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Image du net !
L’histoire se passe en début de siècle dernier …
Le monte-en-l’air sentimental,
C’était il y a très longtemps,
il vivait de cambriolages
lui l’homme à la force de l’âge
et elle au fort tempérament.
Il en était fou amoureux
mais elle était cuisse légère
ses aventures passagères
le rendaient vraiment fou furieux.
Et un jour le drame arriva,
il serra fort une lanière
autour du cou de sa bergère :
en peu de temps elle expira.
Il la découpa en morceaux
de façon vraiment méthodique,
une manière bien pratique
pour désorienter les perdreaux.
Il savait manier le hachoir,
les couteaux ainsi que les scies,
il avait une décennie
derrière lui en abattoir.
Après trois mois de flottement
il avait expurgé sa peine
ainsi que le reste de haine,
il n’avait plus trop de tourments.
Il avait repris le métier
de monte-en-l’air par habitude,
il le faisait sans inquiétude,
tranquillement en vieux routier.
Dans le genre Arsène Lupin
un peu moins élégant quand même,
vivant de façon plus bohème
mais gagnant largement son pain.
En souvenir de son amour
et afin de penser à elle
de manière très solennelle
il gardait dans son sac toujours …
… à portée de main un tibia
taillé d’un bout en pied de biche
qu’il utilisait chez les riches
quand il faisait une razzia.
Un outil vraiment idéal
pour forcer fenêtres et portes
et toute la joie qu’il apporte
pour quelqu’un de sentimental.
On peut bien être monte-en-l’air
et s’enticher d’une friponne
au point que son cœur s’enjuponne
et que l’on commette un impair.
Et un jour il en commit un
alors qu’il forçait une porte
avec le tibia de la morte
il ne vit pas les argousins.
Ils lui tombèrent sur le dos
alors qu’il rêvait à sa belle,
il passa en correctionnelle
et se prit vingt ans à Clairvaux.
Moralité :
Quand on pratique ce métier
qui est assez funambulesque
on évite le romanesque :
pas la peine d’en rajouter !
En lieu et place d’un tibia
il aurait pu, sur l’étagère,
dans le formol et solitaire
garder son plus joli ténia.
Rotpier
Image du net !
Je ne suis pas certain que cela soit un ténia.
Ce dont je suis persuadé c'est que cela ne doit pas être très bon à manger !
Ah ! Poésie, quand tu nous tiens !
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
votre commentaire -
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus à décoder, que l'on se prénomme ou non Samuel ! Il n'est ni scabreux, ni scatologique mais très logique ... ne riez pas d'avance dans vos moustaches : je vous en fais défense, je connais, j'y ai travaillé !
1ère ligne, 2ème image : si vous ne vous servez pas de cet outil, vos constructions risquent d'être bancales ... comme Lauren !
2ème ligne, 2ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indic à tifs ! 3ème image : il y en a 4 de 2 personnages ! 4ème image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
3ème ligne, 3èmeimage : un diagramme de " - - - " et ... pas pour donner aux bourricots !
4ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le court bien au contraire !
5ème ligne, 1ère image : la moitié du personnage et l'on n'est pas forcé de retenir la 1ère lettre !
7ème ligne, dernière image : la vache y est et il parait que l'amour aussi ! ... Même que parfois on peut avoir affaire à de l'amour vache ! ( c'était juste une remarque comme une autre ! )
8ème ligne, dernière image : à ce stade, il n'est plus guère vivant comme disait Martin !
9ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s " ! ( l'autre aussi ! ) et n'oublions pas l'adage du Rotpier : " Quand ce qui te sert pend, il est temps de le ranger ! "
11ème ligne, 2ème image : quand il a fini de téter, le bébé fait son " - - - " ... comme le Rotpier ! 3ème image : autre nom pour un char !
12ème ligne, 1ère image : le nom du volume ! Dernière image : objet pour tromper et ce n'est pas un éléphant ! ( un miroir aux alouettes en est un ! )
Dernière ligne, 1ère image : lieu ou se tenaient des marchés, il en reste encore de bien belles ! Dernière image : le cri de la bestiole ... " Si tu ne trouves pas, laisse pisser le Mérinos ! " comme dit mon cousin Pascal !
Et pissez tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas trop long, pas trop difficile mais il sent un peu le poisson... pas la morue: non !
Réponse :
Au niveau de sa nourriture en matière de poisson, un long un court un long un court, c’est le régime préféré des morses mais ce n’est pas pour autant qu’ils connaissent leur alphabet !
Nota :
On m’a fait remarquer - à raison ! - que j’avais commis une faute de français : J’aurais du mettre « leur » à la place de « sa » devant nourriture puisque après je mets « des morses » !
