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    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

    Juste comme ça, pour se dégourdir

    un peu les neurones !

     

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

    C’est une grosse connerie du Rotpier !

     

    1ère ligne, 1ère image: elle est vraiment "- - - - -" de chez "- - - - - " ... une bonne à rien quoi !  2ème image: il a été castré !

    2ème ligne, 1ère image: cri du tout jeune bébé quand il pleure, surtout quand on le pince ! .............. 3ème image: en direct "hêtre" !

    3ème ligne, 1ère image: c'est le symbole qu'il faut retenir !

    4ème ligne, 2ème image: en direct " ti " ! 

    5ème ligne, 2ème image : la bébête démange beaucoup ! .... 4ème image: souvent de voitures !

    6ème ligne, dernière image : début de la formule du muezzin !

    7ème ligne, 1ère image: le serpent fait toujours "s", son frère jumeau aussi ! 

    8ème ligne,  2ème image: pâté de tête de sanglier !

    Dernière ligne, 3ème image: ça schlingue !

    Qu'en pensez-vous docteur ?

     

    Réponse : 

     Nul besoin d’être péripatéticienne pour casser sa pipe à la suite d’un coup sur l’occiput !

     

     

    Qu'il dit l'animal !


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    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

    Jean-Jacques Goldman :

    « Comme toi »

    En souvenir d’une triste période

    rappelée par celles et ceux qui viennent d'entrer au Panthéon …

     

     

    Comme toi,

    Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
    À côté de sa mère et la famille autour
    Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
    La photo n´est pas bonne mais l´on peut y voir
    Le bonheur en personne et la douceur d´un soir
    Elle aimait la musique surtout Schumann et puis Mozart

    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi que je regarde tout bas
    Comme toi qui dort en rêvant à quoi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi

    Elle allait à l´école au village d´en bas
    Elle apprenait les livres elle apprenait les lois
    Elle chantait les grenouilles et les princesses qui dorment au bois
    Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis
    Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
    Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie

    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi que je regarde tout bas
    Comme toi qui dort en rêvant à quoi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi

    Elle s´appelait Sarah elle n´avait pas huit ans
    Sa vie c´était douceur rêves et nuages blancs
    Mais d´autres gens en avaient décidé autrement
    Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
    C´était une petite fille sans histoire et très sage
    Mais elle n´est pas née comme toi ici et maintenant

    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi
    Comme toi que je regarde tout bas
    Comme toi qui dort en rêvant à quoi
    Comme toi comme toi comme toi comme toi

     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier


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  •  

     

    Mardi , j'avais le dos au mur ... je l'ai toujours car je n'ai pas eu le temps de taper les deux poèmes que je viens de terminer !

    Alors, je vous propose un poème déjà publié et en ces temps-là, j'étais ... au pied du mur !

     

    Le dicton du jour :

     « C’est au pied du mur qu’on voit le garçon »

     

     

    Mur

    Image du net

     

     

    Mon ami le mur,

     

    En lui faisant la courte échelle,

    je n’étais pas très innocent,

    j’avais vu que la demoiselle

    avait un beau tempérament !

     

    Le tissu de sa minijupe

    était vraiment très riquiqui,

    elle en était - pour sûr ! - pas dupe

    et en dessous c’était exquis !

     

    J’ai cultivé la maladresse

    faisant semblant de la lâcher,

    ma main a glissé sous ses fesses

    et a rampé sans la fâcher !

     

    Poussant plus loin mon avantage,

    j’ai vérifié qu’elles étaient deux !

    Quant à leur ligne de partage :

    j’ai failli me crever les yeux !

     

    Nous avons perdu l’équilibre,

    le mur que nous voulions franchir

    nous a glissé : « Vous êtes libres,

    il vous reste à vous affranchir ! »

     

    C’était un mur plein de sagesse

    qui connaissait les amoureux

    et à son pied la mousse épaisse

    formait un lit des plus moelleux !

    .

    Nous cultivions l’obéissance

    - il fallait bien obtempérer ! -

    nous avons fait mieux connaissance,

    sans chercher à se modérer !

     

    J’ai fait beaucoup de courte échelle

    et le mur m’a toujours aidé,

    quand je changeais de demoiselle

    il ne semblait pas offusqué !

