai vu le Mont Valérien
T'as voulu voir Hortense, elle était dans le Cantal
J'ai voulu voir Byzance, et on a vu Pigalle
À la gare Saint-Lazare, j'ai vu les Fleurs du Mal
Par hasardT'as plus aimé Paris, on a quitté Paris
T'as plus aimé Dutronc, on a quitté Dutronc
Maintenant j'confonds ta sœur et le Mont Valérien
De c'que je sais d'Hortense, j'irai plus dans le Cantal
Et tant pis pour Byzance, puisque j'ai vu Pigalle
Et la gare Saint-Lazare, c'est cher et ça fait mal
Au hasardMais je te le redis (chauffe, chauffe) je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens (kaï, kaï, kaï) le voyage est fini
D'ailleurs, j'ai horreur de ce jazz manouche
De la valse musette et des bateaux-mouchesT'as voulu voir Vierzon, et on a vu Vierzon
T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul
T'as voulu voir Honfleur, et on a vu Honfleur
T'as voulu voir Hambourg, et on a vu Hambourg
J'ai voulu voir Anvers, et on a revu Hambourg
J'ai voulu voir ta sœur, et on a vu ta mère
Comme toujoursT'as plus aimé Vierzon, on a quitté Vierzon (chauffe)
T'as plus aimé Vesoul, on a quitté Vesoul
T'as plus aimé Honfleur, on a quitté Honfleur
T'as plus aimé Hambourg, on a quitté Hambourg
T'as voulu voir Anvers, on n'a vu qu'ses faubourgs
T'as plus aimé ta mère, on a quitté ta sœur
Comme toujours (chauffez les gars)Mais je te le dis, je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens, j'irai pas à Paris
D'ailleurs, j'ai horreur de tous les flonflons
De la valse musette et puis de l'accordéonT'as voulu voir Paris, et on a vu Paris
T'as voulu voir Dutronc, et on a vu Dutronc
J'ai voulu voir ta sœur, j'ai vu le Mont Valérien
T'as voulu voir Hortense, elle était dans le Cantal
J'ai voulu voir Byzance, et on a vu Pigalle
À la gare Saint-Lazare, j'ai vu les Fleurs du Mal
Par hasardT'as plus aimé Paris, on a quitté Paris
T'as plus aimé Dutronc, on a quitté Dutronc
Maintenant j'confonds ta sœur et le Mont Valérien
De ce que j'sais d'Hortense, j'irai plus dans le Cantal
Et tant pis pour Byzance, puisque j'ai vu Pigalle
Et la gare Saint-Lazare, c'est cher et ça fait mal
Au hasardxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
+ Le bonus promis :
Pas mal non ?
Bon partage !
Rotpier
6 commentaires -
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
.
On commence par les sérieuses… avec quelques nuances bien sûr car :
« Car nous voulons la Nuance encor,
Pas la Couleur, rien que la nuance !
Oh ! la nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor ! »Questions :
Quel poète, quel poème ?
Deux questions subsidiaires
Qui viennent s’immiscer, altières,
Incongrues et bohêmes.
Ceux qui trouvent gagnent le droit de lire la suite de ce billet, il est vrai un peu moins poétique et beaucoup plus élastique !
1ère Pensée :
Au Moyen-Orient, au niveau des plaies profondes qui divisent les pays, untel soigne, untel avive. Benyamin Netanyahou fait partie des derniers.
2ème Pensée :
A moins d’être stupide et borné, on ne peut pas être à 100% pro-déconfinement ou pro-confinement. Ces positions relèvent de la connerie pure et simple ou de l’extrémisme.
3éme Pensée :
Savez-vous que l’anagramme de « chauve-souris » est « souche à virus » ? Surprenant non ?
4éme Pensée :
Une pieuvre peut avoir trois amoureux sans être volage puisqu’elle a trois cœurs ! Surprenant aussi non ?
5éme Pensée :
Il y avait le nettoyage par le vide, maintenant, dans les EHPAD, il y a le nettoyage par le covid ! ( Oh ! le vilain ! )
Deux moins sérieuses :
6éme Pensée :
Ne pourrait-on pas comparer les dernières résistances d’une jeune-fille avant d’être déflorée à une guerre de tranchée ? Poilant non ? ... ça vous en bouche un coin hein !
7éme Pensée :
Vendredi 1er mai, dans le bois de Chaville, il y aura plus de poulets que de muguet … et pas qu’un brin !