Cela donne donc :
Au niveau de leur nourriture en matière de poisson, un long un court un long un court, c’est le régime préféré des morses mais ce n’est pas pour autant qu’ils connaissent leur alphabet !
( Alphabet morse bien entendu ! )
8 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Didier Barbelivien
« Jean de France »
Un superbe éloge à Jean Ferrat !
Jean De France,
J’aimais ton rire j’aimais ta voix
qui racontait nos différences
moustache rapportées de Cuba
de Santiago quelle importance
j’aimais tout ceux qui étaient toi
quand tu bousculais nos consciences
Jean ta belle môme ou Jean Ferrat
tes mots déchiraient nos silences
et je m’imaginais Créteil
quand tu me fredonnais
ma môme et ces deux enfants au soleil
Garcia Lorca en son royaume
moi j’écoutais nuit et brouillard
enfermé dans mon innocence
je comprendrais beaucoup plus tard
nul ne guérit de son enfance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la Bretagne à la Provence
avec la fièvre telle insolence
de dire ce mot ne disais pas Jean de France
Humain jusqu'à la transparence
de se regard qui fait confiance
pour le secret des confidences
quand tu croisais les yeux d’Elsa
D’ailleurs que serais-je sans toi
et voilà Aragon qui danse
même Ferré n’en reviens pas
de ces mélodies qui s’élancent
ces Potemkine et Maria unit
dans la même souffrance
mourir au soleil ça me va
mourir debout quelle élégance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la montagne aux plaines immenses
tu défendais tout ceux qui pensent
que le malheur n’existe pas
Tu mettais le vide hors la loi
du simple fait de ta présence
un jour futur un jour viendra
ou plutôt que l’indifférence
et tes chansons de ce temps là
ont bercé mon adolescence
un drapeau rouge au bout des bras
tous ces taureaux quand j’y repense
Bon partage !
Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
... Spécial actualité !
.
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
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Alors là, en ce moment, j'ai une crise aiguë ! Comme tous les ans au printemps, voila que cela me redémange ... et ce n'est pas le pollen !
J'ai envie de filer des coups de pompes aux imbéciles, aux indécis, aux emmerdeurs !
Image du net bidouillée par le Rotpier
Poème remanié et quelque peu plus mordant vu le contexte actuel !
Démangeaisons,
Il est des gens qui m’agacent
… qui m’escagacent au plus haut point !
Ils tournent en rond,
pour un oui, pour un non.
Jamais content de leur tête dans la glace !
Le steak ? Pas trop saignant … un peu quand même
… mais pas à point … quoique … dès fois, j’aime …
La voiture ? Couleur verte bien sûr !
Mais … quel vert ? Surtout pas trop clair !
Pas trop foncé non plus … quoique …
tiens … et si on la prenait bleue ?
Et ma sœur, t’as vu ses yeux !
Il y est des gens qui me pilent,
qui m’agacent,
qui m’horripilent,
qui m’escagassent !
Tiens, j’en ai des démangeaisons
au bout de ma godasse !
Et ça blablate et ça jacasse !
Et pis pas ci, et pis pas ça !
Ça c’est trop p’tit … ça c’est mastoc
… mais c’est pas sûr … y faudrait voir …
Et pis ma sœur, t’as vu son froc ?
et ses p’tits strings dans le tiroir ?
En politique c’est la cata
ça sent l’embrouille et le caca !
Un coup à gauche, un coup à droite,
le grand écart à l’extrèm’ droite !
Et que j’oublie tous les acquis
même ceux par le sang conquis !
Les congés payés ?
… Mais ils ont toujours existé !
Les heures supplémentaires majorées ?
… Pareil, on n’est pas des demeurés !
Retenez-moi, retenez moi
ou je vais en exploser trois !
L’histoire ils l’ont bien oubliée,
ils sont prêts à tout avaler,
les grands discours et les promesses
ils sont là qui tendent les fesses
pour mieux se faire … et là c’est dur
pour moi d’éviter la censure !
Et plus c’est gros et plus ça passe
la vaseline, c’est efficace !
Pas remboursée par la sécu
mais faut pas déconner non plus !
Et pis voila que le Macron
lèche les bottes des curetons
lorgnant sur les voix des cathos :
c'est sûr il n'y a pas photo !
Car les susdits avec Fillion
l'avaient carrément eu dans l'fion!
.
Il y a des gens qui m’hérissent
il serait temps qu’ils atterrissent
mais ils continuent à voler
sans savoir qu’ils vont s’écraser !
