-
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est une grosse connerie du Rotpier !
1ère ligne, 1ère image: elle est vraiment "- - - - -" de chez "- - - - - " ... une bonne à rien quoi ! 2ème image: il a été castré !
2ème ligne, 1ère image: cri du tout jeune bébé quand il pleure, surtout quand on le pince ! .............. 3ème image: en direct "hêtre" !
3ème ligne, 1ère image: c'est le symbole qu'il faut retenir !
4ème ligne, 2ème image: en direct " ti " !
5ème ligne, 2ème image : la bébête démange beaucoup ! .... 4ème image: souvent de voitures !
6ème ligne, dernière image : début de la formule du muezzin !
7ème ligne, 1ère image: le serpent fait toujours "s", son frère jumeau aussi !
8ème ligne, 2ème image: pâté de tête de sanglier !
Dernière ligne, 3ème image: ça schlingue !
Qu'en pensez-vous docteur ?
Réponse :
Nul besoin d’être péripatéticienne pour casser sa pipe à la suite d’un coup sur l’occiput !
Qu'il dit l'animal !
9 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Jean-Jacques Goldman :
« Comme toi »
En souvenir d’une triste période
rappelée par celles et ceux qui viennent d'entrer au Panthéon …
Comme toi,
Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
La photo n´est pas bonne mais l´on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d´un soir
Elle aimait la musique surtout Schumann et puis MozartComme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toiElle allait à l´école au village d´en bas
Elle apprenait les livres elle apprenait les lois
Elle chantait les grenouilles et les princesses qui dorment au bois
Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis
Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
Et ils se marieraient un jour peut-être à VarsovieComme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toiElle s´appelait Sarah elle n´avait pas huit ans
Sa vie c´était douceur rêves et nuages blancs
Mais d´autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C´était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n´est pas née comme toi ici et maintenantComme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toiBon partage !
Rotpier
2 commentaires -
Mardi , j'avais le dos au mur ... je l'ai toujours car je n'ai pas eu le temps de taper les deux poèmes que je viens de terminer !
Alors, je vous propose un poème déjà publié et en ces temps-là, j'étais ... au pied du mur !
Le dicton du jour :
« C’est au pied du mur qu’on voit le garçon »
Image du net
Mon ami le mur,
En lui faisant la courte échelle,
je n’étais pas très innocent,
j’avais vu que la demoiselle
avait un beau tempérament !
Le tissu de sa minijupe
était vraiment très riquiqui,
elle en était - pour sûr ! - pas dupe
et en dessous c’était exquis !
J’ai cultivé la maladresse
faisant semblant de la lâcher,
ma main a glissé sous ses fesses
et a rampé sans la fâcher !
Poussant plus loin mon avantage,
j’ai vérifié qu’elles étaient deux !
Quant à leur ligne de partage :
j’ai failli me crever les yeux !
Nous avons perdu l’équilibre,
le mur que nous voulions franchir
nous a glissé : « Vous êtes libres,
il vous reste à vous affranchir ! »
C’était un mur plein de sagesse
qui connaissait les amoureux
et à son pied la mousse épaisse
formait un lit des plus moelleux !
.
Nous cultivions l’obéissance
- il fallait bien obtempérer ! -
nous avons fait mieux connaissance,
sans chercher à se modérer !
J’ai fait beaucoup de courte échelle
et le mur m’a toujours aidé,
quand je changeais de demoiselle
il ne semblait pas offusqué !
Mon vieux mur est toujours solide,
je viens le voir de temps en temps,
moi je ne suis plus si valide :
ma courte échelle a fait son temps !
A chacune de mes visites
il me dit invariablement :
« Tu n’amènes plus de petite,
ça me plaisait énormément ! »
Il est vraiment resté robuste
mais sa tête part à vau-l’eau :
Alzheimer ! Ce n’est pas juste !
Même les murs ont leurs fardeaux !
Un jour je viendrais le rejoindre
ne sachant plus très bien pourquoi,
en observant la lune poindre
nous n’auront plus le moindre émoi !
Il sera temps que je trépasse,
je ne veux pas de ces fauteuils
où l’on dépose, où l’on entasse
des corps déjà en demi-deuil !
J’aimerais bien que l’on m’enterre
au pied de mon fidèle ami,
un peu de mousse, un peu de terre :
qu’irais-je faire au paradis ?
Pierre Dupuis
Déjà publié, légèrement revu !
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Image du net !