     

    Mon vieux mur est toujours solide,

    je viens le voir de temps en temps,

    moi je ne suis plus si valide :

    ma courte échelle a fait son temps !

     

    A chacune de mes visites

    il me dit invariablement :

    « Tu n’amènes  plus de petite,

    ça me plaisait énormément ! »

     

    Il est vraiment resté robuste

    mais sa tête part à vau-l’eau :

    Alzheimer ! Ce n’est pas juste !

    Même les murs ont leurs fardeaux !

     

    Un jour je viendrais le rejoindre

    ne sachant plus très bien pourquoi,

    en observant la lune poindre

    nous n’auront plus le moindre émoi !

     

    Il sera temps que je trépasse,

    je ne veux pas de ces fauteuils

    où l’on dépose, où l’on entasse

    des corps déjà en demi-deuil !

     

    J’aimerais bien que l’on m’enterre

    au pied de mon fidèle ami,

    un peu de mousse, un peu de terre :

    qu’irais-je faire au paradis ?

     

     

                                               Pierre Dupuis

    Déjà publié, légèrement revu ! 

     


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  •  

     

    Mur 2

     

    Image du net !

     

     

    Le dos au mur

    ou

    Le mauvais coucheur,

     

    Je ne suis pas un bon coucheur,

    Ma réputation est mauvaise,

    Je ramène toujours ma fraise

    On dit de moi : « Quel emmerdeur ! »

     

    Je m’en bas l’œil que ça fait peur !

    Pour dénigrer je suis balaise,

    Peu d’autres sont aussi à l’aise :

    J’ai des envieux dans le secteur !

     

    Un jour j’aurais le dos au mur,

    J’y serais acculé c’est sûr 

    Par la vindicte populaire !

     

    Mais plus besoin d’être aux aguets,

    De me garder de mes arrières

    Contre un quelconque foutriquet !

     

     

                                   Pierre Dupuis

     

     

    J'y ajoute un très ancien poème un peu sur le même thème, il doit avoir une bonne quinzaine d'années ... 

     

     

    La marginalisation n'est concevable que dans la mesure ou elle est volontaire et réfléchie. C'est alors un acte de liberté totale. Toute marginalisation dépendante ou induite est inacceptable.

     

    Le marginal,

     

    Je ne ressemble pas au commun des mortels,

    Je ne suis pas un fou: respectez ma folie !

    A cette société plus rien ne me relie,

    Je ne suis pas fait pour rejoindre le cheptel.

     

    Je ne suis pas partant pour adorer l'autel,

    D'un quelconque système et en bloc je renie,

    Le fait de me lier à toute troupe unie:

    Je suis un cas à part, prenez-moi comme tel !

     

    Je dérange bien sûr quand parfois on me sonne

    Et qu'on m'entend clamer: "Je n'y suis pour personne ! "

    Pour rentrer dans le rang, ne plus vous accablez,

     

    Dois-je mettre à l 'index le gros de mes méninges ?

    Pour imiter la foule afin d'y ressembler,

    Dois-je me transformer en un vulgaire singe ?

                                       

                                               

                                                              Pierre Dupuis

     

     

    photo pour le marginal

    Image du net


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  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

    Bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c’est tout !       

     


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

     

    Juste comme ça, pour se dégourdir

     

    un peu les neurones !

     

    rebus 347 (1)rebus 347 (2)
     


    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus qui, je l'espère, ne vous flanquera pas de boutons !

    1ère ligne, dernière image :il faut prendre la marque !

    2ème ligne, 1ère image : le petit de la biche !    4ème image : en cage, il arrive à parler : je le sais car j'ai vu et entendu quand j'étais gamin ... hier donc !

      3ème ligne, 1ère image : le marin est presque en haut du " - - - " comme Alexandre !

    5ème ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit !

    6ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours "s" , rien de nouveau ! 3ème image : autre nom pour un bus !  

    Dernière ligne, 1ère image, en direct : " ti " ... c'est bien compris mes titis ?

     

    Et pis c'est tout !

     

    A vous de jouer mes petits latins ! 

     

     Réponse :

    Même les enfants de langue germanique peuvent contracter la scarlatine !

