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Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Aretha Franklin
« The Queen of Soul »
Le cœur d'Aretha s'est arrêté,
il nous reste ses chansons et ses leçons d'engagement politique et social.
Bon partage !
Rotpier
5 commentaires -
Suite à :
Je remets ce poème une nouvelle fois et je pense, hélas, que ce ne sera pas la dernière.
Je vous mets aussi une pensée que je devais mettre en rébus:
" La charge la plus lourde à porter pour un nouveau pape c’est qu’il devient le chef de file de nombreux pédophiles sans forcément faire partie intrinsèquement de la congrégation. "
... A méditer !
Image du net modifiée par moi-même
Tu le diras un jour ...
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos !
Et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !
Pierre Dupuis
Déjà publié et ne s'adressant pas qu'aux prêtres ...
8 commentaires -
Je reprends la pensée de mon rébus de dimanche et je développe un peu :
Statue dans mon jardin
Donc, je développe un peu :
Ce qui devrait se passer
Ce qui se passe en réalité : ça ne ruisselle pas du tout !Les deux dernières image viennent du blog VINCENTDIDIER
Lien : http://www.vincentdidier.net/2017/10/la-theorie-du-ruissellement.html
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Un autre lien traitant du sujet : https://www.nouvelobs.com/edito/20170929.OBS5332/la-theorie-du-ruissellement-fable-des-annees-1980.html
Et pis c’est tout !
Bonne méditation et préparez le parapluie !
... En parlant de parapluie et de ruissellement je préfère ceci :
Le parapluie
Il pleuvait fort sur la grand-route
Elle cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse
D'un air très doux, elle m'a dit ouiUn p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardiChemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuitsUn p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardiMais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte
Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubliUn p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardiArticle de: Rotpier
5 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
2 commentaires -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier, qui n'a ni fait l'ENA, ni HEC ni travaillé au FMI mais qui sent bien les choses sans les avoirs fréquentés !
1ère ligne, 3ème image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies ! ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, 2ème image : La boisson favorite des rosbifs !
3ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le mou ! 4ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ... quand c'est autre chose on ne sait pas ! ( l'autre aussi ! )
4ème ligne, 2ème image : quand le bébé a fini de téter il fait son " - - - " ... le Rotpier aussi !
5ème ligne, 1ère image : ce n'est pas un PC ! 2ème image : tous ces objets sont " - - - - " ... comme vous le serez si vous n’êtes pas sobre ce midi !
6ème ligne, 1ère image :" - - - - - " comme Crésus !
7ème ligne, dernière imange : le serpent fait toujours " s " ! ( les autres aussi: ils sont frères ! )
8ème ligne, 1ère image : la musique, la peinture, la sculpture, la poésie en font partie !
9ème ligne, dernière image : attention, c'est " - - - - " bouillant !
11ème ligne, 2ème image : en direst " U " ! 3ème image : le mec a la crève, il a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! ... Que vous soyez de Bruxelles ou pas ! J'espère que cette profonde pensée sera reprise sur les réseaux sociaux !
Réponse :
Je la sens bien la théorie du ruissellement prônée par Macron et les riches, je la sens bien. Ça ruisselle ça ruisselle c’est chaud… ils nous pissent dessus tout simplement !
Nota :
J’y reviendrai mardi pour un petit complément !
11 commentaires -
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Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Michel Jonasz
« Dites-moi »
Dites-moi
Elle avait toujours
Dans son porte monnaie
L'île au trésor
Et des pièces de un franc usées
Un pinceau de poil de martre
Pour mettre des rideaux bleus
Aux fenêtres de ses yeux
Aux fenêtres de ses yeux
Un livre à la main sur le balcon
Elle s'endormait
Dans un vieux fauteuil de Manille
Je cherchais des prénoms
Mathieu, Cécile
En regardant courir vers dix heures
Dans l'école des filles et des garçons
{Refrain:}
Dites moi dites moi même
Qu'elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites moi ça
Dites moi ça
Dites moi dites moi même
Qu'elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites moi ça
Dites moi ça
Dans mon cœur vaudou
Il y a quatre épingles
Qu'elle a pris soin d'abandonner
Pour que je pleure
J'ai cloué ma porte
Qu'est ce qui m'a pris
J'ai brisé le miroir où elle faisait ses tresses
Mis du papier journal sous les fenêtres
J'entendais de l'école trop de cris
Il n'est rien né de notre lit
{au Refrain}Bon partage !
Rotpier
4 commentaires -
Un petit pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre
Ceux qui me suivent connaissent mes démêlées avec le maire de ma commune en temps de vice-président et webmestre de l'association l'AMG créée pour contrer ses dérives .