Le dos au mur
ou
Le mauvais coucheur,
Je ne suis pas un bon coucheur,
Ma réputation est mauvaise,
Je ramène toujours ma fraise
On dit de moi : « Quel emmerdeur ! »
Je m’en bas l’œil que ça fait peur !
Pour dénigrer je suis balaise,
Peu d’autres sont aussi à l’aise :
J’ai des envieux dans le secteur !
Un jour j’aurais le dos au mur,
J’y serais acculé c’est sûr
Par la vindicte populaire !
Mais plus besoin d’être aux aguets,
De me garder de mes arrières
Contre un quelconque foutriquet !
Pierre Dupuis
J'y ajoute un très ancien poème un peu sur le même thème, il doit avoir une bonne quinzaine d'années ...
La marginalisation n'est concevable que dans la mesure ou elle est volontaire et réfléchie. C'est alors un acte de liberté totale. Toute marginalisation dépendante ou induite est inacceptable.
Le marginal,
Je ne ressemble pas au commun des mortels,
Je ne suis pas un fou: respectez ma folie !
A cette société plus rien ne me relie,
Je ne suis pas fait pour rejoindre le cheptel.
Je ne suis pas partant pour adorer l'autel,
D'un quelconque système et en bloc je renie,
Le fait de me lier à toute troupe unie:
Je suis un cas à part, prenez-moi comme tel !
Je dérange bien sûr quand parfois on me sonne
Et qu'on m'entend clamer: "Je n'y suis pour personne ! "
Pour rentrer dans le rang, ne plus vous accablez,
Dois-je mettre à l 'index le gros de mes méninges ?
Pour imiter la foule afin d'y ressembler,
Dois-je me transformer en un vulgaire singe ?
Pierre Dupuis
Image du net
3 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus qui, je l'espère, ne vous flanquera pas de boutons !
1ère ligne, dernière image :il faut prendre la marque !
2ème ligne, 1ère image : le petit de la biche ! 4ème image : en cage, il arrive à parler : je le sais car j'ai vu et entendu quand j'étais gamin ... hier donc !
3ème ligne, 1ère image : le marin est presque en haut du " - - - " comme Alexandre !
5ème ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit !
6ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours "s" , rien de nouveau ! 3ème image : autre nom pour un bus !
Dernière ligne, 1ère image, en direct : " ti " ... c'est bien compris mes titis ?
Et pis c'est tout !
A vous de jouer mes petits latins !
Réponse :
Même les enfants de langue germanique peuvent contracter la scarlatine !
Qu'il dit l'animal !
4 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Barbara »
« Nantes »
Nantes
Il pleut sur Nantes, donne-moi la main
Le ciel de Nantes rend mon cœur chagrin
Un matin comme celui-là, il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard lorsque je sortis de la gare
Nantes m'était encore inconnue, je n'y étais jamais venue
Il avait fallu ce message pour que je fasse le voyage
"Madame soyez au rendez-vous, vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d'espoir, il a demandé à vous voir"
A l'heure de sa dernière heure, après bien des années d'errance
Il me revenait en plein cœur, son cri déchirait le silence
Depuis qu'il s'en était allé, longtemps je l'avais espéré
Ce vagabond, ce disparu, voilà qu'il m'était revenu
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup, je m'en souviens du rendez-vous
Et j'ai gravé dans ma mémoire cette chambre au fond d'un couloir
Assis près d'une cheminée, j'ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche, ils portaient l'habit du dimanche
Je n'ai pas posé de questions à ces étranges compagnons
J'ai rien dit, mais à leurs regards, j'ai compris qu'il était trop tard
Pourtant j'étais au rendez-vous, vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m'a jamais revue, il avait déjà disparu
Voilà, tu la connais l'histoire, il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage, et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même sans un adieu, sans un "je t'aime"
Au chemin qui longe la mer, couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose, je l'ai couché dessous les roses
Mon père, mon père
Il pleut sur Nantes et je me souviens
Le ciel de Nantes rend mon cœur chagrinBon partage !
Rotpier
3 commentaires -
Allez, vous reprendrez bien un petit coup de Zézette sur la Croisette ?
En plus, certains ne la connaissent pas !
Je vous offre, mes petits canards, la pensée du jour avec en prime une Zézette très délurée !
La pensée du jour :
Mieux vaut, avec ou sans canne, cancaner à Cannes que d’y canner !
Le poème sur la drôle de Zézette :
.
J’espère bien, avec ce poème haut en couleur
(du rouge et de l’or) décrocher une palme !
Au minimum, la palme-raie !
Toutes les images proviennent du net !