     

    Qu'il dit l'animal !

     


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Barbara »

     « Nantes »

     

     

    Nantes

     Il pleut sur Nantes, donne-moi la main

    Le ciel de Nantes rend mon cœur chagrin

    Un matin comme celui-là, il y a juste un an déjà
    La ville avait ce teint blafard lorsque je sortis de la gare
    Nantes m'était encore inconnue, je n'y étais jamais venue
    Il avait fallu ce message pour que je fasse le voyage

    "Madame soyez au rendez-vous, vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
    Faites vite, il y a peu d'espoir, il a demandé à vous voir"

    A l'heure de sa dernière heure, après bien des années d'errance
    Il me revenait en plein cœur, son cri déchirait le silence
    Depuis qu'il s'en était allé, longtemps je l'avais espéré
    Ce vagabond, ce disparu, voilà qu'il m'était revenu

    Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup, je m'en souviens du rendez-vous
    Et j'ai gravé dans ma mémoire cette chambre au fond d'un couloir

    Assis près d'une cheminée, j'ai vu quatre hommes se lever
    La lumière était froide et blanche, ils portaient l'habit du dimanche
    Je n'ai pas posé de questions à ces étranges compagnons
    J'ai rien dit, mais à leurs regards, j'ai compris qu'il était trop tard

    Pourtant j'étais au rendez-vous, vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
    Mais il ne m'a jamais revue, il avait déjà disparu

    Voilà, tu la connais l'histoire, il était revenu un soir
    Et ce fut son dernier voyage, et ce fut son dernier rivage
    Il voulait avant de mourir se réchauffer à mon sourire
    Mais il mourut à la nuit même sans un adieu, sans un "je t'aime"

    Au chemin qui longe la mer, couché dans le jardin des pierres
    Je veux que tranquille il repose, je l'ai couché dessous les roses
    Mon père, mon père

    Il pleut sur Nantes et je me souviens
    Le ciel de Nantes rend mon cœur chagrin

     

     

    Bon partage !

    Rotpier


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    Allez, vous reprendrez bien un petit coup de Zézette sur la Croisette ?

     En plus, certains ne la connaissent pas !

     

     

    Je vous offre, mes petits canards, la pensée du jour avec en prime une Zézette très délurée !

     

    La pensée du jour :

     Mieux vaut, avec ou sans canne, cancaner à Cannes que d’y canner !

     

    Le poème sur la drôle de Zézette :

    .

    J’espère bien, avec ce poème haut en couleur

    (du rouge et de l’or) décrocher une palme !

    Au minimum, la palme-raie !

     

    Toutes les images proviennent du net !

     

    Le festival de cannes de Zézette,

     

    Un jour sur la croisette

    j’ai rencontré Zézette,

    entièrement à poil :

    c’était très convivial !

     

    Pas du tout complexée,

    tout à fait relaxée,

    elle exposait son corps

    sans le moindre remord !

     

    Elle’ n’était pas bronzée

    mais elle était frisée :

    son système pileux

    frôlait le fabuleux !

     

    Il faut savoir qu’à Lille

    rarement on s’épile :

    ça flottait de partout

    des cheveux aux genoux !

     

    Je connaissais la fille,

    une môme gentille,

    mais tous les gens d’ici

    en étaient ébahis !

     

    Elle entama à Cannes

    un festival de cannes :

    elle n’en avait que deux

    mais s’en servait au mieux !

     

    Une foule en délire

    décida de l’élire,

    loin de tout le gotha,

    la reine des nanas !

     

    Arrachant une palme

    à un palmier très calme,

    ils lui remirent le prix

    du plus velu fri-fri !

     

    De sa belle démarche

    elle monta les marches

    d’un très grand escabeau :

    ce fut vraiment très beau !

     

    Elle en fut très émue

    et promit à la rue

    de revenir souvent

    fêter l’évènement !

     

    Depuis ce jour Zézette

    revient sur la croisette

    montrer tous ses trésors

    et son fri-fri en or !

     

    Car en plus elle est blonde

    et vachement gironde,

     qu’ils soient flics ou pompiers,

    les gars sont à ses pieds !