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Le déserteur »
de Boris Vian
qui devient :
« L'accusateur … »
De … Pierre
Recette pour bien le déguster :
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Pastiche du « Déserteur » de Boris Vian.
L’accusateur,
Monsieur le maire autant
Vous dire que la lettre
Que j’ai osé commettre
A assez de mordant
Elle est dans le droit-fil
Des vers et des poèmes
Bâtis en anathème
Aux confins du civil
Forme d’objurgations
Qui de marbre vous laissent
Mais dont j’ai la faiblesse
De croire en leur action
Du haut de votre ego
Vous avez de l’aisance
Beaucoup de suffisance
Et vous toisez de haut
Mon regret le plus grand
Est mon action tardive
À contrer vos dérives
Et tous vos errements
J’aurais du m’impliquer
Bien plutôt dans la danse
Entrer en dissidence
Et je dois m’expliquer
Je ne connaissais pas
La façon arbitraire
De mener les affaires
Que vous aviez déjà
Il a fallut un heurt
Pour en prendre conscience
Et entrer en défiance
Et j’y vais de bon cœur
Je ne suis pas certain
De percer la cuirasse
Mais d’y laisser des traces
Ça je l’espère bien
Nul besoin d’être sûr
De gagner pour se battre
Il faut toujours combattre
Même contre des murs
Vous connaissez les lois
Il faut le reconnaître
Il faut bien les connaître
Pour s’en jouer parfois
Vous avez votre cour
Et vous savez y faire
Vous avez la manière
Le verbe et le discours
Vous les avez choisis
Pour leur coté docile
Comportement servile
Certains sont vos nervis
Vous en avez besoin
Pour couvrir vos manœuvres
Afin de mettre en œuvre
Vos plans et vos dessins
Je ne crois plus en ceux
Prônant l’indépendance
Ils restent dans la danse
Même quand c’est vaseux
Ils sont inféodés
Mais resterons coupables
De leur indubitable
Statut d’embrigadés
Comment ne pas penser
Que certains en profitent
Ceux de la proche orbite
du cercle rapproché
« Je te donne la main
C’est toi qui fait la donne »
La recette est très bonne
On connaît le refrain
Ça marche à tous les coups
L’omerta est de mise
Sur les choses promises
Tout reste dans le flou
En dehors de la cour
Des favoris gravitent
Genre bernard-l’ermite
Jamais trop au grand jour
L’opacité c’est net
Vous convient à merveille
L’encre de la bouteille
À l’heure d’internet
Moins il y a de gens
Informés plus ça passe
Les tours de passe-passe
Aiment l’ombre vraiment
Il faudra bien un jour
Les mettre sur la place
Car tout laisse des traces
Malgré les beaux discours
Combien auront coûté
D’argent à la commune
Sûrement pas des prunes
Tous vos mandats passés
Si l’on fait le bilan
Sec de vos mandatures
Et sans caricature
Il n’est guère brillant
Vous avez dirigé
la commune en despote
Système lèche-bottes
Avec des obligés
Les résultats sont là
Les communes voisines
Et cela me chagrine
Ont beaucoup plus d’éclat
Voila ce que j’avais
Sur le cœur à vous dire
Vous allez en sourire
Ou pas du tout qui sait
Mais si vous vous fâchez
Vous pourrez porter plainte
J’assume ma complainte
Et ça vous le savez
Dans ce que j’ai écrit
Il n’y a nul mensonge
Depuis longtemps j’y songe
Et c’est sans compromis
Mais je dois m’arrêter
Et déposer ma plume
Et tant pis si j’écume
Il me faut clôturer
Je ne crois pas que vous
Aimerez ces paroles
Car les paroles volent
Et se posent partout
Aux lecteurs et à ceux qui vont fredonner :
Parti dans mon élan
Lors de cette apostrophe
J’ai ajouté des strophes
Au chant de Boris Vian
Veuillez me pardonner
Ce flux excédentaire
Ma plume est cavalière
je dois la refreiner
J’ai beau m’y employer
Elle n’est pas docile
Et ce n’est pas facile
À moins de la noyer
Si cela vous a plu
Vous pouvez tout reprendre
J’aimerai vous entendre
La chanter tant et plus
… La chanter tant et plus…
Pierre Dupuis
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Pierre
7 commentaires -
Avis à la population !
Blog en veilleuse pour une semaine pour cause de :
Gros travaux !
+ Fiesta
Ça va être dur !
Que dis-je : terrible !