Allez, on termine en chanson :
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
4 commentaires -
Le poète est un funambule ... mais il ne travaille pas sans fil ... conducteur !
Image du net
Travail sans filet… mais très dérivant,
J’ai connu un poète gay,
ses rimes étaient monotones
peu profondes et très atones,
on pouvait les passer à gué !
Elles terminaient en « filé »
ou bien en « manche » ou bien en « cule »,
sans évoquer les renoncules,
pas plus que la pêche au filet !
J’ai cessé de le fréquenter
dès lors qu’il m’a fait ses yeux tendres,
je me suis enfui sans attendre :
pas question de le contenter !
Si je suis très large d’esprit,
ailleurs je refuse de l’être,
je ne veux pas me laisser mettre
… même si l’on m’offre un bon prix !
Je ne veux pas d’un avenir
du genre Sodome et Gomorrhe,
je ne suis pas un matamore,
je vous somme d’en convenir !
Péroraison rimant avec raison…
Je vous sens assez offusqués,
je ne veux plus que ça dérape
j’arrête là, je me rattrape :
je boycotte la rue du quai !
Mais …
J’ai plus d’une corde à mon arc,
ne me collez pas d’étiquette
j’écris aussi quelques bluettes
que je récite dans les parcs !
Mais de nos jours les amoureux
n’aiment plus guère les poèmes,
ils ne déclarent leurs « Je t’aime ! »
que sur Facebook … les malheureux !
Nous n’avions point besoin d’écran
pour bien maîtriser le tactile
surtout en dessous du textile
… c’était autrement enivrant !
Et nul besoin de logiciel,
ni de satanés de mots de passe,
il n’y avait guère d’impasse
pour aller au septième ciel !
Rien à faire d’applications
pour connaître la marche à suivre,
ni de valider pour poursuivre :
tout se passait à l’intuition !
Bien sûr on finissait à plat
un peu comme les batteries,
c’était la seule analogie
… vous souriez ? … c’est déjà ça !
Mais tout cela c’est du passé,
plus je vieillis, plus je radote,
je me sauve, je m’escamote,
pour éviter de ressasser !
Sans être par trop dépassé
dans mon check-up des points clignotent,
ça sent l’argus et la décote :
j’approche du vieux con cassé !
Rotpier
3 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
votre commentaire -
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus plutôt court et qui utilise un raccourci pour une profession ou une qualité en général ! Il y a aussi une astuce, somme toute pas si facile que cela à déchiffrer que cela ! Votre sagacité va être mise à l'épreuve par 9 !
5ème ligne, 3ème image : partie d'un arbre cher à Shakespeare : " - - - - " ou ne pas " - - - - !
6ème ligne, 3ème image : la moitié du surnom du volatile !
8ème ligne, 3ème image : la moitié du nom du personnage !
10ème ligne, avant dernière image : la moitié de ce qu regarde ce sacripant de Titeuf ! Dernière image : le serpent fait toujours " s ", c'est sa manie !
Et pis c'est tout !
Au boulot , vous pouvez le faire assis ou allongé sur votre canapé en grignotant ou pas des petits canapés salés ou sucrés !
Réponse :
On l’est ou on l’est pas, c’est tout ou rien : on ne peut pas être psy qu’aux pattes ! Encore que pour certains un sérieux doute puisse exister !
Nota: L'astuce étant : " psy qu’aux pattes ! " et non Psychopathe ... ça fait peur ... non ?
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez long et très sérieux.
Allez, au boulot brav' gens ! Et ... essayons de ne pas tomber trop dans ce piège ! Il faut essayer de ne jamais dire de mal de notre saloperie de voisin !
Réponse :
Supposons d’ôter tous les chapitres liés à la critique en général, que resterait-il de la conversation d’une grande majorité des gens ? Que dalle ! Et, nous ne serions pas forcément hors du lot !
Nota: c'était du sérieux, j'avais prévenu !
5 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
"Richard Cocciante"
« Au clair de tes silences »
Pour écrire d'aussi belles chansons, je pense qu'il a un Cocciante intellectuel
au dessus de la moyenne
... qu'en pensez-vous?