Ils suivent leur chef d’escadrille
qui bave et rebave et nazille
( J’ai mis un « z » au lieu d’un « s »
ça me plait bien et je le laisse ! )
Il est des gens qui m’horripilent,
qui me les pilent, qui me les cassent !
Tiens-toi tranquille, toi ma godasse,
appell’ ta sœur pour qu’on se casse :
faut s’ fair’ la paire avant qu’ ça chasse !
On s’ ra jugés sur la grand place,
mais ce sera par contumace !
Pierre Dupuis
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus salé du Rotpier composé d'une observation et d'une question avec bien sûr des jeux de mots tôt si vous vous y collez ce matin et des jeux de mots tard si vous le faites en soirée ! Il y a aussi une tranche d'histoire avec un grand "H" et un grand Charles teinté d'OAS. Il faut quand même une touche de sérieux et de culture pour rehausser la condition humaine, aurait certainement dit Malraux en son temps !
3ème ligne, 1ère image : ce qui sort, amplifiée, de l'appareil ! 3ème image: le serpent fait toujours " s " ! ( l'autre aussi ! )
5ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le triste ! 2ème image : il y en a quatre de deux personnes !
7ème ligne, 3ème image : un des plus fameux tableaux d'Edouard Munch ! Dernière image : la moitié de ce que Titeuf regarde !
9ème ligne, 2ème image : en direct " ti " !
10ème ligne, 2ème image : petite étendue d'eau ! Dernière image : lieu ou se tenaient des marchés, il en existe encore de très belles !
11ème ligne : dernière image : où il y en a, il n'y a pas de plaisir !
12ème ligne, dernière image : les enfant font la " - - - - -" ( bien séparer les 2 syllabes: la 1ère va avec l'image d'avant et la seconde avec la 1ère image de la ligne suivante ... vous suivez bien ? )
13ème ligne, 3ème image : autre nom du bolet ! dernière image : la peinture en est un, la poésie un autre et le déchiffrage de mes rébus tordus... encore un autre !
Dernière ligne, 2ème image : fonction ou place ( ici c'était Fabien Bartez ! )
Et pis c'est tout !
A vous de jouer... entre loufoquerie et sérieux ! Il est assez relevé ... allez, tout le monde en selle !
Réponse :
Feindre de ne pas savoir ce que les selles de gays rendent relève de l’hypocrisie ! Cela aurait-il fait se marrer Salan l’un des quatre généraux du quarteron dénoncé par De Gaulle ?
PS : Pour les non initiés, en bleu les jeux de mots : Sel de Guérande et Marais salant !
C'est salé ça non ?... Salut !
6 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Poil dans la main »
« Jacques Higelin »
… Le troubadour très fantaisiste
nous a quitté …
Poil Dans La Main
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m`amadouer
Un jour j`ai vu une chaise
toute seule sur le trottoir
Une putain de belle chaise toute noire en fer
Avec des lanières de plastique tendues
Une vraie chaise de bar à putes
une chaise à l`état brut
Qui avait dû en voir et en recevoir des culs
Des gros lourdingues à fessier mou
Des p`tits malingres reserrés du trou
Ou des jolis voluptueux qui vous attirent le bout des yeux
Pour mieux leur passer les menottes
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Poil dans la main payé à rien foutre
Regarder la poutre dans l`oeil du voisin
Mais va savoir a c`moment-là
J`avais perdu le goût de m`asseoir
Et d`amarrer ma solitude
Mon cafard et mes habitudes
A celles des piliers d`abreuvoir
J`en ai eu marre d`les voir s`écrouler sur eux-mêmes
En s`raccrochantà des histoires qui tiennent pas d`bout
Ces pt`titres histoires qui vous entrainent
Au fil des heures des jours des soirs des s`maines
De soirs pisseux en matins blêmes
Direct au trou
Qu`il est donc doux de rester sans rien faire
Tandis que tout s`agite autour de soi
Touche à tout sauf à la moustiquaire
Touche à tout juste bon à m`amadouerBon partage !
Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
votre commentaire -
Le poète est un funambule ... mais il ne travaille pas sans fil ... conducteur !
Image du net
Travail sans filet… mais très dérivant,
J’ai connu un poète gay,
ses rimes étaient monotones
peu profondes et très atones,
on pouvait les passer à gué !
Elles terminaient en « filé »
ou bien en « manche » ou bien en « cule »,
sans évoquer les renoncules,
pas plus que la pêche au filet !
J’ai cessé de le fréquenter
dès lors qu’il m’a fait ses yeux tendres,
je me suis enfui sans attendre :
pas question de le contenter !