A mardi prochain si tout va bien
et … si vous le voulez bien !
Rotpier
4 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier, il est court mais piégeant ! Aïe !
1ère ligne, 1ère image : le marin est presque en haut du " - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : le petit de la vache !
3ème ligne, 2ème image : Éole est le dieu du " - - - - " ! 3ème image : un oiseau qui aime les glands !
4ème ligne, 1ère image : ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " et là, il y en a cinq !
5ème ligne, 3ème image : la sale bête se nourrit de sang et file de sales maladies !
6ème ligne, 2ème image : le petit beurre de chez " - - " !
7ème ligne, 1ère image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! ( l'autre aussi pardi ! )
8ème ligne, 3ème image : le cri de l'animal !
11ème ligne, 1ère image : la moitié de la marque, c'est la règle ! Dernière image : le serpent fait " s " comme d'habitude !
Dernière ligne, 1ère image : sorte de pâté de tête de sanglier ou de cochon ! ... Et ne dites pas que j'en ai une drôle ! Non mais !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il est court mais après les chaleurs passées il faut laisser refroidir un peu les neurones !
Réponse :
Madame, votre mari vous trompe, vengez-vous ! Sous couvert de jeu érotique offrez-lui un étui pénien à fermeture éclair : c’est le traquenard assuré !
Observation :
J'ai l'intention de déposer le brevet de l’étui pénien à fermeture éclair … si ! Qui veut me financer ?
12 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Serge Lama
« Les glycines »
Allez, un peu de fraîcheur à l'ombre des glycines...
Les glycines,
Sur le mur y avait des glycines
Sur le mur y avait des glycines
Toi, tu portais un tablier bleu
Toi, tu portais un tablierToujours le nez dans tes bassines
Toujours le nez dans tes bassines
En ce temps-là, on se parlait peu
En ce temps-là, on se taisait.C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendraParaît que cousin et cousine
Paraît que cousin et cousine
Ça ne doit pas s'aimer d'amour, non
Ça ne doit pas parler d'amourAlors on parlait du beau temps
De la pluie et des fleurs des champs
De la vendange et du labour, mais
On ne parlait jamais d'amourC'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendraPuis je suis parti en usine
Puis je suis parti en usine
Je n'voulais pas être fermier, moi
Je voulais être le premierMerci beaucoup, petit Jésus
J'ai bien mangé et j'ai bien bu
Je suis aimé ou respecté, moi
On me dit "vous" pour me parlerC'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'l'amour, mais ça viendraPourtant quand je vois des glycines
Pourtant quand je vois des glycines
J'ai envie de les arracher, moi
J'ai envie de les arracherParaît que t'aurais eu deux filles
Qui font partie de ma famille
Mais comme l'amour ne me dit plus rien
Elles n'auront jamais de cousinsC'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'la haine, mais ça viendra.Bon partage !
Rotpier
4 commentaires -
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
Statue dans mon jardin
Pas assez de temps pour les chouettes aujourd’hui ! Aussi, je vous propose de méditer cette pensée un peu trop longue pour être mise en rébus :
Dans la quasi-totalité des cas, une pensée, même brillante, n’est que le résultat du glanage de fragments d’autres pensées avec un ordonnancement de mots différents et, pour ne pas être carrément un plagiat, un petit bout (ou un grand : soyons généreux !) d’idée neuve apportant une valeur ajoutée certaine à ladite pensée. Je ne changerais d’avis sur cette affirmation que lorsque l’on me présentera un enfant qui, à peine sortit du ventre de sa mère ait dit : « Merde ! Le monde, ce n’est que ça ? »
Remarque :
Est-une pensée pertinente ou suis-je resté un peu trop au soleil ces jour derniers ?
Et pis c’est tout !
Bonne méditation !
Rotpier
9 commentaires -
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Second devoir de vacances ... j'ai un peu traîné pour le finaliser !
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Image du net
Préambule :
Au pays du grand Rabelais
où la fabulation est reine
et l’absurdité souveraine
le bon mensonge n’est pas laid.
Ce n’est qu’un petit canular
entre le fromage et la pomme
« Le rire est le propre de l’homme »
et contre l’ennui un rempart.
Alors amis rions souvent
cela met du baume à nos peines
cela rend la vie plus sereine
et gomme nos emmerdements !
J’aurais pu c’est bien évident
choisir une toute autre rime
mais Rabelais nous a en prime
pondu le bon mot « excrément » !