Au clair de tes silences,
Au clair de ses grands yeux
Je n'irais plus dormir
Au clair de ses grands yeux
Je n'irais plus mourir
Au clair de ses matins
Où dorment ses soleils
Au clair de mon chagrin
S'envole l'hirondelle
Au clair de ses histoires
Je n'existerai plus
Au clair de sa mémoire
Un jour je me suis perduMais ce qu'elle ne sait pas
C'est que je l'aime encore
Mais ce qu'elle n'entends pas
C'est que je l'aime fort
Au clair de ses silences
J'ai brisé mon amour
Comme des vagues blanches
Sur des rochers trop lourds
Comme un oiseau blessé
Qui a brisé ses ailes
Je voudrais m'arrêter
Et éteindre le ciel
Je voudrais m'allonger
Et tuer le soleilAu clair des jours qui passent
Le temps pose ses heures
Et son sourire s'efface
Et j'ai le cœur qui pleure
Aujourd'hui, je suis mort
Parce qu'elle, elle vie encore
Sans moi et qu'elle m'oublie
Au clair de chaque nuit
Et je la hais d'amour
Au plus profond de moi
Et je l'aime toujours
Mais elle ne revient pasBon partage !
Rotpier
6 commentaires -
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
.
Et si on jouait un peu avec les anagrammes : à vous de les dénicher et de reprendre en chœur : « Dénichons, dénichons, dénichons ! »
-
Il aimait le vélo : appuyer sur le pédalier n’était pas pour lui déplaire.
-
C’est marrant une luciole posée la nuit sur une - - - - - - - ! (là, je vous laisse développer ! )
-
Le petit vieux avait souvent la verge en grève !
-
Les sénateurs sont souvent des grands amateurs de sauternes !
-
Cette prostituée, véritable tripoteuse, était capable de jolies pirouettes ! ( 3 )
-
S’il reste très longtemps en poste, Gérald Darmanin deviendra-t-il un véritable mandarin des finances ?
-
Cette demi-mondaine avait plus d’une corde à son arc : elle était à la fois tapineuse et patineuse. D’une santé de fer, elle était épuisante pour ses partenaires ! ( 3 + un contrepet interne ! )
-
Avec le confinement, il n’y a pas de relâchement dans le harcèlement.
-
Il maîtrisait parfaitement trois langues mais le soir, sur la lagune, il n’était pas foutu de rouler correctement des patins aux filles. ! A quoi ça sert de faire Erasmus dans de pareilles conditions !
-
Quand on prend un bon coup sur le cigare, on peut rester dans le cirage assez longtemps !
-
Entre bien savoir rouler un patin et faire le tapin, il y a de la marge !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
On termine par une pensée… toujours anagrammesque :
Partant de l’observation que l’anagramme de « génital » est « antigel » ne peut-on pas en conclure que les femmes chaudes ne craignent pas l’hiver ?
Et pis c’est tout pour aujourd’hui !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
7 commentaires -
-
Comme le fil d’un couteau,
ou
La rousse qui aimait les langoustes
Elle était jeune elle était rousse
dotée d’une belle frimousse
sa taille était cambrée et douce
et elle adorait les langoustes !
Il était beau il était mousse
tout jeune pêcheur de langoustes
il ne connaissait pas la frousse
ni l’embarras qui éclabousse !
Une nuit sous la lune rousse
sur un joli tapis de mousse
ils jouèrent à trousse-trousse
et ce fut la grande secousse !
C’était une réelle rousse
une peau tachetée et douce
elle venait à sa rescousse
quand il flanchait et criait : « Pouce ! »
Elle était folle de son mousse
il lui ramenait des langoustes
qui cuisinées au pamplemousse
donnaient du peps pour les secousses !
Leur passion devint aigre-douce
quand elle apprit qu’une autre rousse
l’avait entraîné sur la mousse
sans que pour autant il ne tousse !
Elle détesta les langoustes
lui s’en alla à la cambrousse
d’où venait la traîtresse rousse :
au fil du temps l’amour s’émousse !
Péroraison :
Mais j’en entends au fond qui gloussent
doutant de ma saga des rousses
leur scepticisme m’éclabousse
je préfère mettre les pouces !
Vous ne saurez pas tout des rousses
à moins d’aller mettre une rouste
à ces vilains qui se trémoussent
d’aise en grignotant des mangoustes !
Et tant pis si je les courrouce
je retourne dans ma cambrousse
faucher mes foins et ma jarousse
pour y coucher ma muse rousse !
Ou bien alors …
Ou bien alors je la retrousse
je la retourne et je la trousse
la cramponnant pour qu’elle se vousse
aussi cruel que Barberousse !