     

                              Rotpier

     
     

     

     


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    La pie de Claude Monet

     

    "La pie" tableau de claude Monet

    Image du net

     

    Petit broderie poétique autour du tableau

    de Claude Monet : « La pie ».

    Un sonnet pour Monet … mais pas que !

     

                Liminaire :

     

    Elle est un peu comme une intruse

    Sur cette toile où le frimas

    A posé de façon diffuse

    Son empreinte en très grand format.

     

    Pourtant la couleur de ses plumes,

    moitié neige, moitié charbon,

    lui donne un merveilleux costume

    qui fait qu’elle est au diapason !

     

    La pie de Claude Monet (2)

     

     

    La pie,

     

    La curieuse est là qui observe

    L’homme qui manie les pinceaux,

    Elle sera sur le tableau,

    Peut-être accroché à l’auberge ?

     

    L’artiste n’a vraiment pas chaud,

    Le froid est là qui le submerge,

    Ses doigts sont raides comme verge

    Avant de passer à l’assaut !

     

    Chaque jour pour lui elle pose,

    Même si le froid l’ankylose

    C’est un rôle très passionnant !

     

    Dans ce travail hors conformisme

    On sent déjà poindre un tournant :

    L’amorce de l’impressionnisme !

     

     

    xxxxxxxxxxx

     

     

    D’abord refusée au salon*

    Pour être trop avant-gardiste,

    Cette toile montre le long

    Chemin qu’empruntaient les artistes !

     

    Certains mourraient avant d’avoir

    Une  quelconque renommée,

    Finissant dans le désespoir,

    Avec la raison entamée.

     

    Là où Monet a réussit

    D’autres n’ont pas eu cette chance :

    L’époque des peintres maudits

    Disparus dans l’indifférence !

     

    Van Gogh ou Modigliani

    Sont morts avant d’être célèbres :

    Une fin en catimini,

    Ténèbres avant les ténèbres.

     

                        Pierre Dupuis

     

                 * Celui de 1869.

     

     Lien :             http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/recherche/commentaire_id/la-pie-347.html?no_cache=1

     

     


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  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

    Bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c’est tout !       


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

     

    Juste comme ça, pour se dégourdir

     

    un peu les neurones !

     

    rebus 346 (1)rebus 346 (2)rebus 346 (3) 


    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus journalitico-gastronomique ! ... Bizarre, non ?  Avec bien sûr un petit jeux de mots ! 

     

    2ème ligne, 1ère image : il peut être rouge ou pas ! 

    3ème ligne, 2ème image : ce n'est pas un garçon !  3ème image : à scinder les deux sonorités du mot !

    5ème ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit !

    6ème ligne, 1ère image : un jeu de  " - - "  !  2ème image : lieu où l'on stocke des tonneaux !

    7ème ligne, 1ère image : il est assis sur son trône !

    8ème ligne, avant dernière image : la poésie, la peinture, la musique en sont !

    9ème ligne, 2ème image : n'allez pas prendre le court !  3ème image : produit par le mûrier !  

    1oème ligne, 2ème image : le serpent fait son " s " habituel !      3ème image et en direct : "u" ... cocotte !

    Dernière ligne, 3ème image : le mec a choppé une sacrée " - - - -  "

     

    Et pis c'est toux !

     

    A vous de jouer mes petits canards !  Moi, je vais acheter mes journaux ! 

     

     Réponse :

    Ne peut-on pas qualifier les querelles entre journaux de gauche et de droite de conflits de canards ? Que l’on soit du sud-ouest ou pas !

     

    Qu'il dit l'animal !


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo 

     

    Cette fois-ci :

     

    « Can Can »

     

    Dans le cadre du festival de Cannes …

     

    Bon partage !

     

    Rotpier


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  • On y va ?

    Je recroisette les doigts !

    Aurais-je une palme ?

     

    Image du net

    Festival de cannes à Cannes,

    g

    Sur le grand tapis rouge

    une longue ascension

    et des fesses qui bougent :

    fais gaffe à ta tension !

    b

    Corps sculptés à la gouge

    des totems ! … Attention !

    Des milliers de peaux-rouges

    sont en adoration !

    b

    Robes longues ou courtes :

    on devine ou l’on voit !