Sortons provisions et bouteilles,
mangeons buvons jusqu’à plus tard
on entend mieux bien remplis car :
« Ventre affamé n’a pas d’oreille ! »
xxxxxxxxxxxxxxx
Photo personnelle
Épopée sibylline,
Exposé du contexte …
Alors que j’étais en vacances
au gîte du Moulin Giraud
un très beau gîte au bord de l’eau
j’ai nagé dans l’extravagance.
Il faut préciser c’est notoire
afin de bien comprendre tout
que la commune de Panzoult
est fortement chargée d’histoire.
Parmi les abris troglodytes
il en est un particulier
le logis craint ou recherché
d’une sibylle et de ses mythes.
Situé juste au dessus du gîte
- joli poste d’observation ! -
j’avais la fâcheuse impression
d’être espionné par la susdite !
Photo personnelle
.
Pas n’importe quelle sibylle
mais la Sibylle de Panzoult
dont Rabelais citait le trou
et dont l’image m’obnubile !
Si je vous brosse ce contexte
c’est pour que vous compreniez mieux
que vous soyez moins suspicieux
sur la véracité du texte.
Je vais vous relater l’histoire
n’allez surtout pas vous moquer
d’un pauvre barde très marqué
par cette épreuve vexatoire.
xxxxxxxxxxxx
L’épopée …
C’est par un soir de pleine lune
que me parvint comme une voix
un murmure étrange ma foi
qui enclencha mon infortune.
« Que fais-tu près de ma demeure ?
Es-tu venu me consulter ?
Tu me parais bien emprunté :
tu es plus mou qu’un quart de beurre !
Viens donc et entre dans ma grotte
je ne vais pas te dévorer
et mon vieux chien a bien mangé
dépêche-toi crotte de crotte ! »
Son antre sentait la fumée
ça bouillait dans un vieux chaudron
une mixture à gros bouillons
n’ayant pas été écumée.
Dans un coin une vielle chouette
dardait sur moi ses yeux tout ronds
de quoi me filer les jetons
heureusement qu’elle était muette !
Sur une paillasse douteuse
un chat pelé se prélassait
autour de son cou un lacet
sa peau était exémateuse !
Le chien qui était une chienne
m’observait de façon bizarre
prêt à entamer la bagarre
dans une ambiance kafkaïenne !
Croassant de façon lugubre
un gros crapaud tout rabougri
à la peau couleur vert-de-gris
bavait de façon insalubre !
Cela faisait de grosses bulles
venant s’écraser au plafond
qui retombaient dans le brouillon
en formant une pellicule !
J’avais une de ces pétoches
je frémissais de toutes parts
tout prêt à souiller mon falzar
… ne riez pas ce serait moche !
Tout en remuant sa mixture
elle me dit : « N’aie donc pas peur
je ne tue pas mes visiteurs
ou rarement je te le jure.
Je te trouve très sympathique
bien que tu sois un peu simplet
c’est cela chez toi qui me plait
dans le fond tu es drôlatique.
Quand Épistémon et Panurge
sont venus pour me consulter
nous nous sommes bien disputés :
pour trois fois rien moi je m’insurge !
Je leur ai montré mon derrière
car ils m’avaient poussé à bout
et quand on me cherche des poux
je sais me faire cavalière !
En raison de ta bonne bouille
tout mon travail sera gratuit
mais ne le dit pas à autrui
ou je te transforme en grenouille !
Donne-moi tes mains que je lise
dans leurs lignes ton avenir
et ne fais pas tous ces soupirs
vraiment tu te ridiculises !
Je vois … je vois … Oh ! Quelle chance
tu vas avoir prochainement
tu peux partir tranquillement
là tu peux me faire confiance !
Tiens trois louis d’or de ma cagnotte
tu vois ça commence déjà
cela ira bien au-delà
car tu as marché dans ma grotte ! »
Me raccompagnant à sa porte
elle m’embrassa goulûment
puis disparut en un instant
sa chouette en tomba raide morte !
Grosse montée d’adrénaline
de quoi me perturber l’esprit
au bout d’un moment j’entrepris
de redescendre la colline.
A peine entamé la descente
j’ai glissé sur je ne sais quoi
dévalé le ravin tout droit
une culbute ahurissante !
La dure réalité …
J’ai bel et bien fait une chute
mais tout simplement de mon lit
car je rêvais et sapristi
ce rêve était sans parachute !
Il faut préciser que la veille
j’avais un peu trop abusé
d’un chinon pour le moins corsé
une véritable merveille !
Moralité :
Quand on ne tient pas la chopine
mieux vaut y aller très mollo
mais c’est bien meilleur que de l’eau
quand ce n’est pas de la bibine !