Rotpier
7 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
votre commentaire -
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Allez, roulez jeunesse, roulez petits bolides !
1ère ligne, 2ème image : il y en a 4 de 2 personnages !
2ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " et ... pas celui pour les bourricots !
3ème ligne, 1ère image : 0,5 Km/h : c'est très " - - - - " ! 3ème image : il ne faut pas prendre la fille !
4ème ligne,2ème image et en direct: " che " !
7ème ligne, 1ère image : autre nom pour l'arobase ! " - - " choum ! A vos souhaits !
8ème ligne, 2ème image : là, il faut scinder la 1ère lettre et le reste ! ( signé Le Rotpier, un gars qui a du poil aux pattes ... comme le bestiau présenté ! )
10ème ligne, 2ème image : " - - - " est ce personnage ? Dernière image : le serpent fait toujours "s" ... c'est sa manie et non sa Nanie !
Et pis c'est tout !
J'espère bien que ça va rouler pour vous et que vous en bavez d'avance !
Réponse :
Prendre son pied en roulant des galoches relève d’une logique très terre-à-terre et il n’y a que les mauvaises langues qui puissent dire le contraire !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez long et avec toujours un rapport avec l'actualité, mais très fantaisiste !
Allez, au boulot brav' gens ! ... J'espère qu'il va vous faire rigoler : c'est bon pour le moral ... surtout en ce moment !
Réponse :
Mourir du Covid-19 ou d’une chute d’échelle en peignant la girafe, c’est quif-quif bourricot : tu es mort, un point c’est tout. Sauf … sauf que cela fait moins rigoler la girafe et que ce n’est pas bon pour son moral !
8 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Christophe »
« Les mots bleus »
La remarque :
Un hommage à celui qui nous a quitté...
Les Mots bleus
Il est six heures au clocher de l'église
Dans le square les fleurs poétisent
Une fille va sortir de la mairie
Comme chaque soir je l'attends
Elle me sourit
Il faudrait que je lui parle
À tout prixJe lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Parler me semble ridicule
Je m'élance et puis je recule
Devant une phrase inutile
Qui briserait l'instant fragile
D'une rencontre
D'une rencontreJe lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je l'appellerai sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le vent d'hiver souffle en avril
J'aime le silence immobile
D'une rencontre
D'une rencontreIl n'y a plus d'horloge, plus de clocher
Dans le square les arbres sont couchés
Je reviens par le train de nuit
Sur le quai je la vois
Qui me sourit
Il faudra bien qu'elle comprenne
À tout prixJe lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l'on donne
Sont comme les baisers que l'on vole
Il reste une rancœur subtile
Qui gâcherait l'instant fragile
De nos retrouvailles
De nos retrouvaillesJe lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Une histoire d'amour sans paroles
N'a plus besoin du protocole
Et tous les longs discours futiles
Terniraient quelque peu le style
De nos retrouvailles
De nos retrouvaillesJe lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Je lui dirai tous les mots bleus
Tous ceux qui rendent les gens heureux
Tous les mots bleus
Tous les mots bleusBon partage !
Pierre
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Maintenant que vous avez bien l'air en tête,
le bonus de l'affreux Jojo Rotpier :
« Les mots bleus »
de Christophe
qui deviennent :
« Les gros bleus »
de Rotpier
.
Les gros bleus,
Ça fait six heures que je la brutalise
Dans la chambre et pour des bêtises
Cette fille je l’ai conduite à la mairie
Je voudrais lui péter les dents
Elle me sourit
Il faudrait que je parte
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui marquent bien les yeux
Elle sera très ridicule
Je m’élance et je la bouscule
Pas un coup qui soit inutile
J’ai le coup de poing très habile
Et pas de contre
Et pas de contre
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui rendent malheureux
Je la cogn’rais sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le bruit des coups s’entend en ville
Mais je m’en fous c’est ça mon style
Et pas de contre
Et pas de contre
Il n’y a plus d’horloge elle est cassée
Comme les chevets de la chambre à coucher
En lambeaux sa chemise de nuit
Sur le cul je la revois
Qui me maudit
Il faudra bien qu’elle comprenne
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
On ne pourra plus voir ses yeux
Toutes les claques que je donne
Sont de grande classe et de haut vol,
Il me reste une rancœur de bile
Mon estomac est très fragile
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
Fin de l’histoire et des paroles
J’ai pas besoin de protocole
Et de très longs discours futiles
Ce ne serait pas dans mon style
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De préférence sur les yeux
Je lui ferais de très gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
De très gros bleus
De très gros bleus
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
2 commentaires -
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Quelques pensées sur le hasard, qui vont dans le même sens, mais qui sont formulées différemment :
-
Dans la vie, le hasard est un facteur à ne pas négliger. Mais, ne s’en remettre qu’à lui pour avancer est beaucoup trop hasardeux !