Si je suis très large d’esprit,
ailleurs je refuse de l’être,
je ne veux pas me laisser mettre
… même si l’on m’offre un bon prix !
Je ne veux pas d’un avenir
du genre Sodome et Gomorrhe,
je ne suis pas un matamore,
je vous somme d’en convenir !
Péroraison rimant avec raison…
Je vous sens assez offusqués,
je ne veux plus que ça dérape
j’arrête là, je me rattrape :
je boycotte la rue du quai !
Mais …
J’ai plus d’une corde à mon arc,
ne me collez pas d’étiquette
j’écris aussi quelques bluettes
que je récite dans les parcs !
Mais de nos jours les amoureux
n’aiment plus guère les poèmes,
ils ne déclarent leurs « Je t’aime ! »
que sur Facebook … les malheureux !
Nous n’avions point besoin d’écran
pour bien maîtriser le tactile
surtout en dessous du textile
… c’était autrement enivrant !
Et nul besoin de logiciel,
ni de satanés de mots de passe,
il n’y avait guère d’impasse
pour aller au septième ciel !
Rien à faire d’applications
pour connaître la marche à suivre,
ni de valider pour poursuivre :
tout se passait à l’intuition !
Bien sûr on finissait à plat
un peu comme les batteries,
c’était la seule analogie
… vous souriez ? … c’est déjà ça !
Mais tout cela c’est du passé,
plus je vieillis, plus je radote,
je me sauve, je m’escamote,
pour éviter de ressasser !
Sans être par trop dépassé
dans mon check-up des points clignotent,
ça sent l’argus et la décote :
j’approche du vieux con cassé !
Rotpier
2 commentaires -
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus pas très catholique en ce dimanche de pâques ! Les articulations sont un peu difficiles ... un peu comme les miennes ... je me fais vieux !
2ème ligne, 2ème image : c'est le " - - - - " indiqué qu'il faut retenir !
3ème ligne, 1ère image : à 3 H 52 du mat, il est très " - - - " ! Dernière image : un oiseau qui aime beaucoup les glands !
4ème ligne, 1ère image :il ne faut pas prendre le court ! 2ème image : autre nom pour un tank ! Dernière image : une " - - - - " vue d'en haut !
5ème ligne, 2ème image : celui-ci est de montagne !
6ème ligne, 3ème image : le garçon " - - - - - " au présent de l'indicatif !
7ème ligne, 3ème image : ça " - - - " ... au présent de l'indicatif aussi !
9ème ligne, dernière image : petite, la sale bête est lente !
10ème ligne, 2ème image : ce qui sort amplifié de l'appareil !
11ème ligne : entre les 2 dernières images et la première de la ligne suivante, l'articulation est difficile : je vous avais prévenu ! Na !
Dernière ligne, 2ème image : quand la sale b^te pique, ça fait mal !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas facile mais ne pas essayer serait un péché ! Bons œufs de Pâques !
Réponse :
Élevé dans l’esprit catholique, j’ai longtemps cru que la cloque du péché était la punition infligée à Ève pour avoir fauté ! Étais-je naïf en ce temps-là !
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Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Françoise Hardy »
« Des ronds dans l’eau »
Ce qui ne va pas nous rajeunir !
Et n'oublions jamais que, selon Stanley,
une brique cubique fait quand même des ronds dans l'eau ...
Des ronds Dans L'eau,
tu commença ta vie
tout au bord d'un ruisseau
tu vécus de ces bruitsqui courent dans les roseaux
qui montent des chemins
que filtrent les taillis
les ailes du moulin
les cloches de midi
soulignant d'un sourire
la chanson d'un oiseau
tu prenais des plaisirs
à faire des ronds dans l'eauaujourd'hui tu ballottes
dans des eaux moins tranquilles
tu t'acharnes et tu flottes
mais l'amour, où est-il ?
l'ambition a des lois
l'ambition est un culte
tu voudrais que ta voix
domine le tumulte
tu voudrais que l'on t'aime
un peu comme un héros
mais qui saurait quand même
faire des ronds dans l'eaus'il y a tous ces témoins
que tu veux dans ton dos
dis-toi qu'ils pourraient bien
devant tes ronds dans l'eau
te prendre pour l'idiot
l'idiot de ton village
qui lui est resté là
pour faire des ronds dans l'eau
pour faire des ronds dans l'eauBon partage !
Rotpier
2 commentaires -
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
2 commentaires -
En vieux routier des manifs, je vous glisse un peu dans leurs coulisses !
Je dois avouer que j’ai bien levé le pied des pavés, mais depuis 68, j’en ai arpenté pas mal ! Prof et responsable syndical oblige ! Allez, au coup de sifflet on démarre !