Cette histoire rabelaisienne
je me devais de la conter
du doigt n’allez pas me montrer
ou je me jette dans la Vienne !
Comme les moutons de Panurge
bien d’autres viendront s’y jeter
dans un élan d’absurdité
ce sera une grande purge !
Faites en plutôt le partage
plus on est de fous plus on rit
et Rabelais dans ses écrits
nous a légué cet héritage.
La vie n’est pas sans anicroche
amusons-nous tant qu’on le peu
avant que de devenir vieux
et que le moral s’effiloche !
Foin des guerres picrocholines
qu’un petit rien peut déclencher
prenons la vie du bon coté
érigeons ça en discipline !
Pierre Dupuis
4 commentaires -
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier, assez corsé . Une sorte de rébus celtique pour ne pas dire celtrique ...
1ère ligne, 3ème image : la moitié du personnage !
2ème ligne, 2ème image : le cri du mouton !
4ème ligne, dernière image : Éros est le dieu du " - - - - " !
5ème ligne, 2ème image : 0,5 Km/h , c'est très " - - - - " !
6ème ligne, 2ème image et en direct : " ti " ! 3ème image: le verbe aller à l'impératif !
7ème ligne, 3ème image et en direct: le symbole de la "vie " !
8ème ligne, 2ème image : en direct: " U " ! 3ème image : petite, le sale bête est lente !
11ème ligne, 2ème image : le gars a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Allez, au travail ! Vive la Bretagne, vive la musique, vive les bretons, vive Pinchon , vive le chouchen et le Souchon !
Réponse :
Elle était un peu bécassine et il l’avait fait boire avant de l’entraîner au festival des Vielles Charrues pour mieux la bourrer. Elle en était toute retournée !
4 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« La Fanette »
« Jacques Brel »
… L’incontournable grand Jacques …
La Fanette
Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et dormait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Combien pour la Fanette j'ai chanté de chansonsFaut dire
Faut dire qu'elle était belle
Comme une perle d'eau
Faut dire qu'elle était belle
Et je ne suis pas beauFaut dire
Faut dire qu'elle était brune
Tant la dune était blonde
Et tenant l'autre et l'une
Moi je tenais le mondeFaut dire
Faut dire que j'étais fou
De croire à tout cela
Je le croyais à nous
Je la croyais à moiFaut dire
Qu'on ne nous apprend pas
A se méfier de toutNous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et mentait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Comment pour la Fanette s'arrêta la chansonFaut dire
Faut dire qu'en sortant
D'une vague mourante
Je les vis s'en allant
Comme amant et amanteFaut dire
Faut dire qu'ils ont ri
Quand ils m'ont vu pleurer
Faut dire qu'ils ont chanté
Quand je les ai mauditsFaut dire
Que c'est bien ce jour-là
Qu'ils ont nagé si loin
Qu'ils ont nagé si bien
Qu'on ne les revit pasFaut dire
Qu'on ne nous apprend pas
Mais parlons d'autre choseNous étions deux amis et Fanette l'aimait
La plage est déserte et pleure sous juillet
Et le soir quelquefois, quand les vagues s'arrêtent
J'entends comme une voix
J'entends c'est la FanetteBon partage !
Rotpier
4 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Comme il n'y a pas eu de rébus dimanche, il arrive ce jeudi !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier et il est assez sauvage ( surtout la fin ! ). Impie c'est tout !
1ère ligne, 1ère image : oiseau friand de glands ( mais qui n'est pas une grue ! L'autre aussi ! ) 3ème image et en direct: " U " !
4ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le grand ! Dernière image : c'est la marque qu'il faut retenir !
5ème ligne, 1ère image : le petit de la biche ! 4ème image : la moitié du personnage ! Dernière image : quand son nez s’allonge, il " - - - - " !
6ème ligne, 1ère image et en direct : " brrrrrr " il caille !
7ème ligne, dernière image : le gars a une sacrée " - - - - " !
9ème ligne, dernière image : c'est un " - - - - " mec ... comme moi !
10ème ligne, 2ème image : la moitié de la marque, c'est la règle !
11ème ligne, 1ère image : le verbe aller à l'impératif !
12ème ligne, 3ème image : le serpent fait toujours "s" ! ( l'autre aussi ! )
13ème ligne, 1ère image : Éole est le dieu du " - - - - " !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! La valeur ajoutée d'un rébus, c'est son déchiffrage exact !
Réponse :
Jésus a dit : « Laissez venir à moi les petits enfants ». Certains membres du clergé ont détourné sa parole avec l’abominable valeur ajoutée suivante : « Que je puisse venir en eux. »
Il est sauvage mais je vous avais prévenu !