-
J’ai connu des personnes, postées sur bord de leur route, le pouce prêt à entrer en action pour le cas où le hasard passerait… elles y sont toujours !
- Version la plus expéditive :
Prends le hasard, botte lui son cul et tu décolles !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Quelques pensées sur l’enseignement : retour vers le passé !
1ère Pensée :
Trouver la frontière entre l’animation et le bordel, voilà tout l’art que doit maîtriser le professeur qui veut enseigner dans un cours vivant. Ce n’est pas facile du tout à obtenir et quand on y parvient, les plus dur reste à faire : s’y maintenir !
2ème Pensée :
Si un élève mérite un zéro, il faut le lui mettre. Mais ensuite, il faut en discuter librement et ouvertement en équipe pédagogique pour bien expliquer à l’élève les raisons de la mise de cette note. Il ne faut en aucun cas qu’il pense qu'il y a conciliabule.
3ème Pensée :
L’enseignement, c’est facile : c’est le principe des vases communicants : le savoir passe de l’enseignant vers l’enseigné.
Un petit bémol quand même : avec certains élèves, on se demande bien où coller l’entonnoir !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Pensées diverses :
-
Que l’on habite dans l’Yonne ou pas, mieux vaut s’appeler Emile Pertuis qu’Emile Louis, même si l’on a tendance à rire jaune !
-
L’anagramme de « brunes » est « burnes » … cela ne compte pas pour des prunes quand même … non ? ( Comme disait Jacques Chirac : ça m’en touche une sans me faire bouger l’autre ! )
-
Petite, elle était très turbulente et sa grand-mère lui disait toujours : « Tu es un vrai garçon manqué et tu finiras mal ! ». Cela avait trotté pendant trente ans dans sa tête pour arriver au résultat suivant : elle venait de se faire opérer et avait demandé à se prénommer Gérard. Maintenant, elle se sentait bien d’être mâle !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
4 commentaires -
-
Toutes les images sont du net et je les ai seulement organisées !
De la chauve-souris à l’homme,
ou
La chaîne de contamination du covid-19,
Il était un méchant virus
arrivé du fond de la chine
et qui avait pour origine
la chauve-souris rhinolophus.
Cette dernière mortibus
c’était transformée en cantine
pour des fourmis très levantines :
un repas digne d’un négus !
Passait par là un pangolin
qui remarqua le beau manège
il aurait été sacrilège
de ne pas en faire un festin.
Un chinois croisant son chemin
se dit voilà pour ma Chimène
un cadeau digne d’une reine :
il le trucida au gourdin !
Entre sa chair à déguster
fine goûteuse et succulente
ses écailles aux vertus soignantes
difficile de résister !
Et le chinois fut infecté
il toussa de façon violente
postillonnant une affolante
giclée de virus activé !
Le covid dix neuf démarra
une progression fulgurante
profitant de la sidérante
mondialisation des états.
L’Europe bientôt dégusta
et connut une déferlante
de malades et de morts lentes
ou rapides selon les cas.
Chaque pays faisait au mieux
selon ses moyens et sa science
tout le monde avait pris conscience
que le mal était insidieux.
Certains s’en remettaient à Dieu
chacun le sien de préférence
il y a de la concurrence
chez ceux qui promettent les cieux !
Se croyant toujours le plus fort
le bouffon-chef de l’Amérique
dans un grand discours rhétorique
déclara que l’on avait tort.
Tort de s’inquiéter sur le sort
du pays c’était chimérique
jusqu’à ce que le vampirique
covid dix neuf sème la mort.
Le fanfaron le fier à bras
fit rapidement marche-arrière
les gens tombaient comme des pierres
et cela dans bien des états.
USA ou pas USA
ne connaissant pas les frontières
le virus à l’âme guerrière
se déplaçait à très grand pas !
Un état avait sa faveur
et c’était l’état de Floride
où riches de fric et de rides
les vieux recherchaient la chaleur.
Il s’abattit avec fureur :
on lui avait lâché la bride
les gens dehors les maisons vides
tout était fait pour son bonheur !