Le festival de cannes de Zézette,
Un jour sur la croisette
j’ai rencontré Zézette,
entièrement à poil :
c’était très convivial !
Pas du tout complexée,
tout à fait relaxée,
elle exposait son corps
sans le moindre remord !
Elle’ n’était pas bronzée
mais elle était frisée :
son système pileux
frôlait le fabuleux !
Il faut savoir qu’à Lille
rarement on s’épile :
ça flottait de partout
des cheveux aux genoux !
Je connaissais la fille,
une môme gentille,
mais tous les gens d’ici
en étaient ébahis !
Elle entama à Cannes
un festival de cannes :
elle n’en avait que deux
mais s’en servait au mieux !
Une foule en délire
décida de l’élire,
loin de tout le gotha,
la reine des nanas !
Arrachant une palme
à un palmier très calme,
ils lui remirent le prix
du plus velu fri-fri !
De sa belle démarche
elle monta les marches
d’un très grand escabeau :
ce fut vraiment très beau !
Elle en fut très émue
et promit à la rue
de revenir souvent
fêter l’évènement !
Depuis ce jour Zézette
revient sur la croisette
montrer tous ses trésors
et son fri-fri en or !
Car en plus elle est blonde
et vachement gironde,
qu’ils soient flics ou pompiers,
les gars sont à ses pieds !
Rotpier
3 commentaires -
"La pie" tableau de claude Monet
Image du net
Petit broderie poétique autour du tableau
de Claude Monet : « La pie ».
Un sonnet pour Monet … mais pas que !
Liminaire :
Elle est un peu comme une intruse
Sur cette toile où le frimas
A posé de façon diffuse
Son empreinte en très grand format.
Pourtant la couleur de ses plumes,
moitié neige, moitié charbon,
lui donne un merveilleux costume
qui fait qu’elle est au diapason !
La pie,
La curieuse est là qui observe
L’homme qui manie les pinceaux,
Elle sera sur le tableau,
Peut-être accroché à l’auberge ?
L’artiste n’a vraiment pas chaud,
Le froid est là qui le submerge,
Ses doigts sont raides comme verge
Avant de passer à l’assaut !
Chaque jour pour lui elle pose,
Même si le froid l’ankylose
C’est un rôle très passionnant !
Dans ce travail hors conformisme
On sent déjà poindre un tournant :
L’amorce de l’impressionnisme !
xxxxxxxxxxx
D’abord refusée au salon*
Pour être trop avant-gardiste,
Cette toile montre le long
Chemin qu’empruntaient les artistes !
Certains mourraient avant d’avoir
Une quelconque renommée,
Finissant dans le désespoir,
Avec la raison entamée.
Là où Monet a réussit
D’autres n’ont pas eu cette chance :
L’époque des peintres maudits
Disparus dans l’indifférence !
Van Gogh ou Modigliani
Sont morts avant d’être célèbres :
Une fin en catimini,
Ténèbres avant les ténèbres.
Pierre Dupuis
* Celui de 1869.
5 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus journalitico-gastronomique ! ... Bizarre, non ? Avec bien sûr un petit jeux de mots !
2ème ligne, 1ère image : il peut être rouge ou pas !
3ème ligne, 2ème image : ce n'est pas un garçon ! 3ème image : à scinder les deux sonorités du mot !
5ème ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit !
6ème ligne, 1ère image : un jeu de " - - " ! 2ème image : lieu où l'on stocke des tonneaux !
7ème ligne, 1ère image : il est assis sur son trône !
8ème ligne, avant dernière image : la poésie, la peinture, la musique en sont !
9ème ligne, 2ème image : n'allez pas prendre le court ! 3ème image : produit par le mûrier !
1oème ligne, 2ème image : le serpent fait son " s " habituel ! 3ème image et en direct : "u" ... cocotte !
Dernière ligne, 3ème image : le mec a choppé une sacrée " - - - - "
Et pis c'est toux !
A vous de jouer mes petits canards ! Moi, je vais acheter mes journaux !
Réponse :
Ne peut-on pas qualifier les querelles entre journaux de gauche et de droite de conflits de canards ? Que l’on soit du sud-ouest ou pas !
Qu'il dit l'animal !
5 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo
Cette fois-ci :
« Can Can »
Dans le cadre du festival de Cannes …
Bon partage !
Rotpier
4 commentaires -
On y va ?
Je recroisette les doigts !
Aurais-je une palme ?