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Lors d’un baptême, il y a quelques temps, j’ai, à l’occasion d’un jeu, « hérité » d’un gage. Je m’en acquitte maintenant… autant que vous en profitiez ! ( Avec l'aimable autorisation des parents ! )
Pierre
Image du net + petit bidouillage
.
Préambule sous forme d’adage :
« Un gage accepté doit être honoré,
versatile celui qui se défile ! »
Sur l’air de Cadet Roussel :
Préambule :
Je devais faire une chanson (bis)
Pour un certain petit garçon (bis)
Elle est un peu sans queue ni tête
Je suis loin d’être un grand prophète
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Bien sûr il m’a fallu du temps (bis)
Sans vraiment être un débutant (bis)
Les rimes ne sont pas faciles
Même sans être un imbécile
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !xxxxxxxxxxxxxx
Chanson pour Benjamin,
Benjamin est un bon garçon (bis)
Il rit pour un oui pour un non (bis)
Il est rarement en colère
Ou de façon très passagère
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin voudrait un lapin (bis)
Pour le caresser le matin (bis)
Un vrai de vrai pas en peluche
Un qui crotte et mange des pluches
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin n’est pas très content (bis)
De la réponse de maman (bis)
« Mais que va-t-on faire des crottes
Nous n’avons pas de motocrottes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin a bien insisté (bis)
Finalement il a gagné (bis)
C’est lui qui ramasse les crottes
Et qui distribue les carottes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin a un autre rêve (bis)
Il y pense vraiment sans trêve (bis)
il voudrait en plus une vache
Une rousse avec plein de taches
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin a persuadé (bis)
Son papa qui aime le lait (bis)
Ils vont acheter une ferme
Ils en ont l’intention très ferme
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Ils vont partir dans le Larzac (bis)
En bourrant valises et sacs (bis)
Ou à Notre-Dame des Landes
Là ou la nature commande
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin aura une ânesse (bis)
Moins têtue que les CRS (bis)
Car ceux-là il faut se les faire
En plus ils sont très durs à traire
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin aura des moutons (bis)
qui seront tout frisés en long (bis)
et puis aussi quelques biquettes
avec de grandes barbichettes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin fera du fromage (bis)
Du vrai qui pue qui sent sauvage (bis)
Qu’on sent à dix lieues à la ronde
Et qui incommode le monde
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin deviendra fermier (bis)
Même si c’est moins bien payé (bis)
C’est plus honnête et sympathique
Que d’être dans la politique
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Benjamin n’est pas un idiot (bis)
Il ne produira que du bio (bis)
Terminé les cochonneries
Et vive l’herbe des prairies
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Quand Benjamin se mariera (bis)
Une bell’ fille il choisira (bis)
Ce sera une grande noce
Et ils auront tout plein de gosses
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !Mais tout cela prendra du temps (bis)
En attendant en attendant (bis)
C’est ses parents qui le chouchoutent
Qui sont toujours à son écoute
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !xxxxxxxxxxxxxxxxxx
Epilogue :
Ainsi se finit la chanson (bis)
Promise à un petit garçon (bis)
Il faut toujours tenir parole
Pour ne pas traîner de cass’ roles
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Benjamin l’apprendra par cœur (bis)
Il deviendra peut-êtr’ chanteur (bis)
Alors adieu vaches et ferme
Mais il est temps que je la ferme
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Cette fois-ci c’est bien fini (bis)
J’en aurais bien encore écrit (bis)
Mais mon stylo a rendu l’âme
Et puis ma femme me réclame
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Je ne sais pas encor’ pourquoi (bis)
Mieux vaut que je me tienne coi (bis)
Je ne tiens pas à la fessée
Comme la semaine passée
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
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Il est là et bien là, il caresse ou il brûle c'est selon ...
Image du net modifiée par moi-même
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Caresses astrales,
Elle allait …
légère et décidée
au travers des genets.
Souvent elle déviait,
évitant de piétiner une plante
qui eut été insignifiante
aux yeux de bien des gens !
Elle allait, légère et ravie,
dans cette lande chérie.
Un moment, elle s’arrêta,
jeta à la ronde un regard inquisiteur
et, satisfaite, sourit.
Alors, lentement, elle se déshabilla
et offrit son corps aux rayons ébahis
de l’astre dominant.
Devant tant de beauté,
sa majesté versa une larme sitôt vaporisée :
le ciel en fut, un instant, tout irisé !