A New-York il trouva aussi
un excellent terrain de chasse
dans les quartiers de basses classe
Corona n’eut pas de sursis !
Le Queens le mit en appétit
là où des familles s’entassent
sur des vieux lits ou des paillasses
c’était pour lui du pain béni !
Il infecta allègrement
bien d’autres pays dans le monde
peu de points sur la mappemonde
échappèrent à ce dément !
Et ce fut aux gouvernements
de juguler la vagabonde
infernale et maudite ronde :
un exercice embarrassant.
Devant le péril grandissant
les oppositions intestines
mirent prudemment en sourdine
leurs habituels dénigrements.
Leurs états-majors très prudents
pratiquaient une discipline :
pas d’allégations assassines
on verra ça au bon moment !
Péroraison :
Si le covid me fout la paix
s’il traîne plus loin ses savates
et s’il ne me fait pas aux pattes
je reviendrai sur le sujet.
Quand ? Là le mystère est épais
la conjoncture est délicate
n’ayant pas le choix dans la date
je me dois d’être circonspect.
Le plus vite sera le mieux
car le confinement détraque
certains se retrouvent patraques
sans avoir croisé le vicieux !
Il est grandement pernicieux
d’être enfermé dans des baraques
ou des palais paradisiaques
peu importe l’endroit du lieu !
Mais, gardons espoir…
Espérons qu’il ne vire pas
tout comme la poule qui mue
cette chose s’est déjà vue
alors là bonjour les dégâts !
Incertitude et gros tracas
c’est la vérité toute nue
on ne peut naviguer qu’à vue
dans un pareil coup de tabac !
Pierre Dupuis
6 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Aujourd'hui, il y en a trois car ils sont très courts
et vous avez le temps ... confinement oblige !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus très court et totalement de circonstance ! ( J'ai bien connu une Constance qui utilisait de la cire d'abeilles pour astiquer ses vieux meubles en chêne mais ... vous n'en avez peut-être rien à cirer après tout ?
1ère ligne, 3ème image : Ce n'est pas grand chose mais un - - - c'est un - - - ... et 5 c'est 5 fois plus !
2ème ligne, 2ème image et en direct : " che " ! ( les autres aussi ! )
6ème ligne, 3ème image: petite, la sale bête est lente !
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot ! Si vous ne trouvez pas, vous allez vous les faire sonner !
Réponse :
Pâques sous cloche, les traditions s’effilochent, pas de chasse aux œufs pour les mioches !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus court et plutôt sérieux même si il y a un petit jeu de mot !
Allez, au boulot brav' gens ! ...
Vous avez peu de pain sur la planche et vous n'allez quand même pas laisser trop de miettes à vos concurrents !
Réponse :
Ne peut-on pas dire d’un boulanger dont les affaires marchent très bien depuis de nombreuses années, qu’il a quignon sur rue ?
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le troisième en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus court et tranché ... mais qui n'a rien à voir avec le précédent !
Juste un petit indice : 11ème ligne, 2ème image : Ce n'est pas " eau " mais " on " ... je n'ai pas le temps de corriger: la chasse aux œufs m'attend !
Allez, au boulot ! Il est assez sauvage mais plein de bon sens !
Réponse :
Mieux vaut s’occuper de son cul que de celui des autres : il a déjà assez de boulot comme cela surtout si l’on a des hémorroïdes !
Nota : Je vous avais bien prévenu qu'il était un tantinet sauvage !
5 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Charles Aznavour »
« Je bois »
La remarque :
Une cuvée … très acide !
Pas la plus connue des chansons d'Aznavour !