    Ça prolonge ou écourte

    b

    … ça s’écarte parfois !

    Gambettes en arcanes :

    vrai festival de cannes !

    v

    Image du net

    Quand même plus joli que celui d'en dessous !

     

    Festival de Cannes

     

     

    Rotpier

    Toujours aussi sonnet le Rotpier !

     

    Déjà publié mais enrichi: de nos jours, en s'enrichit comme on peut ! 


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  •  

     

    Je doute fort que ces quelques rimes fassent bouger les lignes car l’étroitesse d’esprit des personnes racistes confine à l’infini.

    Mais qu’importe, nous sommes dans des temps où il est important de le marteler et de le remarteler sans relâche.

     

    Pierre Dupuis

     

    Image du net modifiée par mes soins

     

    Trait d’union,

     

    Ils avançaient en bavardant. Quand je dis « ils »,

    il n’y avait qu’un « il » et … deux superbes « elles » !

    Le « il » couleur café, bien tassé, du brésil !

    Les « elles » : l’une blanche et l’autre cannelle !

     

    Ils allaient de l’avant, main dans la main.

    Papa, enfant, maman : une jolie palette

    avec en son milieu le résultat certain

    du mélange grand teint de peau de la fillette.

     

    Papa couleur café,

    maman au teint de lait,

    un subtile mélange :

    tant pis si ça dérange !

    Un résultat parfait

    couleur café au lait !

     

    Le petit bout de chou était le trait d’union

    entre deux êtres qui, en toute connaissance,

    n’avaient pas hésité à vivre leur passion

    sans se préoccuper des vieilles convenances !

     

    Je me pris vite au jeu d’observer les regards

    des gens qui les croissaient : édifiante expérience !

    Des coups d’œil assez noirs, d’autres plutôt bâtards,

    peu de salutations et beaucoup de défiance !

     

    Mélange de pigments

    dérange bien des gens

    qui deviendraient acerbes

    et perdraient leur superbe

    s’ils croisaient en chemin

    … leurs ancêtres lointains !

     

    Car même si cela remonte à très longtemps

    nos ancêtres éloignés étaient de bien des races :

    nous sommes tous issus de divers croisements

    n’en déplaise à tous ceux que ce fait embarrasse !

     

    On peut bien s’affubler du terme « vrai gaulois »

    comme d’autres rêvaient d’être de race aryenne,

    on peut tout mépriser et se sentir les rois :

    c’est méconnaître ou nier toute l’histoire ancienne !

     

    Certains l’ont bien compris qui surfent là-dessus,

    c’est leur produit d’appel, c’est leur fond de commerce !

    Les gens ont oublié qu’un petit moustachu

    a autrefois joué cette carte perverse !

     

    Mélange de pigments

    dérange bien des gens

    qui deviendraient acerbes

    et perdraient leur superbe

    s’ils croisaient en chemin

    … leurs descendants lointains !

     

     

                                         Pierre Dupuis

     


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

     

    Juste comme ça, pour se dégourdir

     

    un peu les neurones !

     

     rebus 345 (1)rebus 345 (2)

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est un rébus très court ! Que tous participent : plus on est de fous et plus on rit ! 

     

    1ère ligne, dernière image : la moitié de ce que regarde Titeuf !  

    2ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils ! 4ème image : quelqu'un  "- - - - - " ... au présent !

    3ème ligne, 3ème image : il est assis sur son trône ! 

    4ème ligne, 4ème image : endroit où elle broute !

    5ème ligne, 1ère image : c'est la teuf ! Dernière image : pièce d'échec ! 

     

    Et pis c'est tout !

    A lundi après-midi car je pars à Paris !  

     

    Réponse :

    Donner l’asile à des personnes qui y ont droit c’est bien mais après que fait-on des fous ?

     

     

    Ce court séjour a été excellent ! Il faisait très beau à Paris ce matin et, coup de chance, le périphérique n’était pas trop bloqué. Le stade de France est toujours à la même place !

     

    Qu'il dit l'animal !


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Nicoletta »

    « II est mort le soleil »

     

    J’espère que non, même si je suis

    un peu fâché avec !