Pierre
Photo prise sur le net et modifiée par mes soins !
Manif !
Au coude à coude
au cœur à cœur,
pour en découdre
mais … sans casseurs !
Un manifeste
tout en verbal !
Quelques mots lestes :
du théâtral !
Souvent les mêmes :
on se connaît !
Les mêmes thèmes
sur les carnets !
Du stratégique,
pas du hasard !
Du synergique
avec brassards !
Des banderoles
et des panneaux :
pas de pétrole
mais des bons mots !
Etat fripouille
élus voleurs :
c’est qui qui douille :
c’est pas ta soeur !
A fond la caisse
pour la sono !
L’oreille encaisse :
pas du piano !
Et les trompettes
jouant à fond !
Et les baguettes
sur les bidons !
Et les rengaines
au vitriol,
que l’on dégaine
sans un bémol !
Bras en compote :
cause aux drapeaux !
« Prend-le mon pote :
pour moi repos ! »
Tongs ou bien bottes ?
C’est du soleil
ou de la flotte ?
Jamais pareil !
L’heure est venue :
fin du parcours !
Sur l’avenue :
dernier discours !
« Plus de dix mille
sur le pavé !
Manif utile :
juré craché !
A la prochaine
nous doublerons !
Dans la semaine
ils cèderont ! »
Plus de pancartes,
drapeaux roulés,
les flics s’écartent :
adieu poulets !
Certains la tire,
d’autres sourient !
Ce qui attire
les nôtres aussi !
Manif tranquille
et bon enfant,
pas trop hostile
… sauf le devant !
Ça se disperse
… les tracts aussi !
Merde ! Une averse :
vite aux abris !
Les mains se serrent :
« - Bon, on y va !
Je récupère
les gars d’ chez moi !
A la prochaine !
Allez salut !
Bise à Marlène
et à Lulu ! »
- On taille la route ?
- oui ! On y va !
Pour le cass’ -croûte,
on verra ça !
A la prochaine :
sûr les amis !
Faut pas qu’ ça traîne :
c’est bien parti ! »
Pierre
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une pensée très célèbre d'un grand philosophe que je me permets de vous rappeler ... à ma manière !
Pierre
1ère ligne, 1ère image : de blé ou d'orge ! ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, 3ème image : autre nom de l'arobase !
3ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours "s" ! 3ème image et en direct : "U" ... cocote !
4ème ligne, 2ème image : le cri du mouton ! 3ème image : avant "akbar" ( de circonstance hélas ! )
5ème ligne, 1ère image : c'est la position qu'il faut retenir ! Dernière image : Éole est le dieu du " - - - - " !
6ème ligne, 1ère image : celui-ci est de gare !
8ème ligne, dernière image : de sable ou d'autre chose !
10ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
11ème ligne, 1ère image : ça se tranche selon Nougaro ... on en fait aussi des omelettes !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Mettez bien cette pensée en application !
Réponse :
Épicure disait : « Hâtons-nous du succomber à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne », je la partage entièrement et je vous la mets en Épicure de rappel !
Remarque : Je me suis mal exprimé et quand je m'en suis aperçu, il était trop tard mais j'ai eu la flemme de tout recommencer !
Le fond est bon ( dans le fond, j'ai un bon fond ! ) mais c'est dans la forme que j'ai pêché : je dirais 2 avé et 3 pater pour me faire pardonner ... amen !
Ce que j'aurais du écrire :
Épicure disait : « Hâtons-nous du succomber à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne », je partage entièrement cette pensée et je vous la mets en Épicure de rappel !
2 commentaires -
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Sans la nommer »
« Georges Moustaki »
… En 68, j’avais 22 ans
et j'ai eu 5 semaines de grève au compteur
avec occupation d' usine …
♪ Sans La Nommer ♪
Je voudrais, sans la nommer, .
Vous parler d'elle
Comme d'une bien-aimée,
D'une infidèle,
Une fille bien vivante
Qui se réveille
A des lendemains qui chantent
Sous le soleil.
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans la nommer,
Lui rendre hommage,
Jolie fleur du mois de mai
Ou fruit sauvage,
Une plante bien plantée
Sur ses deux jambes
Et qui trame en liberté
Ou bon lui semble.
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle.
Bien-aimée ou mal aimée,
Elle est fidèle
Et si vous voulez
Que je vous la présente,
On l'appelle
Révolution Permanente!
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.Bon partage !
Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
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Préambule :
Chers lecteurs,
Vous trouverez ici un exemple de mariage de convictions bien pensé. Un modèle d’équilibre adossé à un commerce de charmes équitable, solidaire, transposable et très engagé…
Vocation très respectable
ou
Vocation Marie-Madeleinesque
Elle n’avait pas sa pareille
Pour attirer tous les garçons,
Les roux, les bruns ou bien les blonds
Dès lors qu’ils montraient leur oseille.
Elle se servait à merveille
De ce que la nature en don
Lui avait offert et pardon :
C’était du beau jusqu’aux oreilles !
Elle aurait pu se marier
Avec un riche roturier
Qui lui avait mis sa fortune
Aux pieds avec supplication,
Elle avait refusé ses thunes
Ayant une autre vocation.
Car…
Elle n’aurait plus été libre
même en prenant moult amants,
juste une question d’équilibre
sur le fil du tempérament.
Pour la chose elle était vaillante
et ce qui était étonnant
c’est qu’elle était vraiment croyante
… un mélange très détonnant.
Certaines se font bonne-sœur
ou missionnaire en centre Afrique,
elle c’était plus prosaïque
elle avait choisi le valseur.
Et à y regarder de près
c’était une œuvre charitable,
une vocation honorable
méritant un très grand respect.
D’un naturel compréhensif
et pour l’égalité sociale
comme pratique commerciale,
elle modulait ses tarifs.
Les pauvres ne payaient que peu,
elle faisait casquer les riches
cela équilibrait l’artiche
et tout le monde était heureux.
Les interrogations que l’on peut se poser …
Aura-t-elle le grand pardon
tout comme Marie-Madeleine
qui jouait les samaritaines
de l’amour avec compassion ?
Faut-il vraiment laver les pieds
pour être reconnue par Rome
comme bienfaitrice des hommes
ou les faire prendre leur pied ?
Il serait vraiment de bon ton
que l’église la canonise,
c’est ce que moi je préconise
sans être un crack du droit canon.
Ce serait une bonne action
à porter au crédit du pape :
qu’il oublie un peu la retape
pour accorder la rédemption.
Sans prétendre égaler Jésus
ni vouloir marcher sur la flotte,
un bon geste et moins de parlote :
allez Saint-Père, un peu de jus !
L’occasion à ne pas manquer
pour rehausser la vieille église
qui au fil des années s’enlise
avec des prêtres détraqués.
Les puritains, les calotins,
vont s’offusquer de ma démarche :
je n’ai pas attendu « En marche »
pour avancer sur ce chemin !
Ma théorie vaut bien la leur
n’étant pas fort en rhétorique
j’utilise la poétique
… le plus souvent en franc-tireur !
« Ça te va bien ! » me dit ma sœur
qui n’est pas du tout carmélite,
bien au contraire et qui milite
pour la liberté des valseurs !
Rotpier
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Copié-collé :
Petite absence en raison de plusieurs facteurs (que fait la Poste !) :
- Interruption de connexion internet pendant 2 jours à cause d’une fausse manœuvre d’une équipe sur mon poteau de branchement
- Préparation du rapport moral de mon association ainsi que de son AG (alors qu’elle est jeune ! ) en plus, j’avais besoin d’Internet , c’est net !
- Panne d’imprimante alors que j’en avais aussi besoin pour l’AG : cette tête de mule ne veut plus imprimer en noir ( un virus venant du FN ?... que font les spécialistes de la sécurité informatique ? )
- Et pis … c’est tout !
Pierre et Rotpier
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus assez court qui aborde le délicat cas de la recherche d'emploi. Avec toujours cette approche un peu spéciale du Rotpier qui, lui même, est un cas délicat ou l'inverse !
Pierre
1ère ligne, 3ème image : il faut retenir la moitié de la marque ! ( ou la moitié d'un roman d'Emile Zola ! )
2ème ligne: ne vous occupez pas des deux points ni des suivants, un point c'est tout ! Dernière image: quand il a fini de téter, le bébé fait son " - - - " ... tout comme le Rotpier !
3ème ligne, 1ère image : en direct "che" ! 3ème image : le serpent fait toujours "s", c'est sa manie tout comme l'autre !
4ème ligne, 1ère image : c'est la marque du fameux petit beurre qu'il faut retenir ! Dernière image: il ne faut pas prendre le dur ... d'ailleurs, il vont bientôt être en grève !
6ème ligne, 1ère image : c'est le lieu qu'il faut prendre, ne soyez pas ballots ! Dernière image : vue de l'intérieur d'un " - - - - " de golf ... je sais, c'est vicieux !
7ème ligne, 3ème image : le plus petit des frères Dalton !