Je bois
Je bois pour oublier mes années d´infortune
Et cette vie commune
Avec toi mais si seul
Je bois pour me donner l´illusion que j´existe
Puisque trop égoïste
Pour me péter la gueuleEt je lève mon verre à nos cœurs en faillite
Nos illusions détruites
A ma fuite en avant
Et je trinque à l´enfer qui dans mon foie s´impose
En bouquet de cirrhose
Que j´arrose en buvantJe bois au jour le jour à tes fautes, à mes fautes
Au temps que côte à côte
Il nous faut vivre encore
Je bois à nos amours ambiguës, diaboliques
Souvent tragi-comiques
Nos silences de mortA notre union ratées, mesquine et pitoyable
A ton corps insatiable
Roulant de lit en lit
A ce serment, prêté la main sur l´Evangile
A ton ventre stérile
Qui n´eut jamais de fruitJe bois pour échapper à ma vie insipide
Je bois jusqu´au suicide
Le dégoût la torpeur
Je bois pour m´enivrer et vomir mes principes
Libérant de mes tripes
Ce que j´ai sur le cœurAu bonheur avorté, à moi et mes complexes
A toi, tout feu, tout sexe
A tes nombreux amants
A ma peau boursouflée, striée de couperose
Et à la ménopause
Qui te guette au tournantJe bois aux lois bénies de la vie conjugale
Qui de peur de scandale
Poussent à faire semblant
Je bois jusqu´à la lie aux étreintes sommaires
Aux putes exemplaires
Aux froids accouplementsAu meilleur de la vie qui par lambeaux nous quitte
A cette cellulite
Dont ton corps se rempare
Au devoir accompli comme deux automates
Aux ennuis de prostate
Que j´aurais tôt ou tardJe bois à en crever et peu à peu j´en crève
Comme ont crevé mes rêves
Quand l´amour m´a trahi
Je bois à m´en damner le foie comme une éponge
Car le mal qui me ronge
Est le mal de l´oubliJe m´enivre surtout pour mieux noyer ma peine
Et conjurer la haine
Dont nous sommes la proie
Et le bois comme un trou qu´est en tout point semblable
A celui que le diable
Te fait creuser pour moiJe bois mon Dieu, je bois
Un peu par habitude
Beaucoup de solitude
Et pour t´oublier toi
Et pour t´emmerder toi
Je bois, je boisBon partage !
Rotpier
7 commentaires -
Préface ( et alors ! … j’ai bien le droit aussi …non ? )
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Les 4 premières sont spécial coronavirus COVID 19 : on ne va quand même pas se laisser glisser vers la sinistrose … non ?
1ère Rotpierrerie :
Le combat du Covid-19 contre le monde entier pourrait s’intituler : « Le combat de Covid contre Goliath ». A partir de cette constatation, il ne nous reste plus qu’à espérer que l’issue soit inversée.
2ème Rotpierrerie :
Au sujet du Covid-19 et au jour d’aujourd’hui ( en tenant compte de toutes les informations disponibles ) toute projection dans l’avenir relève de la plus grande improvisation. Toutes les marches-arrière que nous voyons quotidiennement renforcent ce jugement.
Je me permets de faire un raccourci abrupt : « Vu qu’on ne sait pas grand chose, on ferme sa gueule ! »
… Pour plagier un peu le grand Coluche bien sûr :
« Moi je dis que quand un journaliste il n’en sait pas plus que ça, il devrait être autorisé à fermer sa gueule ! »
3ème Rotpierrerie :
Pétard de pétard ! Il n’y a plus de pétards qui circulent sur le marché ou bien très peu, cela va faire du pétard tôt ou tard !
4ème Rotpierrerie ( Issue de la troisième ) :
Si l’on ne relance pas l’économie souterraine de la drogue par des subventions conséquentes, à la mesure des pertes enregistrées, cela va tourner au vilain et le Karcher n’y pourra rien !
xxxxxxxxxxxxxx
5ème Rotpierrerie (un tant soit peu mathématique) :
Quand on est élève, il faut faire ses devoirs. Se soustraire à l’obligation de travailler sur les additions et les soustractions conduit à la multiplication des mises en garde du maître ou de la maîtresse et à une profonde division de la relation enseigné-enseignant. Cette équation étant posée, reste l’inconnue principale et hélas variable : le degré d’implication des parents dans le système.
5ème Rotpierrerie :
Être curieux de tout n’est pas un défaut mais une grande qualité. A condition bien sûr que cette curiosité ne relève pas du type de celle des concierges.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxx
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
3 commentaires -
Allez, en ces temps de confinement et pour vous sortir un peu la tête du fond du sac, je vais vous parler d'amour ... le vrai, le grand, le beau.
Remarque :
Sac et ressac : n’est-ce point une belle image de l’acte d’amour ?
J'espère que vous n’aurez pas trop de vague à l'âme ...
Photo de Jean-François Simon
Côte d’amour,
C’est la mer qui courtise
les éperons rocheux
ou bien eux qui la grise
la pénétrant un peu ?
D’éperons en calanques
résonnent leurs amours :
ils ne sont pas en manque
de câlins, de mamours !
Si la houle s’en mêle,
on retrouve alentours,
l’odeur forte et charnelle
de l’écume du jour !