     

     

     

     

     

     

     

    Il est mort le soleil,


    Il est mort,

    Il est mort, le soleil
    Quand tu m'as quittée
    Il est mort, l'été
    L'amour et le soleil,
    C'est pareil.

    Il est mort,
    Il est mort, le soleil
    Mais je suis la seule à porter le deuil
    Et le jour ne franchit plus mon seuil.

    Hier, on dormait sur le sable chaud
    Hier pour nous il faisait beau
    Il faisait beau même en hiver
    C'était hier

    Il est mort,
    Il est mort, le soleil
    L'ombre est sur ma vie,
    Dans mon cœur, la pluie
    Et mon âme s'habille de gris.

    Hier, la couleur que j'aimais le mieux
    C'était la couleur de tes yeux
    C'était la couleur de la mer
    C'était hier.

    Il est mort,
    Il est mort, le soleil
    Quand tu m'as quittée
    Il est mort, l'été
    L'amour et le soleil,
    C'est pareil,
    Il est mort, le soleil.
     

     

    Bon partage !

     

    Rotpier


    2 commentaires
  •  

    Vous avez tué, torturé, violé,

    volé, mais vous vous êtes confessés :

    allez-en paix mes frères,
    vous êtes ... pardonnés !

      

    Et, si vous l'avez fait au nom de votre dieu,

    vous serez sanctifiés !

     

     
     
     

    Sur une superbe photo de Marie Lecorre :

     

    Confession peu banale

    d’un vieux … confessionnal !

     

    Si je suis tout en bois,

    je ne suis pas de bois !

    Je vous dirais ma foi

    que j’ai perdu la foi !

     

    Abritant en confesses

    de drôles de bougresses

    oscillant en souplesse

    entre messes et fesses :

     

    J’ai fini - je le dis ! -

    par être très instruit

    sur les grands interdits

    touchant au bigoudi !

     

    Ah ! j’en ai vu passer

    quelques uns de curés !

    Célibat enduré

    ou bien lit partagé !

     

    Dame de compagnie,

    simple bonne ou amie ?

    carrément bonne amie,

    dans le lit endormie !

     

    Presbytère occupé

    par rejetons d’abbé :

    pas généralité

    … pas non plus rareté !

     

    Des bouffeuses d’hosties

    hantant les sacristies,

    oeillades garanties

    pour de fines parties !

     

    « Mon mari est absent

    pour un travail pressant :

    le lit est bien trop grand

    et je m’ennuie dedans ! »

     

    Et voilà - rebelote ! -

    l’ aquicheus’ de calotte

    mini jup’ ras de motte

    avec ou sans culotte !

     

    Mais les péchés de cœur

    sont pour moi des liqueurs

    quand j’entends les horreurs

    de certains dits - d’honneur ! -

     

    Le cul a ses faiblesses

    et quand les mains caressent

    d’un peu trop près les tresses

    ça glisse vite aux fesses !

     

    De tout ça j’en rigole :

    ce n’est que gaudriole !

    Ce qui vraiment m’affole

    c’est les types qui violent !

     

    Venez tous les pécheurs !

    Venez tous les tricheurs

    Venez les débaucheurs

    et aussi les violeurs !

     

     

    Venez en ribambelle,

    la repentance est belle !

    Quelques soient les gamelles :

    virginité nouvelle !

     

    Venez tous les banquiers,

    tous les grands financiers,

    les plumeurs d’ouvriers :

    vous serez pardonnés !

     

    Venez les politiques,

    c’est le coté pratique :

    promesses mirifiques

    et … pas d’autocritique !

     

    Venez les malfaiteurs,

    venez les dictateurs,

    tous les exécuteurs,

    les bourreaux, les tueurs !

     

    Venez en ribambelle

    la repentance est belle !

    Deux sous dans la coupelle

    et la vie éternelle !

     

    Deux pater, trois avé

    « merci Monsieur l’ curé,

    ça va mieux vous savez

    depuis qu’ j’ai plus d’ péchés ! 

     

    Allez, à la prochaine,

    ma croyance est certaine,

    je viendrai en neuvaine :

    c’est vraiment une aubaine ! »

     

    Et moi tous ces aveux

    me rendent cafardeux

    et plus d’un jour sur deux

    je me foutrais le feu !