8ème ligne, lieu où l'on entrepose des tonneaux ! ( l'autre aussi ! )
10ème ligne, 1ère image : petite, la sale bête est lente ! 2ème image : ce qui sort de l'appareil amplifiée !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il faut vous accrocher, ce n'est pas gagné d'avance ! Si vous y arrivez, je vous accorde le droit de boire un p'tit coup de vin blanc sec avant de vous rendre à la messe: il n'y a aucune raison pour qu'il n'y ait que le curé qui se rince la glotte !
Allez en paix mes sœurs et mes frères ...
Réponse :
Si on a un QI proche de celui d’une moule, a-t-on plus de chance de trouver un job chez Yves Rocher et de pouvoir s’y accrocher ?
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Qui tire les ficelles de notre vie ?
Image du net
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.
Manipulation,
Le vieil homme relisait,
avec ses yeux fatigués d’aujourd’hui,
le livre de sa vie
… un long roman.
Manifestement,
il ne comprenait pas tout
des orientations qu’il avait prises,
comme si … comme si,
à certains moments,
il n’avait plus eu prise
sur les évènements.
Mais… mais alors qui,
oui , qui avait piloté tout cela ?
Qui était le véritable
auteur du roman de sa vie ?
Qui avait tenu la plume,
chapitre par chapitre,
et l’avait entraîné
au long de ses chemins ?
De nombreux chemins,
au bord desquels
il était passé du sérieux
au, certaines fois, trois-quarts pitre ?
Qui était le véritable
auteur du roman de sa vie ?
Quelqu’un de redoutable,
puisque lui, l’acteur principal,
s’était laisser manipuler
comme un gosse … à l’envi !
Fatigué, il se frotta les yeux
et, les deux coudes sur la table,
s’endormit.
Un vieil homme relisait,
avec ses yeux fatigués d’aujourd’hui,
le livre de sa vie
… un long roman
… un long roman bientôt fini.
Pourtant, une dernière chose
l’intriguait encore
… encore un peu
qu’avait, « l’autre », sous la plume
… pour le clore ?
Pierre Dupuis
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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus assez court afin que vous puissiez avoir le temps de le déchiffrer avant la messe !
1ère ligne, 1ère image : lieu où se tenait la vigie sur les anciens voiliers ! Dernière image : " - - - " est ce personnage !
4ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s" ( l'autre aussi ! ) Dernière image : 0,5 K/h, c'est très " - - - - " !
7ème ligne, dernière image : un diagramme de " - - - " et ... pas pour les ânes !
8ème ligne, 3ème image : " " - - - " César " qu'il dit le centurion !
9ème ligne, 2ème image : petite, la sale bête est lente !
10ème ligne, 3ème image : la moitié de ce que regarde ce galopin de Titeuf !
Dernière ligne, 1ère image : l' " - - - - - " selon le grand Léonard !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il n'est pas trop long , allez y avec entrain avant la grand messe !
Réponse :
Une croyante qui se rend à Saint Jacques de Compostelle en train composte-t-elle son billet avec entrain pour faire plaisir à Guillaume Pepy ?
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Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Sarah
ou
La femme qui est dans mon lit »
« Georges Moustaki »
… Écrite par lui mais surtout chantée
par Serges Reggiani …
♪ Sarah ♪
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Les yeux cernés
Par les années
Par les amours
Au jour le jour
La bouche usée
Par les baisers
Trop souvent, mais
Trop mal donnés
Le teint blafard
Malgré le fard
Plus pâle qu'une
Tâche de lune
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Les seins si lourds
De trop d'amour
Ne portent pas
Le nom d'appas
Le corps lassé
Trop caressé
Trop souvent, mais
Trop mal aimé
Le dos voûté
Semble porter
Des souvenirs
Qu'elle a dû fuir
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Ne riez pas
N'y touchez pas
Gardez vos larmes
Et vos sarcasmes
Lorsque la nuit
Nous réunit
Son corps, ses mains
S'offrent aux miens
Et c'est son cœur
Couvert de pleurs
Et de blessures
Qui me rassureBon partage !
Rotpier
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
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Préambule ou Préliminaire ?
( Je pense que préliminaire
est plus adapté au contexte,
quand vous aurez lu tout le texte
vous trancherez dans cette affaire. )
Est-il judicieux d’étaler
ce genre de rêve au grand jour
ou mieux sied-il de détaler
quelque part dans le Mercantour ?
N’ayant pas le pied montagnard
et vomissant les corbillards,
j’ai choisi la première option
qui n’est peut-être que fiction.
Mais qui pourra donc l’affirmer
puisque tout est ambiguïté ?