Image du net
Festival de cannes à Cannes,
g
Sur le grand tapis rouge
une longue ascension
et des fesses qui bougent :
fais gaffe à ta tension !
b
Corps sculptés à la gouge
des totems ! … Attention !
Des milliers de peaux-rouges
sont en adoration !
b
Robes longues ou courtes :
on devine ou l’on voit !
Ça prolonge ou écourte
b
… ça s’écarte parfois !
Gambettes en arcanes :
vrai festival de cannes !
v
Image du net
4 commentaires -
Je doute fort que ces quelques rimes fassent bouger les lignes car l’étroitesse d’esprit des personnes racistes confine à l’infini.
Mais qu’importe, nous sommes dans des temps où il est important de le marteler et de le remarteler sans relâche.
Pierre Dupuis
Image du net modifiée par mes soins
Trait d’union,
Ils avançaient en bavardant. Quand je dis « ils »,
il n’y avait qu’un « il » et … deux superbes « elles » !
Le « il » couleur café, bien tassé, du brésil !
Les « elles » : l’une blanche et l’autre cannelle !
Ils allaient de l’avant, main dans la main.
Papa, enfant, maman : une jolie palette
avec en son milieu le résultat certain
du mélange grand teint de peau de la fillette.
Papa couleur café,
maman au teint de lait,
un subtile mélange :
tant pis si ça dérange !
Un résultat parfait
couleur café au lait !
Le petit bout de chou était le trait d’union
entre deux êtres qui, en toute connaissance,
n’avaient pas hésité à vivre leur passion
sans se préoccuper des vieilles convenances !
Je me pris vite au jeu d’observer les regards
des gens qui les croissaient : édifiante expérience !
Des coups d’œil assez noirs, d’autres plutôt bâtards,
peu de salutations et beaucoup de défiance !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs ancêtres lointains !
Car même si cela remonte à très longtemps
nos ancêtres éloignés étaient de bien des races :
nous sommes tous issus de divers croisements
n’en déplaise à tous ceux que ce fait embarrasse !
On peut bien s’affubler du terme « vrai gaulois »
comme d’autres rêvaient d’être de race aryenne,
on peut tout mépriser et se sentir les rois :
c’est méconnaître ou nier toute l’histoire ancienne !
Certains l’ont bien compris qui surfent là-dessus,
c’est leur produit d’appel, c’est leur fond de commerce !
Les gens ont oublié qu’un petit moustachu
a autrefois joué cette carte perverse !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs descendants lointains !
Pierre Dupuis
4 commentaires -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus très court ! Que tous participent : plus on est de fous et plus on rit !
1ère ligne, dernière image : la moitié de ce que regarde Titeuf !
2ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils ! 4ème image : quelqu'un "- - - - - " ... au présent !
3ème ligne, 3ème image : il est assis sur son trône !
4ème ligne, 4ème image : endroit où elle broute !
5ème ligne, 1ère image : c'est la teuf ! Dernière image : pièce d'échec !
Et pis c'est tout !
A lundi après-midi car je pars à Paris !
Réponse :
Donner l’asile à des personnes qui y ont droit c’est bien mais après que fait-on des fous ?
Ce court séjour a été excellent ! Il faisait très beau à Paris ce matin et, coup de chance, le périphérique n’était pas trop bloqué. Le stade de France est toujours à la même place !
Qu'il dit l'animal !
4 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Nicoletta »
« II est mort le soleil »
J’espère que non, même si je suis
un peu fâché avec !
Il est mort le soleil,
Il est mort,Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Mais je suis la seule à porter le deuil
Et le jour ne franchit plus mon seuil.
Hier, on dormait sur le sable chaud
Hier pour nous il faisait beau
Il faisait beau même en hiver
C'était hier
Il est mort,
Il est mort, le soleil
L'ombre est sur ma vie,
Dans mon cœur, la pluie
Et mon âme s'habille de gris.
Hier, la couleur que j'aimais le mieux
C'était la couleur de tes yeux
C'était la couleur de la mer
C'était hier.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil,
Il est mort, le soleil.Bon partage !
Rotpier
2 commentaires -
Vous avez tué, torturé, violé,
volé, mais vous vous êtes confessés :
allez-en paix mes frères,
vous êtes ... pardonnés !Et, si vous l'avez fait au nom de votre dieu,
vous serez sanctifiés !
Sur une superbe photo de Marie Lecorre :
Confession peu banale
d’un vieux … confessionnal !
Si je suis tout en bois,
je ne suis pas de bois !
Je vous dirais ma foi
que j’ai perdu la foi !