     

    Les flammes seraient belles,

    terminé les chapelles,

    les vieilles, les nouvelles

    qui poussent en kyrielles !

     

    Toutes les religions

    accordent le pardon

    sur simple invocation

    et repentir bidon !

     

    Halte à l’hypocrisie !

    Halte aux fautes blanchies !

    A bas les homélies

    et autres conneries !

     

    Je voudrais m’immoler

    pour que le monde entier

    arrête de prier

    des dieux tous inventés !

     

    Pour certains bien pratique

    pour asseoir leurs boutiques

    qu’elles soient politiques

    ou des plus mercatiques !

     

    Les sermons orientés,

    les versets détournés,

    les peuples abusés

    par des prêcheurs roués !

     

    Je n’en peux plus de vivre,

    de tout ça j’en suis ivre

    je veux qu’on me délivre :

    je veux fermer le livre !

     

    Le seul dieu : c’est la loi,

    que l’on soit humble ou roi !

    C’est à ce prix, je crois,

    que reviendra ma foi

     

    en … les hommes !

     

     

                                            Pierre Dupuis

     


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  •  

    Je vous propose aujourd’hui un poème écrit à partir du tableau de Gustave Caillebotte : « Les raboteurs de parquet »

     Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Raboteurs_de_parquet

     

     

    Les raboteurs de parquet de Gustave Caillebotte

    Image du net

    Liminaire :

     Et ça rabote et ça rabote

    Sous l’œil expert de Caillebotte

    Qui mémorise les détails

    De ces compagnons de travail.

    Les raboteurs de parquet,

     

    A genoux couverts de sueur,

    torses nus sur corps athlétiques,

    longs bras aux muscles élastiques,

    ils s’activent les raboteurs.

     

    Outils tranchants comme rasoirs

    manipulés de main de maître,

    que ce soit du chêne ou du hêtre

    le parquet geint sous les racloirs !

     

    De brut et rugueux au départ

    il devient de plus en plus lisse,

    bientôt sur lui les outils glissent :

    il devient plan comme billard !

     

    Dans la pièce flotte une odeur,

    un composé âcre et hybride

    de sueur et de bois acide

    ne gênant pas les travailleurs.

    .

    D’un naturel plutôt taiseux,

    les conversations sont très rares,

    leur besogne les accapare :

    ils gardent leur souffle pour eux.

     

    Du vin est à portée de main,

    ils en partagent les bouteilles,

    pas un nectar de bonne treille

    mais du gros rouge à fort tanin !

     

    La chaleur et les gros efforts

    font que parfois ils en abusent,

    la fin de journée est confuse :

    le travail avance moins fort !

     

    Le lendemain ils seront là

    prêts à recommencer leur tâche

    douze heures par jour, sans relâche,

    pas loin d’un travail de forçat !

     

    Les genoux le dos et les bras,

    le soir, ne sont plus que brûlures,

    ce n’est pas une sinécure

    que ce travail la tête en bas.

     

    Quand la tâche est menée à bien

     et que l’on voit le parquet lisse,

    on dit : « c’est un travail d’artiste

    ces hommes sont des magiciens ! »

     

    Ils repartiront autre part,

    d’autres demeures les attendent,

    on ne manque pas de commandes

    quand on maîtrise à fond son art !

     

    A jamais immortalisés

    par le pinceau de Caillebotte

    ils sont toujours là qui rabotent

    le geste lent et maîtrisé.

     

     

                                                  

                                                    Pierre Dupuis

     

     


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  •  

    Réponse pour le rébus :

    Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

    Bravo à ceux qui avaient trouvé !

     

    Et pis c’est tout !       


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  •  

     

    Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

     

    Juste comme ça, pour se dégourdir

     

    un peu les neurones !

     

     rébus 344 (1)rébus 344 (2)

    Petite aide au rébus

    (les champions s'en passeront !) :

     

    C'est une grosse ... que dis-je, une énorme, une éléphantesque connerie du Rotpier !

     

    1ère ligne, dernière image : celle-ci, au regard de celle évoquée dans ce rébus, est plutôt mince !