Puis, reprenant vite contenance,
il assura à nouveau sa dominance
avec - sembla-t-il alors - un peu plus de douceur.
Rêvait-il à la belle
que le bout de ses doigts rayonnant caressaient ?
Peut-être …
… sûrement !
Pierre Dupuis
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier, assez court, et qui va vous remettre en condition !
1ère ligne, 1ère image : petite, la sale bête est lente ! 2ème image : un organe humain filtreur en coupe ! Dernière image : la moitié de ce que regarde ce garnement de Titeuf !
2ème ligne, dernière image : lieu où l'on entrepose des fûts !
4ème ligne, 2ème image : il y en a 4 de 2 personnages ! ( l'autre aussi ! )
5ème ligne, dernière image : Éros est le dieu de l' " - - - - - " !
Dernière ligne : il ne faut pas prendre le triste !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il est court et si vous vous dépêchez, vous pourrez aller faire une balade en vélo après ou bien allez à la messe ... c'est comme vous le sentez !
Réponse :
Pour un parisien, enfourcher un Vélib’ pour se rendre à un rendez-vous amoureux, c’est déjà se mettre en condition… encore plus s’il est gay !
4 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Allez, vous reprendrez bien un petit coup de soleil !
Mais avec modération quand même :
gare à votre peau !
Richard Cocciente :
« Le coup de soleil »
.
.
J'ai attrapé un coup de soleil,
Un coup d'amour, un coup d'je t'aime
J'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle
Si c'est un rêve, t'es super belle
J'dors plus la nuit, j'fais des voyages
Sur des bateaux qui font naufrages
J'te vois toute nue sur du satin
Et j'en dors plus, viens m'voir demainMais tu n'es pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.J'mets tes photos dans mes chansons
Et des voiliers dans ma maison
J'voulais m'tirer, mais j'me tire plus
J'vis à l'envers, j'aime plus ma rue,
J'avais cent ans, j'me r'connais plus
J'aime plus les gens depuis qu'j't'ai vue
J'veux plus rêver, j'voudrais qu'tu viennes
Me faire voler, me faire je t'aime.Mais tu n'es pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide
J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide
J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine
J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel
Je m'jette à l'eau des pluies d'été
J'fais du bateau dans mon quartier
Il fait très beau, on peut ramer
La mer est calme, on peut s'tirerMais tu n'es pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.Bon partage !
Rotpier
3 commentaires -
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Bonjour à toutes et à tous !
Me voici de retour et je vous propose mon premier devoir de vacances… il y en aura un autre un peu plus Rabelaisien !
Pierre
Intérieur de la Cave de Panzoult (image du net)En souvenir de très belles vacances à Panzoult au Moulin Girault, tout près de la grotte de la Sibylle de Rabelais.
Panzoult, le tuffeau, le vin et la Sibylle,
Sur la commune de Panzoult
se trouve une très belle cave
célébrant sans aucune entrave
le vin, la Sibylle et le goût.
La Sibylle de Rabelais,
le très truculent pour l’époque
écrivain au style baroque
qui choquait et qui dérangeait.
Accompagné d’Epistémon
l’étrange et facétieux Panurge
l’avait selon notre démiurge
rencontrée pour divination.
Curieux mélange avec le vin
mais le mariage est subtile :
parler de vin et de Sibylle
voila qui me semble divin !
Bien à l’abri sous le tuffeau
passé et présent cohabitent
c’est une belle réussite
disons-le net sans peur des mots.
Un régal pour les visiteurs
qui s’arrêtent de niche en niche
pour se délecter des très riches
fresques taillées avec bonheur.
Tout décrire serait trop long
mieux vaut y venir en visite
c’est une belle réussite
bravo à tous les vignerons !
Pour peser sur leur avenir
leurs bouteilles portent leur griffe
remake du « cave se rebiffe »
le meilleur moyen pour tenir.
Indépendants mais regroupés
une adéquate logistique
pour contrer de façon pratique
ceux toujours prêts à les presser !
Les lendemains que seront-ils ?
Je pense qu’il serait habile
de demander à la Sibylle
son augure au prochain avril.
Hors de question bien entendu
qu’elle ait l’extrême outrecuidance
et quelles que soient les circonstances
d’exhiber le trou de son… cul !
En attendant vive le cru
partageons la dive bouteille
le bon vin est une merveille :
même cuits ne soyons pas crus !
On peut bien être un peu chauvin
en France on sait se mettre à table
et partager, c’est délectable,
la bonne chair et le bon vin !