Note sur le préliminaire :
J’avoue que ce préliminaire
s’affranchit de la prosodie
mais ensuite j’y remédie
… j’ai un penchant pour l’arbitraire !
Rêve équivoque,
Entorse à la moralité ?
… Non ! Juste un rêve un peu équivoque
qui m’a conduit, chose baroque,
à devenir intimité.
Et quand je dis intimité,
je le précise : féminine !
Ce qui prouve et qui entérine
ma propension d’ubiquité.
Je range ma pudicité
et tant pis pour le tintamarre,
il est grand temps que je vous narre
l’épopée sans vulgarité.
En matière d’intimité
j’étais celle avec étamine
d’une fille un peu bécassine
qui s’était laissée assiéger.
Avec beaucoup d’agilité
j’essayais d’éviter l’attaque
d’une main qui menait la traque
en agissant avec doigté.
Mais devant la diversité
des angles pour mener la charge,
je n’avais vraiment plus de marge
et ne pouvais plus résister.
Quand on croule sous les assauts
on peut tenir un temps le siège
mais le vouloir se désagrège
et se rendre n’est pas si sot.
C’était une fatalité,
un scénario couru d’avance,
des Hauts de France à la Provence
s’envolent les virginités !
Alors en toute humilité
j’abandonnais la résistance
et me pliais à la cadence
du jeu avec complicité.
Lorsque je me suis réveillé
couvert de sueur, un peu livide,
tombé au pied de mon lit vide
je compris que j’avais rêvé.
Mais j’avoue sans ambiguïté
avoir beaucoup aimé la chose,
ce genre de métamorphose
est source de félicité !
Freud aurait vite analysé
tous les méandres de ce rêve
et dans une critique brève
il aurait tout élucidé.
Balayant totem et tabou,
usant de la psychanalyse,
pourfendant toutes les bêtises,
il en serait venu à bout.
Il aurait brossé le tableau,
s’appuyant sur ses grands principes
issus du complexe d’Œdipe
qui dérange bien des cerveaux.
Car Sigmund était le champion
de l’interprétation des rêves,
domaine où il était orfèvre,
où il damait à tous le pion !
Surtout pas de méli-mélo
et l’attirance pour la mère
n’a rien à voir avec Mamère
et ses bons amis écolos !
Je sais que c’est très compliqué
mais hors question que je balance
sur Noël une pluie de lances :
d’autres s’en sont déjà chargé !
Mais je m’éloigne du sujet,
je suis vraiment incorrigible
… bavard comme il n’est pas possible,
je vais finir par vous lasser !
Revenons donc à nos moutons,
à trop courir on perd haleine,
on perd le goût des madeleines,
Marcel en aurait des boutons !
.
La recherche du temps perdu
ne conduit qu’à en perdre encore,
l’exercice est énergivore
et néfaste à l’individu !
Je suis prêt à recommencer
et même si mon récit choque
par son coté très équivoque,
évitez de me balancer !
De nos jours ça balance fort
les hashtags tombent comme averse
de manière parfois perverses
… n’allez pas me charger à mort !
Tout le monde à des rêves fous
remplis de grande extravagance,
mais bloqués par la bienséance
peu les racontent jusqu’au bout !
Je suis certain que vous avez
ce genre de rêves en mémoire :
ouvrez les portes de l’armoire
des souvenirs et déballez !
Hors de question d’être jugé,
les rêves ne sont pas passibles
de jugements répréhensibles,
vous ne serez pas fustigés !
Oubliez les cracheurs de fiel,
les coincés des zygomatiques,
les éplucheurs de sémantique,
les pourfendeurs d’existentiel !
Tous ces soi-disant biens pensants,
ces distributeurs de morale
qui chose très paradoxale
s’en dispensent allègrement !
Et si cela peut amuser
ce serait bête de se taire,
sans vraiment être obligataire
l’erreur serait de refuser !
Peut-être allons-nous découvrir
un suppôt du Marquis de Sade
un peu plus dans la cassonade
faisant plus rire que frémir !
N’y aurait-il pas parmi vous
un quelque un ou une quelque une
qui aurait hurlé sous la lune
en imitant un zizi fou ?
Et qui sait si, si libérés,
vos fantasmes les plus bizarres
n’enclencherons pas la bagarre
des éditeurs pour publier !
Allez ne restez pas coincés,
détendez-vous, lâchez les vannes
« Qui ne rit pas, vite se fane ! »
… c’est un adage à méditer !
Péroraison :
Je ne sortirai pas grandi
de ce poème très baroque
que je vous conseille à la croque
… le sel étant déjà fourni !
Rotpier
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