Abritant en confesses
de drôles de bougresses
oscillant en souplesse
entre messes et fesses :
J’ai fini - je le dis ! -
par être très instruit
sur les grands interdits
touchant au bigoudi !
Ah ! j’en ai vu passer
quelques uns de curés !
Célibat enduré
ou bien lit partagé !
Dame de compagnie,
simple bonne ou amie ?
carrément bonne amie,
dans le lit endormie !
Presbytère occupé
par rejetons d’abbé :
pas généralité
… pas non plus rareté !
Des bouffeuses d’hosties
hantant les sacristies,
oeillades garanties
pour de fines parties !
« Mon mari est absent
pour un travail pressant :
le lit est bien trop grand
et je m’ennuie dedans ! »
Et voilà - rebelote ! -
l’ aquicheus’ de calotte
mini jup’ ras de motte
avec ou sans culotte !
Mais les péchés de cœur
sont pour moi des liqueurs
quand j’entends les horreurs
de certains dits - d’honneur ! -
Le cul a ses faiblesses
et quand les mains caressent
d’un peu trop près les tresses
ça glisse vite aux fesses !
De tout ça j’en rigole :
ce n’est que gaudriole !
Ce qui vraiment m’affole
c’est les types qui violent !
Venez tous les pécheurs !
Venez tous les tricheurs
Venez les débaucheurs
et aussi les violeurs !
Venez en ribambelle,
la repentance est belle !
Quelques soient les gamelles :
virginité nouvelle !
Venez tous les banquiers,
tous les grands financiers,
les plumeurs d’ouvriers :
vous serez pardonnés !
Venez les politiques,
c’est le coté pratique :
promesses mirifiques
et … pas d’autocritique !
Venez les malfaiteurs,
venez les dictateurs,
tous les exécuteurs,
les bourreaux, les tueurs !
Venez en ribambelle
la repentance est belle !
Deux sous dans la coupelle
et la vie éternelle !
Deux pater, trois avé
« merci Monsieur l’ curé,
ça va mieux vous savez
depuis qu’ j’ai plus d’ péchés !
Allez, à la prochaine,
ma croyance est certaine,
je viendrai en neuvaine :
c’est vraiment une aubaine ! »
Et moi tous ces aveux
me rendent cafardeux
et plus d’un jour sur deux
je me foutrais le feu !
Les flammes seraient belles,
terminé les chapelles,
les vieilles, les nouvelles
qui poussent en kyrielles !
Toutes les religions
accordent le pardon
sur simple invocation
et repentir bidon !
Halte à l’hypocrisie !
Halte aux fautes blanchies !
A bas les homélies
et autres conneries !
Je voudrais m’immoler
pour que le monde entier
arrête de prier
des dieux tous inventés !
Pour certains bien pratique
pour asseoir leurs boutiques
qu’elles soient politiques
ou des plus mercatiques !
Les sermons orientés,
les versets détournés,
les peuples abusés
par des prêcheurs roués !
Je n’en peux plus de vivre,
de tout ça j’en suis ivre
je veux qu’on me délivre :
je veux fermer le livre !
Le seul dieu : c’est la loi,
que l’on soit humble ou roi !
C’est à ce prix, je crois,
que reviendra ma foi
en … les hommes !
Pierre Dupuis
4 commentaires -
Je vous propose aujourd’hui un poème écrit à partir du tableau de Gustave Caillebotte : « Les raboteurs de parquet »
Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Raboteurs_de_parquet
Image du net
Liminaire :
Et ça rabote et ça rabote
Sous l’œil expert de Caillebotte
Qui mémorise les détails
De ces compagnons de travail.
Les raboteurs de parquet,
A genoux couverts de sueur,
torses nus sur corps athlétiques,
longs bras aux muscles élastiques,
ils s’activent les raboteurs.
Outils tranchants comme rasoirs
manipulés de main de maître,
que ce soit du chêne ou du hêtre
le parquet geint sous les racloirs !
De brut et rugueux au départ
il devient de plus en plus lisse,
bientôt sur lui les outils glissent :
il devient plan comme billard !
Dans la pièce flotte une odeur,
un composé âcre et hybride
de sueur et de bois acide
ne gênant pas les travailleurs.
.
D’un naturel plutôt taiseux,
les conversations sont très rares,
leur besogne les accapare :
ils gardent leur souffle pour eux.
Du vin est à portée de main,
ils en partagent les bouteilles,
pas un nectar de bonne treille
mais du gros rouge à fort tanin !