Détail de fresque sculptée: " Le cul de la Sibylle ! "
Photo de mon cru !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
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Et puisqu’ils sont cités, je fais un petit clin d’œil à :
Gloire à Alcofribas Nacier
d’avoir créé ses personnages
qui sont d’une cuvée hors d’âge
et qui n’ont fait que bonifier !
Ce bon vivant, cet érudit,
sous couvert de bouffonneries
a dénoncé des incuries
en bravant bien des interdits.
Gloire aussi à Michel Audiard
pour ses si savoureux dialogues
piochés dans le grand catalogue
de l’argot érigé en art !
Pierre Dupuis
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Préambule :
Je pars en fin de semaine en vacances du coté de Chinon.
Retour vers le milieu de la 1ère semaine de juillet … si j’échappe aux flammes ou aux sbires du roi !
Le Rotpier
Petit bidouillage à partir d'une image du net !
Au pays de Rabelais il ne faut pas s’étonner des énormités …
Sur les traces de la pucelle
ou
Ce que j’espère de Chinon *
Je pars du coté de Chinon
comme l’avait fait la pucelle
qui abhorrait les étincelles
comme la tête de Cauchon !
Et si là-bas j’entends des voix
me demandant d’aller de suite
bouter pour mauvaise conduite
celui qui se prend pour le roi :
J’enfourcherai mon canasson
pour rejoindre à bride abattue
l’Elysée avec ma massue
pour aller fracasser Macron !
Tout cela est déjà écrit,
si Némo me cherche des crosses
je lui ferai des grosses bosses
si c’est Brigitte… pareil aussi !
J’affronterai Gérard Collomb
qui de gauche est passé à droite
je lui dirai ferme ta boite
je ne parle pas aux félons !
Je subirai l’inquisition
je gémirai sous la torture
voila ma destinée future
je tiendrai bon sous la question !
Je finirai sur le bûcher
drapé de mon seul oriflamme
à Rouen et au milieu des flammes
sur la place du vieux marché !
Mes cendres iront au Panthéon
quand on m’aura rendu justice
au regard de ce grand supplice :
cramer à poil sans pantalon !
Rotpier
Nota :
Je suis très pris avec mon association et mon départ en vacances en fin de semaine. Je vais essayer de passer faire un petit tour sur vos blogs aujourd’hui ou demain si je le peux.
Bonne continuation à toutes et à tous !
Pierre
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier assez long mais comme je pars en vacances en fin de semaine prochaine, vous pourrez vous reposer après ! C'est un petit tour dans l'histoire au travers d'un prénom féminin cher à Gilbert Bécaud et à Georges Brassens !
Il est en 2 phrases !
2ème ligne, 1ère image : un " - - - " c'est un " - - - " et là il y en a 5 ! 2ème image : Éole est le dieu du " - - - - " ! 3ème image : la saison évoquée ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, 1ère image : le 'g", il faut le prononcer "gue" ! ( l'autre ausi ! ) 2ème image et en direct : " U " ... cocote !
7ème ligne, 4ème image : j'espère que vous n'en avez pas le sang ! ( ce n'est pas un radis ! )
8ème ligne, 2ème image : quand il est mort: vive lui ... ou le suivant !
9ème ligne, dernière image : " oui " en russe !
10ème ligne, avant dernière image : autre nom pour un tonneau ! ( il est interdit de s'y mettre le doigt ! )
11ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours " s " ! ( L'autre aussi ! )
12ème ligne, 1ère image : le verbe de l'action à l’infinitif !
15ème ligne 2ème image : le petit de la biche ... j'espère que cela biche pour vous !
17ème ligne, 1ère image : il ne s'agit pas d'une bande de vieux ( d'ailleurs, chez les vieux il y a très peu de bande ... ! )
18ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il vaut ce qu'il vaut mais ... ne soyez pas vache avec moi !
Réponse :
Les Jeanne ont souvent été singulières même au pluriel. Il parait que Jeanne la papesse n’avait pas froid aux fesses, que Jeanne d’Arc refusait de se faire tirer, qu’avec Jeanne Hachette on se fendait la gueule et que, jeune, Jeanne Calment était excitante !
5 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Jean Ferrat :
« L’amour est cerise »
... C'est l'époque !
L'amour est cerise
Rebelle et soumise
Paupières baissées
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps pressé
C’est partie remise
Pour aller danserAutant qu’il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t’aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l’amour de DieuLaisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S’est vite élancéeDéfions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m’en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe rouxO Pierrot de lune
O monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleuRebelle et soumise
Paupières lassées
Remets ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps passé
C’est partie remise
Pour aller danserBon partage !
Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
xxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
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