Dans un élan pudique,
le ciel, son vieil ami,
voile plages et criques
pour leurs ébats promis.
Peut-être que la lune
viendra pour un clin d’œil,
sans intention aucune
de dresser des écueils !
C’est la mer qui courtise
les éperons rocheux,
ou bien eux qui la grise
la pénétrant un peu ?
Pierre Dupuis
8 commentaires -
Réponses pour les rébus :
Je viens de les mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Pour les autres, un petit retour en arrière est souvent gage d'un grand sourire à venir !
.
1 commentaire -
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une pensée sérieuse de Pierre.
3ème ligne, 2ème image : lieu où sont enfermées des animaux sauvages ! 2ème image : 2 personnages par " - - - - " et il y en a 4 !
4ème ligne, dernière image un diagramme de ce que les oreilles perçoivent !
5ème ligne, 1ère image : elle ne tourne pas toujours bien rond !
7ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus ! 2ème image, en direct "U" ...cocote ou pas !
8ème ligne, 2ème image : la moitié du surnom du volatile ! 3ème image, en direct "ti " ... oui mes titis !
Et pis c'est tout !
... Ne rêvez pas trop, il y a quand même du boulot même s'il est très court !
Réponse :
Quand l’utopie n’est pas au rendez-vous les rêves sont ternes et fades et ne servent qu’à ruminer le quotidien.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus court et c'est un adage sérieux de Pierre. Il part d'une anagramme et c'est un conseil que l'on peut donner aux jeunes dans bien des domaines ou bien des dolmens si l'on est chez les bretons !
Allez, au boulot brav' gens ! ... N'hésitez pas à montrer que vous avez du - - - - - comme Achille !
7 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Jacques Igelin »
« Champagne »
… A la vôtre et sans modération: on ne conduit plus ! ...
... A la mort du Covid-19 !
... Continuons à jouer au con finement
... tout du moins, essayons !
Champagne
La nuit promet d'être belle
Car voici qu'au fond du ciel
Apparaît la lune rousse
Saisi d'une sainte frousse
Tout le commun des mortels
Croit voir le diable à ses trousses
Valets volages et vulgaires
Ouvrez mon sarcophage
Et vous pages pervers
Courrez au cimetière
Prévenez de ma part
Mes amis nécrophages
Que ce soir nous sommes attendus dans les marécagesVoici mon message
Cauchemars, fantômes et squelettes
Laissez flotter vos idées noires
Près de la mare aux oubliettes
Tenue du suaire obligatoireLutins, lucioles, feux-follets
Elfes, faunes et farfadets
S'effraient d'mes grands carnassiers
Une muse un peu dodue
Me dit d'un air entendu
"Vous auriez pu vous raser"
Comme je lui fais remarquer
Deux, trois pendus attablés
Qui sont venus sans cravate
Haha, il va m'appeler
Elle me lance un œil hagard
Et vomit sans crier gare
Quelques vipères écarlatesVampires éblouis
Par de lubriques vestales
Egéries insatiables
Chevauchant des Walkyries
Infernales appétits de frénésies bacchanales
Qui charment nos âmes envahies par la mélancolie
Envoi
Satyres joufflus, boucs émissaires
Gargouilles émues, fières gorgones
Laissez ma couronne aux sorcières
Et mes chimères à la licorneSoudain les arbres frissonnent
Car Lucifer en personne
Fait une courte apparition
L'air tellement accablé
Qu'on lui donnerait volontiers
Le bon Dieu sans confession
S'il ne laissait malicieux
Courir le bout de sa queue
Devant ses yeux maléfiques
Et ne se dressait d'un bond
Dans un concert de jurons
Disant d'un ton pathétique
Que les damnés obscènes cyniques et corrompus
Fassent griefs de leur peine à ceux qu'ils ont élus
Car devant tant de problèmes
Et de malentendus
Les dieux et les diables en sont venus à douter d'eux-mêmes
De dédain suprêmeMais déjà le ciel blanchit
Esprits je vous remercie
De m'avoir si bien reçu
Cocher lugubre et bossu, déposez-moi au manoir
Et lâchez ce crucifix
Décrochez-moi ces gousses d'ail
Qui déshonorent mon portail
Et me chercher sans retard
L'ami qui soigne et guérit
La folie qui m'accompagne
Et jamais ne m'a trahi
ChampagneSource : LyricFindParoliers : Jacques HigelinBon partage !
Rotpier
2 commentaires