    2ème ligne, 2ème image : la sale bête pique et provoque la piroplasmose chez les chiens et les autres animaux domestiques et toc !  3ème image, en direct : "U" ... cocote ! ( l'autre aussi ! )

    3ème ligne, 3ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - -  " !   (l'autre aussi ! ) Quand c'est autre chose, est-ce le Viagra ?

    6ème ligne, 1ère image :  poisson plat ! 2ème image : seconde partie du refrain d'une chanson d'Antoine !  Dernière image : le gars est très " - - - - " !

    8ème ligne, 2ème image :c'est la marque du célèbre petit beurre nantais qu'il faut prendre ! Attention pour la 3ème image, il faut attacher la voyelle à la 2ème image et le reste à la 4ème ! ... Je vous l'ai bien ficelée l'explication ?

    9ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre la fille ! 2ème image : l'assassin "  - - - " conjugé au présent !  Dernière image : on y trouve parfois, gravé, des cœurs percés d'une flèche !  J'aurais pu remplacé les deux dernières images de cette ligne par un tas d'excréments !

     

    Et pis c'est tout !

     Il est court et assez facile mais pas piqué des hannetons !   J'espère que vous n'allez pas vous tromper !  

     

     

    Réponse :

    Est-ce qu’une femme particulièrement adipeuse remue les oreilles et barrit fortement quand on lui ligature les trompes ?

     

    C’était sauvage mais je vous avais prévenu !

     

    Je vous mets un lien vers le blog de l’ami Durdan qui a donné la réponse à sa manière :  http://durdan.eklablog.com/rebus-d-apres-rotpier-a117525278

     

     

    Qu'il dit l'animal !


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  •  

    Une fois par semaine,

    je vous propose de partager les chansons

    et les artistes que j’aime !

    Clip vidéo et paroles

     

    Cette fois-ci :

     

    « Ben E. King »

    « Stand By Me »

     

    Qui n’a pas flirté là-dessus ... à condition d'avoir l'âge !

     

    Il vient de mourir.

     

     

    Traduction des paroles :

     

    Reste avec moi

    Quand la nuit est venue
    Et le pays est noir
    Et la lune est la seule lumière que l'on peut voir
    Non je n'aurai pas peur, non je n'aurai pas peur
    Aussi longtemps que tu resteras, resteras avec moi

    Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
    maintenant reste avec moi
    Reste avec moi, reste avec moi

    Si le ciel que nous regardons
    Pouvait trembler et tomber
    Et les montagnes pouvaient s'effondrer dans la mer
    Je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas, non je ne pourrai
    verser une larme
    Aussi longtemps que tu restes, restes avec moi

    Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
    maintenant reste avec moi
    Reste avec moi, reste avec moi

    Quand tu as des problèmes, ne restes-tu pas avec moi?
    Oh maintenant maintenant reste avec moi


    Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
    maintenant reste avec moi
    Reste avec moi, reste avec moi

     

     

    Bon, c’est plutôt ( comme dit mon chien ! )

    mièvre comme paroles mais la mélodie

    … aïe aïe aïe !!!   cool

    Bon partage !

    Rotpier


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  •  

    Le jour du 1er Mai,

    je ne vais quand même pas me défiler !

     

    Allez, je vous en offre quelques brins

    et vous souhaite beaucoup de bonheur !

     
     
     
    Image du net
     
     

    En prime, je vous offre

    le dernier tube à la mode !

     

    ... Cela ne va pas nous rajeunir non plus,

    mais c'est plutôt marrant !

     
     
     
     
     
     
     

    Rotpier ... toujours vert

    (on a bien le droit de rêver ... non ? ) 

     

     

    Encore un petit bonus :

     

    Le dicton de circonstance de cette année :

     S’il fait un temps de chien en mai, dors !

     

    Le conseil de la confrérie des joyeux chevaliers de la jaquette :

     Pour ton bonheur, en mai, mue gay !

     

    Le vieux dicton des caravanes africaines :

     Qui a pleuré en avril en mai a ri !

     

    Bon, je me sauve car mon épouse m’attend ! Si je ne fais pas fissa, je vais me faire sonner les clochettes … et pas qu’un brin ! Ce qui serait quand même le bouquet un 1er mai !

      

     

    Et pis c’est tout !

    Pierre et Rotpier

     


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