La chaleur et les gros efforts
font que parfois ils en abusent,
la fin de journée est confuse :
le travail avance moins fort !
Le lendemain ils seront là
prêts à recommencer leur tâche
douze heures par jour, sans relâche,
pas loin d’un travail de forçat !
Les genoux le dos et les bras,
le soir, ne sont plus que brûlures,
ce n’est pas une sinécure
que ce travail la tête en bas.
Quand la tâche est menée à bien
et que l’on voit le parquet lisse,
on dit : « c’est un travail d’artiste
ces hommes sont des magiciens ! »
Ils repartiront autre part,
d’autres demeures les attendent,
on ne manque pas de commandes
quand on maîtrise à fond son art !
A jamais immortalisés
par le pinceau de Caillebotte
ils sont toujours là qui rabotent
le geste lent et maîtrisé.
Pierre Dupuis
7 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une grosse ... que dis-je, une énorme, une éléphantesque connerie du Rotpier !
1ère ligne, dernière image : celle-ci, au regard de celle évoquée dans ce rébus, est plutôt mince !
2ème ligne, 2ème image : la sale bête pique et provoque la piroplasmose chez les chiens et les autres animaux domestiques et toc ! 3ème image, en direct : "U" ... cocote ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, 3ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! (l'autre aussi ! ) Quand c'est autre chose, est-ce le Viagra ?
6ème ligne, 1ère image : poisson plat ! 2ème image : seconde partie du refrain d'une chanson d'Antoine ! Dernière image : le gars est très " - - - - " !
8ème ligne, 2ème image :c'est la marque du célèbre petit beurre nantais qu'il faut prendre ! Attention pour la 3ème image, il faut attacher la voyelle à la 2ème image et le reste à la 4ème ! ... Je vous l'ai bien ficelée l'explication ?
9ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre la fille ! 2ème image : l'assassin " - - - " conjugé au présent ! Dernière image : on y trouve parfois, gravé, des cœurs percés d'une flèche ! J'aurais pu remplacé les deux dernières images de cette ligne par un tas d'excréments !
Et pis c'est tout !
Il est court et assez facile mais pas piqué des hannetons ! J'espère que vous n'allez pas vous tromper !
Réponse :
Est-ce qu’une femme particulièrement adipeuse remue les oreilles et barrit fortement quand on lui ligature les trompes ?
C’était sauvage mais je vous avais prévenu !
Je vous mets un lien vers le blog de l’ami Durdan qui a donné la réponse à sa manière : http://durdan.eklablog.com/rebus-d-apres-rotpier-a117525278
Qu'il dit l'animal !
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Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Ben E. King »
« Stand By Me »
Qui n’a pas flirté là-dessus ... à condition d'avoir l'âge !
Il vient de mourir.
Traduction des paroles :
Reste avec moi
Quand la nuit est venue
Et le pays est noir
Et la lune est la seule lumière que l'on peut voir
Non je n'aurai pas peur, non je n'aurai pas peur
Aussi longtemps que tu resteras, resteras avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Si le ciel que nous regardons
Pouvait trembler et tomber
Et les montagnes pouvaient s'effondrer dans la mer
Je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas, non je ne pourrai
verser une larme
Aussi longtemps que tu restes, restes avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Quand tu as des problèmes, ne restes-tu pas avec moi?
Oh maintenant maintenant reste avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Bon, c’est plutôt ( comme dit mon chien ! )
mièvre comme paroles mais la mélodie
… aïe aïe aïe !!!
Bon partage !
Rotpier
4 commentaires -
Le jour du 1er Mai,
je ne vais quand même pas me défiler !
Allez, je vous en offre quelques brins
et vous souhaite beaucoup de bonheur !
Image du netEn prime, je vous offre
le dernier tube à la mode !
... Cela ne va pas nous rajeunir non plus,
mais c'est plutôt marrant !
Rotpier ... toujours vert
(on a bien le droit de rêver ... non ? )
Encore un petit bonus :
Le dicton de circonstance de cette année :
S’il fait un temps de chien en mai, dors !
Le conseil de la confrérie des joyeux chevaliers de la jaquette :
Pour ton bonheur, en mai, mue gay !
Le vieux dicton des caravanes africaines :
Qui a pleuré en avril en mai a ri !
Bon, je me sauve car mon épouse m’attend ! Si je ne fais pas fissa, je vais me faire sonner les clochettes … et pas qu’un brin ! Ce qui serait quand même le bouquet un 1er mai !
Et pis c’est tout !
Pierre et Rotpier
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